J’avais parlé sur ce blog il y a
quelques temps de confidences
mutuelles avec une amie proche. Née au milieu des
années 60, cette dame avait reçu de la part de sa mère une
éducation stricte, comportant la fessée avec le dos d’une brosse
à cheveux. Les punitions étaient appliquées sur les fesses nues et
c'était la mère qui se chargeait de baisser le pantalon et la
culotte de sa fille.
Comme c'est le cas de mon homme, mon
amie aussi ne garde pas un souvenir dévastateur de ces méthodes
d'antan. Elle assume sans fausse honte, sait en plaisanter et ne
minimise pas sa part de « responsabilité » concernant
ses corrections.
Étant expressive, autant en mot qu'on
gestes ses souvenirs prenaient vite un relief « comme
si j'y étais ».
Puis un jour le hasard a voulu que je
rencontre sa maman. J'avais à maintes reprises essayé d'imaginer
cette fameuse mère
fouettarde dont mon amie me parlait si souvent.
C'est une femme très élégante et
soignée (à l'image de sa fille) qui respire le parfum d'une rigueur à
toute épreuve. J'ai compris aussitôt que mon amie n'a pas dû rire
tout les jours avec elle.
Loin de moi de regretter une enfance
basée sur des châtiments corporels. Je ne confond pas la réalité
avec mes rêveries. Et de nos jours étant moi-même maman - que cela
soit clair - je considère la fessée comme une pratique
exclusivement réservée aux adultes.
Je fus dévisagée par la mère de mon
amie de la tête au pied avec un regard qui me procura des frissons
un peu partout. Puis « interrogée » sur ma personne et
ma vie !
J'avais l'impression que cette brave
dame considérait sa fille toujours comme une ado et ses copines
aussi par la même occasion. J'ai répondu sagement à toutes ses
questions. Puis il me semble que j'ai été gratifiée de sa
bénédiction me permettant de fréquenter sa fille. Ouf !
Une situation qui correspondait bien à
mon post d'hier qui parlait de mes
fantasmes de mères fouettardes. J'avoue que celle-ci était
particulièrement convaincante et - en écoutant une petite voix
intérieure - j'aurais accepté avec joie un petit stage de « remise
à niveau » chez elle. Avec une petite modification concernant
le remplacement de la brosser à cheveux par le martinet.
Plus tard au retour vers chez moi, je
n'ai pu m’empêcher de me projeter par le biais de mon imagination
dans ce contexte familial. Me voyant rentrer avec beaucoup de retard
à la maison. Attendue par l'élégante mère fouettarde, le martinet
à la main.
Qu'as-tu à me
dire, isabelle ?
Je baisse ma tête. Je n'ai pas
l'impression que mon retard mérite une telle sévérité. Par contre
je sais que j'ai été vilaine après ma dernière punition. Très vilaine même, le soir, dans mon lit.
Je
mérite une correction exemplaire...
Isabelle,
RépondreSupprimerJe n'ai jamais connu ni encore monis rencontré ce genre de femme, mon rêve serait de rencontrer plus avant une directrice fouettarde. Je ne sais pas si cela existe bien sur mais cela me plairait de travailler sous sa coupe, sachant que mes errements, fautes et autres trouveraient en elle un écho différent. Prendre son manteau quand elle arrive (je n'ose penser à un imperméable verni noir...), préparer le café et le servir ... travailler dur sur les dossiers .... J'ai uun gros problème avec l'orthographe .. voilà encore un domaine de punition plein d'espérance.....
Graham
Sans blague, vous n'avez jamais rencontré une telle femme. Pourtant et idem pour la directrice un peu « sèche » cela ne manque pas. L'idée de diriger un bureau fantasmatique qui recours aux châtiments corporels ne me manque pas. Il m'arrive de rêver sur ce genre de situation où je mène mon petit monde à la baguette. Ceci dit, j'aurais du mal avec l'orthographe et la grammaire ayant pure autodidacte en Français.
SupprimerVotre allusion d'imper verni (pas forcement noir) me fait sourire. J'adore ! C'est très pratique comme vêtement. Pour aller travailler en Allemagne en automne par exemple. J'en ai même acheté un à ma fille pour aller à l'école pour vous dire du bien que je pense de ce genre d'habit. Alors aucune objection d'un coup de main galant pour m'aider à l'enlever. Pour le service du café non plus...
bonjour Isabelle !
SupprimerJe suis tombé par hasard sur le sujet que vous évoquez. Pour les amateurs avertis en matière de claques fessières, que nous sommes, c'est un met de choix. L'essence même de notre quête infinie de la fessée dispensée par une autorité ( féminine ou masculine selon chacun/e d'entre nous).
Perso,adolescent, mon tempérament calme et rêveur me projetait dans un univers régenté par les Femmes. Un monde où alternait fermeté et tendresse. En particulier mes femmes-professeurs en langue vivante quant jétais au Collège. Leurs élégance respectives ( Aaah Mme R. et ses éternels kilts écossais, qu'elle changeait chaque semaine, Mme S. et ses seyants tailleurs-jupes...)alimentaient mon fantasme et je m'imaginais avec elles pendant des leçons particulières sanctionnées selon leur bon plaisir...
Quant je suis entré dans le monde du travail, et pendant mes stages, j'ai toujours été dirigé par des femmes dans mes tâches quotidiennes, notamment en Bibliothèque et en centre de documentation. Dans un sens, je préférais cela car, en cas de problème particulier, la gent féminine se montrait parfois plus "conciliante" que son alter-ego masculin.
Je pense que les Femmes dans leur majorité ne détestent pas diriger un personnel masculin, si tant est qu'il se montre docile et serviable.
Et nous autres, pauvres diables d'hommes, nous rivalisons entre nous d'adresse pour devenir, parfois, le "protégé"... de la "patronne"!
Pour notr plus grand plaisir... et le leur !!
Imaginons un instant l'émotion d'une fessée reçue sur les genoux de la bibliothécaire en chef devant un public féminin présent pour le thé du jeudi...
Tout un programme... "A l'anglaise, évidemment" !!
Bonne journée à vous Isabelle. Respectueusement. Georges.
Ah Monsieur McMiche
RépondreSupprimerIl me semble que la thématique de l'éducatrice sévère et tendre à la fois fait défaut sur le net. Habituellement on ne trouve que des dominatrices qui m'évoquent plus ou moins un univers de froideur. Je sais qu'il existe pas mal d'hommes qui aiment justement une telle ambiance, mais je pense que la majorité silencieuse chérit peut-être des fantasmes bien différents.
Personnellement je trouve une jupe kilt très joli. Idem un tailleur. Mais la panoplie de vêtements que j'adore est très vaste. J'imagine bien votre petit thé fessée devant public féminin. Sans le moindre doute, si l'occasion se présentait, je ne manquerai pas ce rendez-vous !