C'est
une question qu'on me pose de temps en temps. Pour le dire tout de
suite, je ne connais pas de solution miracle. Et surtout, ce qui
marche pour une personne ne marche pas forcement pour une autre.
D'abord
quelques idées en vrac :
-Il n’y a pas de signe physique à
ma connaissance qui trahit un faible pour la cette pratique. Il
suffit de se regarder dans une glace. Les amoureux de la fessée sont
des gens – je serais tentée de dire - comme vous et moi. Le plus
souvent banals avec une vie sans histoire.
-Répertorier les attitudes propices me
parait un terrain délicat dont je me méfie un peu. Il en est de
même pour la présentation. Un jeans moulant ou une jupe écossaise
ne signifient pas forcement une « passion claquante ».
-Certains prétendent qu'il existe une
corrélation avec le vocabulaire employé. Pour ma part je reste
prudente avec des interprétations hâtives.
-Quant aux métiers, pas de généralités
non plus. Mais une plus grande probabilité de viser juste selon mes
propres expériences quand il s’agit de vocations/sublimations de
la petite enfance qui concernent un goût pour ce qui est
manuel/artistique, l’écriture, peinture, amour du savoir, sens de
justice, l’enseignement, soins médicaux, les chiffres…
-Je porte beaucoup d’attention aux
traits de caractère : ordonné,
méticuleux, méthodique, sens aiguë de la propreté, contrôle de
soi…
-Dans les discussions en groupe concernant le sujet, ce sont peut-être ceux qui parlent le moins qui ont le plus à dire. Un petit retour au sujet en tête à tête peut se révéler propice ! J'ai déjà pratique cette tactique avec succès sans me rendre compte. (Merci Simon)
-Dans les discussions en groupe concernant le sujet, ce sont peut-être ceux qui parlent le moins qui ont le plus à dire. Un petit retour au sujet en tête à tête peut se révéler propice ! J'ai déjà pratique cette tactique avec succès sans me rendre compte. (Merci Simon)
Comment aborder le sujet ?
Cela dépend bien entendu de notre
tempérament. Il m’arrive d’être naturellement maladroite. Cela
rassure l’autre qui nous offre plus facilement ses confidences.
Et même si nous nous sommes trompés,
notre « aveu » ne détériore pas la relation.
Quand aborder le sujet ?
Au lieu de se fier à une longue
réflexion du pour et contre chez une personne, il me parait plus
simple de me baser sur mon feeling, la fameuse intuition féminine.
L’instance compétente en nous qui
s’occupe de notre désir c’est l’inconscient qui travaille et
enregistre sans que l’on ne s’aperçoive.
Quand
on « sent bien une personne » concernant le fantasme
de la fessée, c’est que notre inconscient a déjà fait une
analyse judicieuse et la confiance (en soi) avance bien les choses.
La patience,une clef essentielle
Je m'explique. L' inconscient ne
possède pas de notion du temps. Une personne qui a chéri à un
moment ou un autre de sa vie le fantasme de la fessée et qui l’a
oublié/refoulé pour des raisons diverses est susceptible sur un
plan fantasmatique de retourner à l’époque lointaine si un
événement déclencheur la rappelle. Cela explique pourquoi
certaines personnes se découvrent en passionnées de la fessée à
n’importe quel âge.
Quand on connaît ce mécanisme on peut
essayer de troubler certaines personnes par des allusions sans
insistance et surtout en douceur.
Parfois cela marche au tac-o-tac avec
des réactions spontanées, c’est-à-dire des souvenirs liés à la
fessée ce qui est un pas important en avant.
Mais
le plus souvent il faut du temps (parfois beaucoup de temps !!!)pour
que l’idée fasse son chemin et il n’est pas rare que la personne
revient à la charge quand on s’y attend les moins...
Je me suis aussi posé cette question... Je vais passer sur l'intuition féminine puisque c'est normal que je n'en aie pas.
RépondreSupprimerJe suis parfaitement d'accord pour la patience et la "remontée" inattendue du sujet - mais à vrai dire, je n'ai pas d'expérience, je n'ai jamais réussi à repérer une personne qui aurait notre fantasme et aborder le sujet. en revanche, il m'est déjà arrivé de me retrouver entre des gens manifestement attirés par le sujet, parmi lesquels il y avait un surveillant de collège - je crois que j'étais celui qui en parlait le moins.
Ce qui m'intrigue, c'est le caractère ordonné - ça devrait s'accorder avec l'attirance pour la discipline, mais je sais que je peux être bordélique, et Constance aussi, sinon plus - et surtout les métiers dont vous parlez. Je m'y retrouve pas mal (écriture, amour du savoir, enseignement, chiffres), mais l'éventail est plutôt large et je ne savais pas que tout ça était des sublimations de la petite enfance.
Cher Simon, vous venez d'ajouter un point de plus sur ma liste :
RépondreSupprimerDans les discussions en groupe concernant le sujet, ce sont peut-être ceux qui parlent le moins qui ont le plus à dire. Un petit retour au sujet en tête à tête peut se révéler propice ! J'ai déjà pratique cette tactique avec succès sans me rendre compte.
Petite précision : il est plus simple d'abord de repérer les personnes intéressées par le sujet de la fessée, avant de repérer ceux qui ont un penchant pour le fantasme, non ?
Quand aux traits de caractère, professions et sublimations, j'avais prévu un sujet à part. Soyez rassuré,on m'a expliqué le truc. D'ailleurs je suis tombée bien souvent dans ma vie sur des personnes qui m'expliquent des choses...