vendredi 1 juin 2012

86 Claques sur les / mes fesses 2 (Souvenirs d'adolescence)


Je ne saurais jamais dire avec certitude à qui je dois ma première vraie tape savoureuse sur mes fesses.

Normal, cela s'est passé dans mon dos et en plus j'avais les yeux bandés. Ce n'est ni parce que je suis une adepte du libertinage sans limites, ni parce que je me suis retrouvée dans un état d’ébriété que je tire ce constat, mais à cause du jeu allemand de mon post d'hier.

Bien entendu j'ai demandé à la fin du jeu à mes meilleures copines de qui venait ma première claque. Les réponses étaient sans certitude, voir contradictoires. Preuve à quel point ce petit amusement trouble l'esprit de jeunes demoiselles.

Concernant le bandeau, très apprécié comme accessoire fantasmatique de pas mal de personnes, je ne saurais décrire un trouble quelconque. J'aime le noir qui me donne la sensation d'un cocon avec tendance de me bercer. Le noir est mon meilleur allié d'un bon sommeil et loin de ma conception d'un érotisme torride . Désolée !

Venons à l'essentiel.

Je fus particulièrement séduite par une main ferme et franche.

Comme j'ai pu découvrir - voilà le but et surtout l’intérêt du jeu – elle appartenait à jeune homme charmant qui m'avait déjà tapée dans l’œil (manière de parler, hein!). Et j'ai décidé le soir même de m'approcher de lui...couronné succès.

Je ne me suis pas gênée de lui faire remarquer l'enthousiasme de son geste.

Tiens, un tel garçon peut rougir. Rougeur traître d'un faible caché pour la fessée ?

A vrai dire – bien que nous ayons fait par la suite amplement connaissance dans le sens biblique - je n'ai jamais su. Je n'ai pas essayé non plus de percer le mystère. Mais je garde un superbe souvenir de ma première belle claque.

2 commentaires:

  1. Guten Tag , Isabelle !


    Ce texte m'a bien fait sourire. Je m'imagine bien quelques instants à la place de ce jeune homme dans la confusion bon enfant d'une réunion d'ami(e)s. Ma réaction aurait été identique à la sienne. En effet mon penchant pour la fessée m'a toujours géné car je craignais qu'un évènement fortuit, en public, ne trahisse ma gestuelle en ce sens. Le sentiment de gêne, voire de honte éprouvé et appuyé par un teint écarlate, dénote le reflet d'une éducation stricte dans laquelle on nous apprend à rester maître(sse) de ses pensées les plus secrètes en toute circonstances. Cette sensibilité à fleur de peau qui peut émouvoir la gent féminine parfois provoque chez certaines personnes une entrave à leur épanouissement en société comme en privé. Difficile parfois de concilier morale et sentiments profonds.
    Sur ce , Isabelle, excellent après-midi. Bien respectueusement. Georges.

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    1. Disons que ce jeune homme n'est vraiment pas allé de main morte sous prétexte d'un jeu. Et j'ai pu retenir une expérience personnelle intéressante : il y a des garçons/hommes qui rougissent avant, qui rougissent après et ceux qui ne rougissent pas du tout.

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