Suite sous forme d'anecdote de mon
post : Parler
de ses fantasmes à son entourage.
Petite
contribution étonnante par une amie à qui j'ai déjà consacré
deux
post.
Rappel
des faits :
...et
ta belle collection de brosses ne sert vraiment qu’à tes cheveux,
isa ?
J’ai poussé un cri de
cœur :
Ah
non, jamais avec une brosse. Nous avons martinet pour cela.
N'étant pas née de la dernière
pluie, mon amie avait vite compris que mon lapsus, ni vraiment
volontaire, ni vraiment involontaire servait à ouvrir le terrain
pour des discussions plus intimes.
Si ça peut te
faire du bien...
Tout est là. Il m'importe beaucoup de
« m'ouvrir » à des personnes qui savent distinguer entre
une pratique mignonne pour se pimenter la vie à deux et un besoin
pour se sentir mieux dans sa peau...après. En gros ma gêne ne se
porte pas sur le fait que mon homme me claque les fesses de toutes
les manières possibles, mais sur mon besoin de recevoir des
véritables punitions. Sur l'aspect psychologique de ce « mal
qui fait du bien ». Sur l'aspect de payer ma dette, d'expier
une faute, d'être remmenée dans le bon chemin. Et tant d'autres
constellations similaires qui offrent une vaste gamme d'émotions
différentes et qui cherchent un apaisement psychologique.
Constellation de base similaire à
celle de mon homme - corrections maternelles ritualisées pendant
l'adolescence – mon amie n' a pas érotisé son vécu. Elle parle
avec beaucoup d'humour de ces « 400
coups de jeunesse » récompenses par d'autres
coups avec le dos de la brosse. Et à part un « sacre
mal au cul », elle se souvient surtout d'avoir dormi
après ses corrections « comme un bébé ».
Puis la mère arrête le traitement,
estimant sa fille assez grande pour ne plus en avoir besoin. Et mon
amie confirme :
Je n'en avais
plus besoin !
En côtoyant mon amie pendant des
années, mis à part qu'elle est bavarde comme tout sur ces détails
de son passé, je n'ai vu aucun signe d’intérêt de sa part pour
intégrer les méthodes maternelles dans sa vie adulte. Ni même sous
forme ludique. J'ai vu ses enfants grandir et quitter la maison. J'ai
l'a vu aussi réintégrer sa vie active, de se séparer de son mari,
de reprendre une deuxième vie de célibataire de plus animé.
Et puis un jour je l'ai entendu dire :
Parfois
j'aimerais bien que les choses se passeraient comme quand j'étais
ado...
A première vue aucun lien avec l'érotisme, mais à la façon dont elle m'a exposé ses états d'âme, je voyais bien que l'envie de ses trouver à travers des genoux d'un homme décidé l'a travaillait sérieusement. Sans rentrer dans des détails trop intimes, étonnant retour du bâton à la quarantaine.
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