Puis
nous sommes partis chez monsieur. Il n'a pas pu s’empêcher en
conduisant de me jeter continuellement des regards...ardents. Trop
content de passer le week-end entier avec « une parfaite
secrétaire » à sa disposition. Je voyais bien que pour lui un
rêve d'adolescence était en train de se réaliser. C'était
excitant et flatteur à la fois.
Regarde
la route, chéri. Tu pourras m'inspecter plus tard dans le moindre
recoin !
J'ai
essayé de le calmer un peu quand son regard ne se détachait plus
mes jambes.
Non,
ce ne sont pas des bas, mais un collant porte-jarretelles.
En
y ajoutant des explications :
Pour
éviter le pincement des bas-up et pour ne pas égayer mes collègues
de travail. Une attache de bas qui se dessine facilement sous une
jupe droite quand on se penche. Tu le sais très bien.
Au
bout d'un moment, craignant un peu trop pour notre sécurité, j'ai
trouvé un prétexte pour s’arrêter sur une aire de
repos...souvent désertes dans cette région. Connaissant un peu les
ardeurs masculines, j'avais décidé de me pencher sérieusement sur
la source du manque de concentration en offrant à mon amoureux une
détente agréable et efficace à la fois pour faire baisser la
pression sanguine.
On
parle souvent de la dame particulièrement...hm disons motivée...qui
ne peut attendre le retour à la maison pour commencer à tripoter
le monsieur. Oh la sa...
Ben
voyons !
Personne
ne semble penser qu'il s'agit parfois d'une simple sécurité
routière qui se base sur le principe de l'éthylotest. On ouvre
l'emballage, on sort la chose et on la met après l'avoir examinée
dans la bouche. Sauf que le but n'est pas le changement de couleur
(enfin un peu aussi), mais de provoquer un genre d'éruption qui
souligne un aspect plutôt ludique.
Et
pleinement apaisé, le monsieur retrouvera le goût de la conduite
pendant plus ou moins de kilomètres selon sa vigueur, son âge, la
puissance de la voiture et les limitations de la vitesse...
J'aime
le travail soigné. Accompli sans me presser et ...sans presser. Avec
élégance et surtout avec une profonde passion pour ce que je fais
et qui se montre dans mon attention pour le moindre détail. Comme dans
une conversation où je relevé ce qui est vraiment significatif, je
change de registre en m'inspirant des manifestations du corps de mon
partenaire.
Monsieur
m'a laissée faire. Il aime mon expression libre, mon plaisir de
faire plaisir.
Comme
m'a avouée plus tard mon homme cet élément (je parle des faveurs
de ma bouche) prenait une importance particulière dans ses fantasmes
de la « parfaite secrétaire » et justement le
qualificatif « parfaite » s'y attachait.
Bref,
une fois détendu, en voyant la qualité de ma prestation, sans la
sans la moindre trace sur le pantalon, ni quelque part ailleurs,
« secrétaire parfaite » et très particulière oblige,
mon homme m'a gratifié d'une conversation de plus agréable pour le
reste du chemin.
Et
la fessée de la parfaite secrétaire ?
Patience !
Il ne s'agit pas de quelques claques plus ou moins fortes pour fautes
d'orthographe. Nous allons sonder en profondeur ce qui doit être
expié par un châtiment d'autrefois. Malheureusement oublié trop
souvent de nos jours, mais bien présent dans ma tête...qui met en
mot ce que mes fesses réclament.
A
suivre...
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