C'est la fête du Père Fouettard aujourd’hui !
Joli idée inspirée par Latis L, nouvelle plume et et talentueuse dessinatrice de
notre petite communauté. Nous
avons donc un saint patron des amateurs et amatrices de la fessée !
Grand temps alors que je finisse mon histoire.
Levée depuis l'aube j'avais pris le
temps pour me pomponner. Me sexifier plus exactement, car je
connaissais déjà bien les préférences de mon père fouettard. Je
n'étais pas encore définitivement épilée à l’époque et j'ai
procédé donc d'abord à un soigneux rasage pour être toute lisse
de partout. Puis en me passant une huile apaisante je n'ai pu
m’empêcher de quelques caresses pour explorer la nouvelle
sensibilité de ma peau. J'aime me voir sans le moindre poil et
j'aime encore plus les sensations que cela provoque. Puis comme dit
mon homme c'est tellement mignon quand on découvre sur une petite
culotte en coton le contour bien bombé de l'éternel féminin.
Un rendez-vous galant pour une fessée
dégage quelque chose d'autrement émouvant qui ne se trouve pas dans
une rencontre plus classique. C'est une fête avant tout dédiée aux
fesses (et non au c*l à mon goût) et par conséquence il m'importe
beaucoup de mettre mon derrière en valeur. Cela commence par un de
ces lourds parfums enivrants comme les aime mon homme. J'ai pris
également beaucoup de temps pour choisir mon coordonné en coton
sage. Quelque chose de très jeune et féminin à la fois, d'une
coupe sexy qui moule parfaitement mes formes. Et, aspect non
négligeable, agréable à toucher. Il y a coton et coton. On ne sait
jamais. Peut-être le père fouettard est-il un vicieux qui ne se
généra pas de me mettre sa main sous ma jupe. Tant qu'à faire
qu'il soit bien accueilli.
Me vêtir en petite jupe écossaise me
plaît beaucoup. Jupe de longueur convenable tout de même car
j'avais grande envie de sortir plus tard dans la journée avec mon
amoureux au restaurant. Pas de problème particulier pour nouer le
nœud de la cravate qui va avec mon chemisier blanc. En digne fille à
papa il m'est arrivée à maintes reprises de lui faire des nœuds.
Alors je sais m'y prendre. Par contre quel désagrément la sensation
des chaussettes longues. C'est joli à voir avec ma tenue, mais en
cette saison plutôt frisquette, ce sera un rude épreuve pour
marcher dehors. J'avais pris deux modèles, ceux qui s’arrêtent
juste en dessous du genoux et des vraiment longs qui font effet
cuissardes. Mais c'est derniers je les range de côté car je trouve
que cela fait vraiment mal élevée. Non pas que cela me gêne de
provoquer un homme par tout moyen vestimentaire, mais je ne me
sentirais pas à l'aise lors d'une promenade. Je complète avec des
chaussures à petit talon. Hors de question tout de même de faire
des frais pour du plat vernis qui ne me correspond pas du tout.
Puis
j'attends...pas longtemps !
Mon homme étant d'une ponctualité
exemplaire semble posséder une horloge intégrée. J'ai pu m'en
apercevoir à d’innombrables reprises depuis, même s'il ne porte
aucun chronomètre sur lui. Père fouettard version moderne qui me
tend au lieu du bien classique bouquet de fleurs un fagot de verges
joliment attachés. Coupe de cheveux fraîchement refaite,
parfaitement rasé et costume avec cravate . Tout ce qui me fait
craquer.
Je crois que
je me suis trompé d'adresse, mademoiselle !
Ainsi exprime-t-il son émerveillent de
me découvrir en étudiante studieuse. Il fait le tour pour me
contempler sous toutes les coutures. Puis il commence à déployer
ses charmes. Il part sur des petites questions, car n'oublions pas
que le père fouettard est sensé de vérifier si les notes dans son
grand livre s’avèrent exactes. Puis cela devient de plus en plus
indiscret. Je me sens rougir à chaque nouvelle question. J'essaye de
répondre les plus honnêtement possible et je m'embourbe bien vite.
Je veux dire par là que la notion du
jeu s’efface en faisant place à la troublante impression d'une
rencontre entre mon désir charnel et une autorité chargée de le
scruter élément par élément. De m'accorder ou refuser certaines
jouissance en les classant dans des catégories des bons et mauvais
comportements. Prenons note que bon et mauvais ne s'appliquent pas en
concordance avec l'étique commune, mais en concordance avec le
jugement personnel du père fouettard qui invente ainsi une nouvelle
morale de la jouissance. Ce qui est le fondement de toute perversion.
Obéir
pour être récompensée.
Et ce qui est le cadeau pour les
enfants, c'est le plaisir pour la petite étudiante qui suit
attentivement son cours. Seulement ici c'est la punition qui est
devenu le plaisir dans mon équation personnelle.
Voila
ce que sous-entend le fameux respect de l'autorité qui s'apprend par
la peau des fesses !
Et je ne suis pas encore arrivée au
bout de mes sueurs, de ma leçon que je dois apprendre en bonne
étudiante.
C'est pas à
votre avantage ce que j’entends, mademoiselle. Faites-moi
confiance, nous allons corriger tout ça !
Plus tard au restaurant sous ma petite
jupe plissée, c'est une fessier de plus rouge qui se cache. Le père
fouettard est allé au bout de la traditions en m'allongeant sur ses
genoux. Il m'a baissé la culotte avec délicatesse et j'ai reçu une
superbe fessée à la main dont le bruit n'a pas du échapper à
l'oreille attentif de ma voisine du pallier. Maintenant je gigote sur
ma chaise et je ne puis m'en empêcher tellement j'ai mal encore.
Cela donne vraiment impression d'une jeune étudiante, toute candide
qui essaye d'attirer l'attention de son prof. J'ai déjà goûte en
voiture les avantages de ma courte jupe et de mes chaussettes qui
inspirent tant mon homme qu'il ne peut se retenir pour balader ses
mains sur ma peau nu. Je me suis vue ma culotte confisquée avant de
sortir et le petit courant d'air sur ma peau dépourvue du moindre
duvet me fait des chatouilles de plus plaisantes.
Étudiante
sage ?
Comme m'a dit souvent mon homme en
remémorant cette journée :
Je m'attendais
pas que le père fouettard fasse un tel effet sur la libido d'une
femme...
Merci pour le clin d'oeil!
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