jeudi 6 décembre 2012

233 Père fouettard 5


C'est la fête du Père Fouettard aujourd’hui !


Joli idée inspirée par Latis L, nouvelle plume et et talentueuse dessinatrice de notre petite communauté. Nous avons donc un saint patron des amateurs et amatrices de la fessée ! Grand temps alors que je finisse mon histoire.



Levée depuis l'aube j'avais pris le temps pour me pomponner. Me sexifier plus exactement, car je connaissais déjà bien les préférences de mon père fouettard. Je n'étais pas encore définitivement épilée à l’époque et j'ai procédé donc d'abord à un soigneux rasage pour être toute lisse de partout. Puis en me passant une huile apaisante je n'ai pu m’empêcher de quelques caresses pour explorer la nouvelle sensibilité de ma peau. J'aime me voir sans le moindre poil et j'aime encore plus les sensations que cela provoque. Puis comme dit mon homme c'est tellement mignon quand on découvre sur une petite culotte en coton le contour bien bombé de l'éternel féminin.

Un rendez-vous galant pour une fessée dégage quelque chose d'autrement émouvant qui ne se trouve pas dans une rencontre plus classique. C'est une fête avant tout dédiée aux fesses (et non au c*l à mon goût) et par conséquence il m'importe beaucoup de mettre mon derrière en valeur. Cela commence par un de ces lourds parfums enivrants comme les aime mon homme. J'ai pris également beaucoup de temps pour choisir mon coordonné en coton sage. Quelque chose de très jeune et féminin à la fois, d'une coupe sexy qui moule parfaitement mes formes. Et, aspect non négligeable, agréable à toucher. Il y a coton et coton. On ne sait jamais. Peut-être le père fouettard est-il un vicieux qui ne se généra pas de me mettre sa main sous ma jupe. Tant qu'à faire qu'il soit bien accueilli.

Me vêtir en petite jupe écossaise me plaît beaucoup. Jupe de longueur convenable tout de même car j'avais grande envie de sortir plus tard dans la journée avec mon amoureux au restaurant. Pas de problème particulier pour nouer le nœud de la cravate qui va avec mon chemisier blanc. En digne fille à papa il m'est arrivée à maintes reprises de lui faire des nœuds. Alors je sais m'y prendre. Par contre quel désagrément la sensation des chaussettes longues. C'est joli à voir avec ma tenue, mais en cette saison plutôt frisquette, ce sera un rude épreuve pour marcher dehors. J'avais pris deux modèles, ceux qui s’arrêtent juste en dessous du genoux et des vraiment longs qui font effet cuissardes. Mais c'est derniers je les range de côté car je trouve que cela fait vraiment mal élevée. Non pas que cela me gêne de provoquer un homme par tout moyen vestimentaire, mais je ne me sentirais pas à l'aise lors d'une promenade. Je complète avec des chaussures à petit talon. Hors de question tout de même de faire des frais pour du plat vernis qui ne me correspond pas du tout.

Puis j'attends...pas longtemps !

Mon homme étant d'une ponctualité exemplaire semble posséder une horloge intégrée. J'ai pu m'en apercevoir à d’innombrables reprises depuis, même s'il ne porte aucun chronomètre sur lui. Père fouettard version moderne qui me tend au lieu du bien classique bouquet de fleurs un fagot de verges joliment attachés. Coupe de cheveux fraîchement refaite, parfaitement rasé et costume avec cravate . Tout ce qui me fait craquer.

Je crois que je me suis trompé d'adresse, mademoiselle !

Ainsi exprime-t-il son émerveillent de me découvrir en étudiante studieuse. Il fait le tour pour me contempler sous toutes les coutures. Puis il commence à déployer ses charmes. Il part sur des petites questions, car n'oublions pas que le père fouettard est sensé de vérifier si les notes dans son grand livre s’avèrent exactes. Puis cela devient de plus en plus indiscret. Je me sens rougir à chaque nouvelle question. J'essaye de répondre les plus honnêtement possible et je m'embourbe bien vite.

Je veux dire par là que la notion du jeu s’efface en faisant place à la troublante impression d'une rencontre entre mon désir charnel et une autorité chargée de le scruter élément par élément. De m'accorder ou refuser certaines jouissance en les classant dans des catégories des bons et mauvais comportements. Prenons note que bon et mauvais ne s'appliquent pas en concordance avec l'étique commune, mais en concordance avec le jugement personnel du père fouettard qui invente ainsi une nouvelle morale de la jouissance. Ce qui est le fondement de toute perversion.

Obéir pour être récompensée.

Et ce qui est le cadeau pour les enfants, c'est le plaisir pour la petite étudiante qui suit attentivement son cours. Seulement ici c'est la punition qui est devenu le plaisir dans mon équation personnelle.

Voila ce que sous-entend le fameux respect de l'autorité qui s'apprend par la peau des fesses !

Et je ne suis pas encore arrivée au bout de mes sueurs, de ma leçon que je dois apprendre en bonne étudiante.

C'est pas à votre avantage ce que j’entends, mademoiselle. Faites-moi confiance, nous allons corriger tout ça !

Plus tard au restaurant sous ma petite jupe plissée, c'est une fessier de plus rouge qui se cache. Le père fouettard est allé au bout de la traditions en m'allongeant sur ses genoux. Il m'a baissé la culotte avec délicatesse et j'ai reçu une superbe fessée à la main dont le bruit n'a pas du échapper à l'oreille attentif de ma voisine du pallier. Maintenant je gigote sur ma chaise et je ne puis m'en empêcher tellement j'ai mal encore. Cela donne vraiment impression d'une jeune étudiante, toute candide qui essaye d'attirer l'attention de son prof. J'ai déjà goûte en voiture les avantages de ma courte jupe et de mes chaussettes qui inspirent tant mon homme qu'il ne peut se retenir pour balader ses mains sur ma peau nu. Je me suis vue ma culotte confisquée avant de sortir et le petit courant d'air sur ma peau dépourvue du moindre duvet me fait des chatouilles de plus plaisantes.

Étudiante sage ?

Comme m'a dit souvent mon homme en remémorant cette journée :

Je m'attendais pas que le père fouettard fasse un tel effet sur la libido d'une femme...

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