samedi 30 juin 2012

113 Liens de DD (16ème édition)


Quel beau temps ! Voila, l'été est là. Saison de profiter pleinement en famille de la chaleur et du soleil. Petite baisse du nombre de mes posts avec grande probabilité. Mais tout dépend de mon temps disponible.

Je vous souhaite un excellent week-end !













Pour ceux qui ne connaissent pas encore, un nouveau lien permanent :



vendredi 29 juin 2012

112 Correction instructive (Un fantasme)


Quand j'étais gamine ma curiosité sexuelle s'est transformée petit à petit en une véritable passion pour le savoir.

C'est vers mon adolescence qu' ont fait apparition des fantasmes tournant autour d'un percepteur bien instruit et bien sévère, chargé de mon éducation.

Ajoutons à cela un cadre quelque peu moyenâgeux, à l'image de Pierre Abélard et d’Héloïse pour combler mes élans romantiques et des méthodes basées sur le châtiments « ex manus » (appliquées à la main) et nous y sommes.

Point de faute d'orthographe qui me vaut une correction exemplaire ! Non ! Mais un comportement de plus provoquant dans le sens de séduction féminine envers mon précepteur, me détournant ainsi de la vraie science.

J'imagine mon précepteur, un peu dépassé par la situation, respirer à une vive allure. Quelques gouttelettes de sueur et surtout très gêné quand il remonte ma robe. En m'expliquant de manière le plus scientifiquement possible (qui ne trompe personne) le bienfait de la discipline corporelle pour élevés récalcitrantes.

Malgré la fraîcheur matinale, moi aussi j'ai très chaud et la sensation de me retrouver, les fesses dénudées sur le genoux du Monsieur me provoque d'agréables frissons. Pendant que les claques pleuvent, au début timides, puis de plus en plus fortes, je sens - outre une vive brûlure – quelque chose se durcir sous la soutane ...

Et voilà mon instruction en sciences masculines qui progresse à pas de géant !

Je n'ai jamais reçu de fessée par un monsieur en soutane (quel dommage), en liaison avec une confession menée sans chichi (tiens pourquoi pas tant qu'on y est), mais les effets d'un tel acte sur la libido masculine n'a pas de secret pour moi.

jeudi 28 juin 2012

111 Correction maritale


Un extrait littéraire qui date de plus de 120 ans.

Les mésaventures d'une jeune fille qui essaye de percer le secret du mariage et qui croit faire une découverte de plus étonnante. Inutile de dire que la fessée occupait et occupe peut-être encore une belle place en matière de théories sexuelles de la petite enfance. Notons la présence d'un martinet avec un manche en ébène qui sert « parfois à menacer les chiens ».

Je garde toute interprétation pour moi et je profiterai d'un autre post pour un petit texte perso sur mes propres fantaisies cuisantes en rapport avec le mariage.

Source : Bibliothèque nationale



- Nom d'un tonnerre! Lili, vas-tu un peu nous laisser tranquilles !


- Je veux savoir ce que c'est que le mariage! na, je veux! je veux!

Eh bien puisque tu le désires absolument, je vais te le montrer, « Et … il décrocha au coin de la cheminée un joli martinet à manche d'ébène qui
servait parfois à menacer les chiens quand ils n'étaient pas sages, puis renversant délicatement Lili sur ses genoux, il souleva ses jupes, et, malgré ses réclamations indignées, il lui administra une fessée bien comprise sur les parties potelées et charnues... Quand ce fut fini, il remit Lili sur ses pieds, puis il lui dit gravement:

- Voilà ce que c'est que le mariage. Et maintenant que tu-sais tout ce que tu voulais savoir, retourne chez toi, et ne nous romps plus les oreilles...


Lili rentra dans sa chambre avec une gravité singulière, et de ce jour, loin d'envier sa sœur Marguerite, elle se prit à la considérer avec une commisération profonde. Le beau vicomte de Chabert, charmant dans son dolman à brandebourgs, orné de tresses d'argent et de soutaches en hongroises, avait beau se montrer chaque soir de plus en plus tendre, de plus en plus amoureux, de plus en plus pressant sous les yeux attendris des parents feignant de ne rien voir, Lili n'enviait plus le sort de sa sœur, et ne s'intéressait plus à ces épanchements discrets dont l'épilogue devait se traduire par une formidable fessée. Ainsi, il arriverait un jour où cet officier, qui paraissait si câlin, prendrait pauvre Gri-Gri sur ses genoux, comme avait fait le marquis pour elle, il retrousserait les jupes de la belle brune, et le martinet viendrait marbrer de cinglures rouges la jolie chair de grande sœur. N'était-ce pas épouvantable ? A cette seule idée, les larmes lui venaient aux yeux.

mercredi 27 juin 2012

110 Discipline corporelle et hygiène de vie 4


Je n'aime pas quand mon homme me déculotte lui-même.

(Et je n'ai eu aucun mal pour cerner que le pyjama sert justement à varier son plaisir de me déculotter. C'est tellement facile avec cette tenue...

Devoir se mettre en pyjama à partir d'une certaine heure, instaure à mes yeux un agréable rapport d'autorité avec un sous-entendu de taille :

Je t 'ai à l’œil, isabelle. Si t'affiches un comportement irréprochable, tout va bien. Par contre au moindre écart on baissera ton froque, une bonne fessée, un suppo et au lit. C'est bien compris ?)

Et je n'aime pas non plus m'allonger avec un pantalon autour des chevilles sur ses genoux.

Dans la discipline domestique le plus souvent les punitions se passent à nu, c'est-à-dire que la dame se présente complètement nue pour bénéficier pleinement de la sévérité du monsieur. Dans cette nudité il y a quelque chose de très libératoire je trouve, cette idée sous-entendu de recommencer à zéro, d'une nouvelle chance donnée. Et quand je me rhabille après le coin, je ne manque pas de bonnes intentions de mieux surveiller mon comportement.

Comme dit mon homme un bon paddle fait un effet carton plein, veut dire dans son langage qu'il procure une sensation uniformément douloureuse dans les parties châties. De plus, appliqué avec méthode ou pas, le paddle ne laisse aucun doute sur ce qui se passe. Une personne dans une pièce à côté saurait infailliblement que quelqu'un reçoit de la discipline traditionnelle.

Et c'est partie pour chauffer le paddle !

Il suffit d'un court instant de traitement pour que j'exprime avec ardeur mes regrets et mes promesses de m'améliorer. A aucun moment ne me vient à l'esprit un éventuel aspect récréatif de la chose. Je me suis mal comportée, j'ai éprouvé un fort besoin de discipline corporelle et mon homme se charge de me l'appliquer. J'ai un terrible mal dans mes fesses et je ne suis pas au bout de ma peine. Pour gagner le sentiment d'avoir pleinement expié ma faute, il me faut un châtiment juste et approprié. Une discipline ferme et bienveillante qui se montre par une vive couleur à la manière :

Elle était sévère la fessée que t'as reçue !

Et qui provoque non pas de la compassion à cause d'abominables hématomes et le conseil de saisir sur le champs un avocat, mais un air bien amusé, moqueur de la personne qui regarde mon derrière.

En général quand j'ai le droit de me relever de ma fessée, je passe un long moment à me masser mon derrière. Les jambes écartés, je me penche bien en avant pour mieux soulager ma peau. Même si mon homme rigole de mon obscénité involontaire, à ce moment-là cela m'est relativement égal et puis je pars au coin avec bon nombre d'ondulations et frottements.

Avec ce maudit pyjama, je ne puis m'adonner à mes habitudes de détendre mon fessier. Et le pantalon autour des chevilles me donne une démarche de plus ridicule.

Mais peu importe, j'ai payé ma note et un peu de coin me fera du plus grand bien.

N. B. : Je fais partie des personnes qui ont besoin de discipline corporelle sur une base régulière à cause d'un besoin de punition particulier qui réclame pour bon nombre de mes actes et comportements des sanctions qui se passent sur mon derrière. Dans ce sens mes corrections sur les genoux de mon homme font partie intégrante de notre hygiène de vie.

lundi 25 juin 2012

109 Discipline corporelle et hygiène de vie 3


On se déshabille pas n'importe comment !

Encore une des ces maximes de mon homme que j'ai appris à respecter scrupuleusement. L'effort supplémentaire de plier ses habits au fur et à mesure est minime et permet de gagner un temps fou le matin pour un effet « présentation nickel ». Au début j'étais un peu flemmarde , mais il a suffit de quelques séances de martinet, pour m'améliorer considérablement.

Trop pointilleux mon homme ?

Au premier coup d’œil peut-être. Mais n'oublions pas qu'il se charge essentiellement de combler mon désir de punition qui lui est bien pointilleux.

Une fois le pyjama enfilé, je le trouve très agréable à porter. Il me donne l'air d'une fausse ado (l'anecdote date de mes 25 ans!) qui n'a pas été sage et qui attend maintenant la visite du père fouettard, l'autorité pour me ramener dans le bon chemin

Même pas peur, même pas mal !

Euh ? Je ne suis pas en attente d'un divertissement mignon. Je parle ici de véritables fessées punitives qui claquent fort et qui font mal. Qui incitent à réfléchir sur mon comportement.
Comme souvent avant une correction, j'éprouve des regrets pour mes actes. Sincères regrets serait peut-être un peu prématuré comme terme. La sincérité se fait plutôt au feu de l'action quand mes fesses commencent à chauffer sacrement et mon homme se laisser aller avec une certaine virtuosité.

Donc d'un côté la certitude de passer un très mauvais moment (Ah si je tenais la personne qui a inventé l'expression de plaisir partagé!), de l'autre ce mal être dans ma peau qui se soigne le plus efficacement par une claquante déculottée.

De plus en portant ce pyjama je me sens déjà remise à ma place par avance.
Il te va très bien ce pyjama, isabelle !

Voila, toujours galant mon homme. Il profite pour faire claquer le paddle sur la paume de sa main. C'est de loin l'instrument le plus sonore que je connaisse. Et le son et la hauteur de l'effet. Et à l'instar d'une bonne raquette de ping-pong les deux côtés ne sont pas identiques niveau qualité de cuir. L'une sert à chauffer l'épiderme et l'autre est créé en vu de belles finitions.


dimanche 24 juin 2012

108 Exercices de maintien en corset et bas nylon


Je pense à ne pas être la seule femme qui adore les corsets.

J’applique la règle taille mois 10 (au maximum) ce qui me procure une silhouette élégante sans rentrer dans la contrainte. Me permettant ainsi de porter mon corset pendant la journée entière.

Pour le laçage j’ai initié mon homme qui prend grand plaisir à me transformer en clepsydre. En ajoutant des bas nylon, des escarpins hauts, un joli chemisier, un tailleur gris ou bleu marine avec jupe droite je me sens... très classe. Puis le corset me force à adopter une démarche légèrement ondulante au niveau de mon popotin.

Quand j’ai besoin d’être corrigée en portant cette tenue (ce qui est très rare tout de même), mon homme prend un malin plaisir de prolonger mon supplice. Ma jupe et culotte enlevées, mon fessier rouge flamboyant et bombé par le corset, il m’impose des exercices de maintien. Avec un livre sur la tête j'effectue des allées et retours dans la pièce pendant une demi heure sous son regard attentif. Le temps nécessaire que mes globes enflammés refroidissent un peu.

L’effet bénéfique du châtiment pour moi est double : La fessée me garde sur la voie des bonnes manières et ma démarche gagne en élégance. Quand vient le moment de remercier monsieur pour ma punition, l’exercice m’a rendue contrite et réfléchie et je suis prête à lui exprimer toute ma gratitude de ne jamais passer sur mes fautes. Surtout parce que sa vision personnelle de la discipline domestique sert à me rendre plus attirante.

samedi 23 juin 2012

107 Liens de DD


Encore une journée qui démarre sous un soleil superbe. Matinée fraises de bois pour notre petite et une jupe plissée très courte pour moi qui ravit mon homme pendant la promenade et surtout quand je ramasse les fraises. Il n'aimerait pas que je mette ce genre de vêtement dans un endroit moins intime. Pudique non seulement pour lui, mais surtout pour moi d'où en petit clin d’œil les deux premiers liens...mériterait bien une fessée ! 

Ceci dit ces deux-là, je les ai reçues pour des méfaits similaires depuis belle lurette. Hein oui, parfois on prend goût au monde fantasmatique de son partenaire plus vite que l'on ne l'imagine.

Je vous souhaite un excellent week-end !










jeudi 21 juin 2012

106 Discipline corporelle et hygiène de vie 2


Comme le paddle qui est une création sur mesure pour mes fesses et qui se compose exclusivement de matériaux choisis et approuvés par mon homme, le pyjama aussi correspond à tous les critères d'un choix par un amoureux de sa femme. Que ce soit pour le confort, la qualité du tissu, la coupe et last not least l'aspect esthétique qui m'importe tant pour mes habits. Impossible de se tromper de couleur. Je n'ai pas encore dépassé entièrement le goût Barbie, ou plutôt l'âge Barbie comme dit mon homme. Et bien que cette merveilleuse poupée s'adapte toujours à l'air du temps, chez nous la pendule s'est arrêtée à l'heure ancienne et j'ai aussitôt compris ce qui m'attendait. Pas seulement ce soir-là, mais pour les autres aussi...en cas de mauvais comportement.

Il n'y a pas meilleure hygiène de vie pour une jeune femme en manque de bonnes manières que d'une sonore correction sur son derrière déculotté avant de se coucher.

Voyons le verbe « coucher » un peu large. Rien n’empêche parfois plus tard (très importante cette notion pour moi dans le sens « beaucoup plus tard »  dans certains cas comme celui-ci par exemple !) une petite récréation à deux. Après avoir respectés scrupuleusement le protocole du coin pour mettre les émotions des protagonistes dans le bon sens. Et un long moment des câlins tendres sans aller plus loin.

Sinon oui, il n'a pas tort mon homme.

Pour moi aussi la discipline corporelle fait entièrement partie d'une bonne hygiène de vie.

Comme la nourriture saine, le sommeil régulier et l'effort physique servent à désintoxiquer le corps de manière naturelle, une correction bien sensée peut procurer un bien fou à l'esprit quand la personne est susceptible aux méthodes traditionnelles en ressentant (épisodiquement, parfois, souvent, peu importe) un vif besoin de recadrage. Comme moi quoi !

Soyons clair, l'idée de se débarrasser d'un état nerveux, anxieux, d'un lourd poids de conscience, d'un sentiment d'atmosphère chargée, de vouloir se vider la tête, se laisser aller, s'abandonner etc sur les genoux de son homme (ou de sa femme) par un coup de baguette magique tente peut-être plus de personnes que l'on ne l'imagine.

Seulement il est très mal vu de parler ouvertement surtout quand on est adulte de son besoin de punition. Devoir passer par un « jeu » peut être une expérience très humiliante dans ce cas. Outre de l’incompréhension manifeste du partenaire, il y a aussi l'impression de devoir prétexter un plaisir, de l'ordre conventionnellement sexuel quand le but recherché visé un apaisement de l'esprit ou d'une tension nerveuse.

Tu va aller dans la chambre à coucher, te mettre en pyjama et attendre que je m'occupe de tes fesses. Exécution !

J'emporte avec moi le nouveau pyjama et le frisson voluptueux procuré par la voix de mon sergent instructeur qui ne faillit jamais à appliquer le règlement de la maison. Cela ne pourrait pas mieux tomber, car sans vouloir le cacher, j'aime beaucoup marcher au pas...


mercredi 20 juin 2012

105 Discipline corporelle et hygiène de vie 1


Petite fille déjà, je n'aimais pas les pyjamas. J'avais bien compris ce qui me distinguait de mes deux frères et je souhaitais ardemment que cette différence s'affichât aussi à travers de mes vêtements. Alors le soir, c'était la guerre pour que j'enfile mon pyjama. Jusqu’à ce que mon papa, frappé de bon sens, revint à la maison avec une chemise de nuit pour moi. Et me voilà redevenue la petite fille sage qui ne dénotait pas de l'ambiance familiale par des cris de colère. (M'enfin ma mère ...se défend pas mal à ce niveau. ). Avec le recul je dirais que cela n'avait rien d'un traumatisme, seulement d'un désagrément.

Le pyjama fit réapparition au début de la vie commune avec mon homme.

Adepte d'un hygiène de vie irréprochable (pour lui aussi en bon exemple), j'ai dû me plier à un règlement strict concernant le sommeil, la nourriture, les activités physiques et j'en passe. Exactement ce qui me fallait et j'éprouve beaucoup de plaisir de m'abandonner au bon soins de mon homme.

Cette façon de vie me réussit bien. Objectivement elle se base sur du solide, même si mon homme y glisse quelques éléments mignons. Après tout c'est un homme et j'aime bien quand il me surprend par la science romantique au service le libido.

Comme sa technique particulière de me prendre la température, à laquelle j'ai pris tellement habitude (et goût aussi, mais oui) que j'ai failli baisser une fois ma culotte devant mon médecin à l'annonce d'une prise de température.

L'emploi systématique de suppositoires à chaque fois qu'un comprimé peut être ainsi remplacé. Pas de manière aléatoire, mais par prescription médicale. Il en va de soi que mon homme se charge de me les appliquer.
Disons , il ne me semble pas un hasard que la fessée rentre dans les pratiques dites « sadiques-anales ». On en trouve presque toujours des éléments dans ce sens chez les adeptes de l'éducation anglaise et pourquoi pas...justement nous sommes entre adultes.

Ou encore l'épilation intégrale comme expression d'une hygiène corporelle impeccable. Donc me voilà lisse de partout, au début par rasage, puis traitement à la cire et ensuite par du définitif. Cela me convient et en plus depuis quelques années je suis parfaitement à la mode. Et mes copines allemandes (!) et françaises aussi qui se moquaient jadis gentiment de moi ont troquées une après l'autre leurs fourrures contre le look « glabre de partout ».

Je revient à mon pyjama. Un jour, après un comportement exécrable de ma part, il était là ! Posé dans son emballage sur la table basse du salon, juste à côté de notre paddle en cuir pour les grandes occasions. Et derrière la table, assis sur le canapé, mon homme, un grand sourire sur le visage :

Voila jeune dame. Le programme de ce soir.


mardi 19 juin 2012

104 Un martinet pour la petite dame


Nous étions invités chez un adorable couple d'amis de mon homme. Elle, le début de la cinquantaine, lui une dizaine d'années de plus. Dans leur résidence de vacances. Un petit paradis terrestre, une maison ancienne sur le flanc d'une colline, chemin d’accès quasi pédestre pour les 100 derniers mètres. Aucun bruit de la civilisation, chants d'oiseaux et bruissement d'une petite rivière.

Avec une isabelle qui rouspète à faire taire les oiseaux. Car non prévenue par son homme sur les aléas topographiques, elle se balance avec beaucoup de difficulté sur ses sandales à hauts talons.

Tu exagères. Pourquoi tu ne m'a pas conseillé d'autres chaussures ?

Et avant que je ne puisse émettre une petite pique, Monsieur, d'excellente humeur comme d'hab, soulève sa petite femme et répond façon chevalier galant d'un autre âge.

Pour pouvoir te porter dans mes bras, ma chérie !

Waoh ! Il avance sur une belle pente avec moi sur ses bras sans s'essouffler. Je sens ses muscles tendus sous sa chemise. Et aussi des petites envies qui envahissent mon corps.

C'est ainsi que nous arrivons devant la maison. Nos hôtes que je connais uniquement de l'ambiance ville, sont méconnaissables. Madame a troqué ses tailleurs pantalon contre une petite robe indienne. Et son mari surprend avec un short Beach Boys et chemisette assortie. C'est du décontracté à l'état pur. Des hippies qui se déguisent la plupart du temps en citadins et qui dévoilent ainsi devant nous leur intimité.

Malgré mon faible pour le moderne qui brille, je suis susceptible au charme qui se dégage de l’intérieur de la maison. Des boiseries avec leur patine. L'odeur du cirage, mélangée à celle d'un feu de cheminé qui sert visiblement pour faire un authentique repas de campagne. Avec la déco qui déborde d'objets anciens, je me crois un siècle en arrière.

Ajouté à toutes ses émotions, il suffit d'un petit surplus du délicieux apéro maison pour que je sente agréablement pompette. Le verre à la main, le verbe et le rire facile, je continue avec la dame de la maison une merveilleuse aventure au travers du temps.

Mais quand je découvre parmi les innombrables choses des beaux martinets (oui, oui une jolie petite grappe), très anciens cela va de soi, accrochés bien en évidence à la porte d'entrée, je marque un temps d’arrêt, pouffant de rire. C'est plus fort que moi, car j'imagine aussitôt cette gentille dame sur les genoux de son mari qui lui soulève sa robe indienne pour la préparer aux festivités.

On dirait que ça vous rappelle des bons souvenirs isabelle ! C'est votre papa ou votre maman qui...

Mais non pas mes parents, c'est mon homme...

Là, c'est notre hôtesse qui rigole de bon cœur et elle ne se prive pas de communiquer ma réponse à son mari et à mon homme.

Monsieur plié de rire trouve le bon mot :

Vous savez, on aime bien s'amuser !

Et sa réponse passe à la merveille. On me propose même gentiment de choisir un de ses martinets anciens pour la prochaine fois quand je fais la vilaine. Je rougis rarement, mais là, obligée de faire un choix aussi délicat, je me sens comme une gamine devant des adultes...qui conseillent sans se priver de moqueries.

J'ai appris plus tard par mon homme que ce couple affectionnait des penchants proches des nôtres. Pour ma part, je n'ai rien vu de cela. Il aurait pu s'agir des simples objets de déco, insolites certes, mais sans rapport avec la chose. Depuis je méfie des apéros maison...

lundi 18 juin 2012

103 Les différentes approches des messieurs de la flagellation


Il ne ressort pas très clairement du texte de quand date cette « savante » classification exactement. Avec du bon sens je dirais depuis la nuit du temps...certains messieurs aiment taper sur le fesses de filles.

Voici donc un extrait instructif du livre :Les flagellants et les flagellés de Paris ; Charles Virmaître 1902.


Les hommes qui affectionnent la flagellation peuvent être divisés en trois classes : 

1° Ceux qui aiment recevoir une fustigation, plus ou moins sévère, de la main d'une jolie femme, suffisamment robuste pour manier les verges avec vigueur et effet ; 

2° Ceux qui, au contraire, prennent plaisir à administrer eux-mêmes la discipline sur la peau blanche et la chair ferme d'une belle fille ; 

3° Ceux qui, ne voulant être ni les destinataires passifs, ni les dispensateurs actifs des coups de verges, puisent une excitation suffisante dans le fait d'assister en simples spectateurs à ce sport tout spécial. 

Beaucoup de personnes, ne connaissant pas suffisamment la nature humaine, ni les usages mondains, sont portées à croire que cette inclination vicieuse pour la flagellation est limitée aux vieillards ou aux individus prématurément épuisés par des excès vénériens : mais il n'en est rien en réalité ; car, nous trouvons, en effet, autant de jeunes gens dans la fleur de l'âge, que de vieillards que cette passion domine...

Source :Les flagellants et les flagellés de Paris ; Charles Virmaître 1902

dimanche 17 juin 2012

102 Remise en place


J’aimerais parler aujourd’hui d’une romantique variante de correction sur le derrière, celle qui mériterait le nom :

Fessée à l’eau de rose.

Elle a fait son apparition dans mon adolescence comme lien entre mes rêveries d'enfance et la prise de conscience que la bonne vielle déculottée n'a rien d'un fantasme en toute innocence.

Je fais partie des filles dites romantiques. Cela veut dire que je recherche une harmonie particulière avec mon partenaire de vie sans toutefois me priver de la possibilité d’évoluer individuellement en tant qu’être humain. La liberté d’esprit comme expression d’individualité n’exclut pas pour moi un goût pour la discipline stricte comme fondement d'une vie en couple.

Je ne cherche pas comme compagnon un maître à penser, ni un initiateur à la jouissance ou autre, mais une personne qui sait tenir compte de mes émotions et irrationalités. Je ne lui demande pas de se mettre à ma place. J’aime être comprise tout court dans un but bien égoïste :

J’attends de l’homme à mes cotés de me combler sur tous les niveaux et je mets la barre haute.

Être romantique ne veut pas forcement dire nunuche. Le romantisme pour moi n’est pas une conception brumeuse de la vie. Mes idées sont bien claires à ce sujet. Je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas. J’aime bien par exemple l'idée que je me fais de la féminité des années 40/50. C’est une façon de m’extérioriser, de m’évader du quotidien social de nos jours sans aucun rapport avec un état d’esprit. J’aime beaucoup me donner des allures aguichantes en privé avec un homme qui ne considère pas une femme assumant pleinement sa sexualité comme une « pute » ou « salope ».

Pour moi la discipline cuisante n’est pas inconciliable avec les idées romantiques. Au contraire, cela va bien ensemble je trouve et c'est justement cette alliance insolite qui fait le charme de la fessée cinématographique.

Il ne s’agit pas de recevoir une vraie fessée, mais du geste avec lequel le monsieur marque sa façon d’envisager la vie à deux. Qu’il montre son sens d’initiative, sa détermination…

Un tel homme me rassure dans le sens que les choses sont claires entre lui et moi. Qu’il n’y ait pas de prise de tête à cause d’un éventuel manque de courage de prendre une décision. Je ne vois pas le côté mâle ou encore macho, mais simplement la commodité de vivre avec une telle personne.

Marquer le coup n’a pas besoin de se faire de manière forte et dans ce sens :

La fessée à l’eau de rose me fait plus rêver que fantasmer.

C’est cela sa force. Elle établit une communication non-verbale entre deux inconscients qui est faite pour durer. Pour que le fantasme de partager la discipline domestique avec un homme s’installe en moi j’ai besoin d’être mise en confiance, veut dire que monsieur soit capable de cerner et de tenir compte de mon désir. Sans être pressé. Et sans me poser trop de questions aussi. Question de feeling.

C’est comme le petit baiser tendre que j’attends pour conclure une première rencontre et qui n’aura une suite charnelle qu'au deuxième rendez-vous. Je ne suis pas en manque. J’aime qu’on me laisse le temps pour réfléchir sans me coller.

Je ne suis pas une femme indécise. Une nuit de sommeil me suffit pour me réveiller en sachant exactement ce que je veux. Je me suis mise en couple avec mon homme très, très rapidement. Je ne suis pas une aventurière. J’apprécie le stabilité. Je pense que c’est un caractéristique des femmes susceptibles à la discipline domestique.

Toutefois il ne faut pas sous-estimer le pouvoir stimulant de la fessée à l’eau de rose.

Elle se grave comme un magnifique souvenir dans la mémoire. Elle donne envie de construire à deux sur des bases solides. Et elle donne envie de s’abandonner à son partenaire sans crainte.

Je pense que beaucoup de femmes ont un regard plus simple que les hommes sur la sexualité et aussi sur la fessée si c’est leur fantasme. Cela fait partie de la vie comme manger et boire. Il suffit que la mise en route se fasse en douceur. Après tout est possible…

Même dans un couple établi de longue date où la discipline conjugale est à l'honneur, la fessée à l’eau de rose trouve sa place. Une petite attention, un hommage aux rêves de la dame par un interlude particulier renforce le lien de complicité.

En fait, il incombe à Monsieur de me combler sur deux niveaux :

Celui du fantasme et celui du rêve.

La réalisation de mes fantasmes est la partie femme adulte en moi, la réalisation de mes rêves la nostalgie de mon adolescence. La discipline domestique se trouve quelque part entre les deux. Rien à voir avec la qualité de la « mécanicité ».

Les filles sont selon moi moins difficiles à comprendre que certains hommes supposent. Il suffit tout simplement de s’intéresser à elles…

vendredi 15 juin 2012

100 Promenade sans culotte


Un texte de c...l pour mon 100 éme message ?

Mais non, encore du blabla à l'isabelle. Une petite question que je me pose depuis pas mal de temps :

Pourquoi le fait que la dame ne porte pas de culotte intrigue tant certains hommes ?

Vu que je n'ai pas la prétention de pouvoir répondre à la place de ces messieurs, je me contente d'expliquer pourquoi moi je n'en mets pas.

Alors moi, j'aime beaucoup me promener avec mon homme sans culotte sous ma jupe. Jupe droite de 56 cm, je précise. Parce que physiquement c'est très agréable. En fait cela ne me change pas beaucoup des strings que mon homme affectionne particulièrement. De préférence avec un porte-jarretelles de bonne qualité qui tient « naturellement » par sa coupe et non pas par un maudit élastique qui s'enfonce dans ma taille. Le sexy de bon goût et le confort ne sont pas incompatibles.

Et puis quoi encore ?

Je suis sensée de me caractériser par une pudeur particulière parce qu'il m'arrive de rougir quand je dois présenter mon derrière tout nu pour ma correction ? La situation n'est pas comparable avec une nudité qui sert à séduire, je trouve. Sinon je ne suis pas plus pudique qu'une autre. Et j'en profite sans le moindre rougissement.

Je mets des dim-up ou des nylons, Chéri ?

Question idiote. Pour une promenade en amoureux mon homme opte toujours pour les bas nylons. Fierté d'un grand garçon qui a envie qu'aucun doute persiste que sa petite femme préfère les bas au collants. Mais oui, les vrai bas nylon ne sont pas extensibles, veut dire qu'ils ne collent pas comme une seconde peau. Alors il peut arriver que des petits plis se forment et trahissent ainsi le secret de la dame.


Et c'est parti, Monsieur et moi en route dans l'amour et dans la bonne humeur.

Puis quelque minutes plus tard la grande question. Comme s'il n'existait pas plus important au monde.

Tu as mis une culotte aujourd'hui, isabelle ?

Non chéri, devrais-je ?

Puis après cette révélation d'une profondeur extraordinaire, ses yeux ne me quittent plus.

Voila, on comprends pourquoi je ne mets pas de culotte. Sans elle je deviens aux yeux de mon homme (encore plus!) l'unique centre du monde. En fait, certains hommes dont le mien ne sont pas vraiment compliqués !

jeudi 14 juin 2012

99 Service de fessée express pour dames 3


Ce fantasme datant du temps quand j'étais encore célibataire, bien que entièrement nouveau pour le scénario, contenait parfois quelques éléments antérieurs. C'est-à-dire il arrive que le personnel féminin est importé de rêveries de mon enfance ou adolescence. Style mauvaise surprise :

Tiens donc. Voila isabelle. Je me ferai un plaisir de m'occuper de toi !

Convoitant ce que l'on voit tous les jours, comme disait Hannibal Lector, je suis alors reçue dans cet établissement très spécialisé par des anciennes connaissances ou voir des personnes que je côtoie encore. Il ne s'agit donc pas d'une construction entièrement anonyme qui met en relief des désirs de punition à l'état pur, mais elle fait remonter des petites scènes de la vie quotidienne auxquelles se souvient la dame sensée de s'occuper de moi. Place alors à un traitement spécial qui dépasse le cadre professionnel et qui fait le ménage et le récapitulatif de mes anciens « pêchés ».

Tu mérites ta punition depuis longtemps, isabelle !

Passent alors en revue une multitude de dames, commerçantes du quartier, mères de mes copains ou copines, prof de danse ou de gym, instructrices de mon club de « Funkenmariechen » (sorte de majorette).

D'autres fois je suis reçue par des « soignantes » interchangeables, représentant le même type de femme, souligné par une uniforme maison.

Comme presque toujours dans mon monde fantasmatique, les éléments gênants emportent sur l'aspect douloureux.

L'idée de recevoir mon traitement la porte ouverte, avec le bruit des claques qui se propage dans la salle d'attente et amuse ainsi les autres dames, me plaît plus que n'importe quel scénario qui contient des attaches ou un bandeau par exemple.

J'aime particulièrement imaginer de devoir traverser la salle d'attente après mon traitement, la jupe relevée, la culotte aux chevilles et mes fessées rouges en l'air. Idem que ce genre des mésaventure arrive à une des clientes avant moi.

En fait la correction comme acte en soi, ne joue qu'un rôle d'accessoire et se perd entre la préparation et ses suites que je souhaite l'une comme l'autre les plus honteuses possibles.

C'était un fantasme bien persistant et j'ai dû essayer tous les soins de la carte en long et en large. Il s'imposait souvent le matin, en allant au travail. Ou encore quand je n'était pas contente du tout de moi-même.

Il m'arrive encore, à des rares occasions à le revisiter, mais depuis que j'ai mon père fouettard perso à la maison, je préfère m'adresser à la fermeté d'une main d'homme...

mercredi 13 juin 2012

98 Service de fessée express pour dames 2


Il en va de soi que je ne cherche pas du sordide, évoquant un hôtel de passe. Plutôt un cadre lumineux avec accueil souriant et de qualité. Croisant éventuellement en entrant une dame qui vient de finir sa petite récréation, rayonnante, en se frottant encore le derrière.

Voila qui est rassurant. Ici on ne badine pas avec la discipline !

Tiens, je viens de réaliser en écrivant ces lignes que je n'ai jamais pensé à la tenue de l’hôtesse de l’accueil. Ni à la mienne d'ailleurs. Supposons alors que je sois en tenue pour aller au travail et ce RDV se passe juste avant. Si, si, je suis bien matinale.

Une salle d'attente de plus agréable pour papoter avec d'autres clientes. Certaines sont des habituées comme moi. On reconnaît facilement les nouvelles. Pas qu'elles se cachent honteusement dans leur fauteuil, non ! Nous sommes entre dames, alors pourquoi rougir. Je les sens bien tendues, inquiétées pour leurs fesses. Il n'est pas évident de prendre le pli d'une discipline corporelle à l'âge adulte. Et ici on ne cherche pas simplement le bâton, non, on paye pour le recevoir.

Les soins sont prodigués exclusivement par des dames. Pour éviter toute ambiguïté sexuelle. Je n'ai rien contre une main baladeuse dans la plupart des situations intimes avec un monsieur, mais une vraie fessée punitive, cela se respecte. Il faut du sérieux pour l'appliquer et - par pitié - éviter les discours du plaisir et de la jouissance.

Je suis assez grande pour savoir qu'une bonne correction fait toujours très mal.

Puis certains hommes risquent de trahir la passion pour leur métier par une déformation professionnelle au niveau du caleçon. C'est mignon à voir sur son homme, mais inadmissible sur un professionnel de la détente corporelle.

Comme clientèle je verrais bien des femmes modernes et dynamiques, toutes tranches d'âge représentées :étudiantes, commerçantes, cadres, métiers à responsabilité etc. Elles s'y rendent essentiellement le matin, avant le travail comme moi avec un pic de fréquentation le lundi matin pour débuter la semaine avec la niaque exigé par leurs supérieurs. Et quoi de mieux qu'un fessier fortement rougi ou strié selon le forfait choisi pour se montrer intraitable envers ceux et celles qui ne font rien d'autre que de se reposer sur le leur...parce qu'eux n'ont pas un mal d'enfer pour s'asseoir.

Bon, il en va de soi que le tour du sujet est loin d'être achevé. J'y reviendrai un autre jour !


mardi 12 juin 2012

97 Service de fessée express pour dames 1


Voici un fantasme datant du temps quand j'étais encore célibataire. L'idée m'est venue un jour en songeant aux hommes qui vont chez les dominatrices.

Alors première pensée à l'âge de l'égalité des sexes, pourquoi ne pas un tel service pour dames en manque d'éducation anglaise ?

Mais une fois ma pensée formulée, j'ai compris aussitôt pourquoi déjà moi-même je n'irais pas.

Je ne prétexte pas de scrupules morales, ni une gêne de payer pour un service, spécial certes, mais un service tout de même. Par contre j'avais déjà vu des photos de Donjons où se passent des RDV entre dominatrice et client. Certains m'évoquent une atmosphère moyenâgeuse qui ne me convient pas. Dans d'autres avec leur ambiance d'école  je ne me sens pas non plus à ma place. Je ne porte aucun jugement sur les fantasmes des autres, que cela soit clair, mais à chacun et chacune son petit monde.

Alors t'attendais quoi, isabelle ? Un cadre « Barbie suit des cours d'éducation anglaise » !

Exactement !

Un joli cabinet, style esthéticienne à l'ancienne. Avec une enseigne qui évoque l'activité d'une manière claire sans rentrer dans la niaiserie, par exemple :

« Institut pour discipline féminine »

« Éducation anglaise pour dames »

« Aux bonnes fessées d'antan ».

Avec une pancarte discrète des prestations c'est-à dire: mises en garde, sermons, déculottage, nudité intégrale, positions, fessées avec main ou instruments, coin, lavements, bandeau, crème apaisante etc. Puis les tarifs bien évidement. Pour comparer le rapport qualité/prix avec d'autres enseignes.

Ensuite la gamme des instruments :

Nous employons le martinet, la brosse à cheveux, le paddle, la ceinture, la badine...

Des recommandations (aller au petit coin avant certaines séances, ne pas prendre RDV en cas de coup de soleil sur le derrière, après des vaccinations dans les fesses). Et mises en garde, façon pizzeria allemande qui prévient en matière de piments.

Notre « fessée forte » est appliquée seulement aux clientes qui ont déjà reçues avec succès « la petite » puis la
« moyennement forte ».