On peut se demander quel plaisir éprouve un homme en envoyant sa dame après la fessée au coin.
Surtout quand sa
culotte est descendue aux chevilles et elle avance à tout petit pas
vers sa destination avec une démarche de plus étrange. Mais
l’ingéniosité masculine ne s’arrête pas là ! Car on
constate une jupe soigneusement épinglée, laissant ainsi une vue
imprenable sur un derrière dans une nudité paradisiaque. De plus
il est rouge, d'une nuance bien intense, témoignant ainsi d'une
copieuse punition comme cela se faisait dans le temps quand une jeune
dame n'eut pas été assez sage au goût de ses éducateurs.
Intervint alors la main ou parfois le martinet selon la méthode
jugée bon pour corriger les mauvais comportements.
Et n'oublions pas
à ajouter que le châtiment à été sûrement bien intense, car
Madame n’arrête pas de se frotter ses fesses.
Pour la dame c'est
un moment de grande solitude, car elle ne voit pas avec son derrière.
Je ne sais rien de ce qui se passe dans mon dos. J'imagine mon homme
content de lui, ravi, un sourire sur les lèvres, un air moquer...
C'est le calme après une bruyante tempête. Je crois avant tout que
pas mal d'homme aiment le calme à la maison, la paix, leur paix.
Faire ce qu'ils veulent, en étant tout de même en agréable
compagnie. Pour se vautrer
enfin dans leur fauteuil favoris, les jambes sur la table basse. Et
devant leurs yeux le fruit de leur travail. Jolie création
personnalisée selon leur souhait. La gamme varie entre le tout nu et
des tenues les plus hallucinantes. Mais la pièce centrale, maîtresse
reste le postérieur féminin qui rien que par sa forme suffit pour
échauffer le tempérament de bien de messieurs.
Il
a dû en rêver quand il était ado, d'une telle situation.
Monsieur confirme,
c'était plus que d'en rêver. J’apprends comment il s'activait le
soir sous sa couette en imaginant une savoureuse éducation d'une
dame...tiens d'un âge qui avoisine du mien de nos jours. Et moi qui
le croyait friand de jeunettes, d'étudiantes. Zut alors comme on
peut se tromper. C'est rassurant et flatteur à la fois. Dans sa
fantaisie de jadis ce fut la voisine de ses parents, une prof, une
commerçante du quartier qui recevait sa formation. Rien de bien
méchant, du bon enfant. Le retour du Papa dans le monde ségurien
qui se languit de reprendre sa place et par la même occasion
l'éducation de sa femme.
Le
fouet, est-il toujours à sa place ?
Elle réagit par un petit frisson de
plaisir pour répondre à son mari :
Ah
si vous saviez comme j'étais méchante en votre absence, cher
époux !
En fait quelle
banalité fantasmatique. Cela me convient parfaitement. Conjuguer nos banalités. C'est étonnant comme la vue de mon
fessier délie sa langue.
Mais,
parle-t-il à moi ou à mes fesses ?
C'est une étrange
sensation, l'impression que quelqu'un s'adresse à mon derrière. Lui
fait des confidences. Je me sens impolie, insolente gamine qui refuse
de se retourner pour parler les yeux dans les yeux. Cela
mériterait... Subitement je me trouve à juste titre dans mon coin.
Je pense à une des vocations premières du châtiment corporel dans
le temps: empêcher la sexualité naissante prendre son cours
naturel. Aux garçons qui se prenaient une bonne pour avoir osé de
soulever la jupe d'une fille. Aux filles qui avaient fait des avances
aux garçons.
J'ai
l'impression que nous traversons une situation d'indécision. Comme
au tout début de l'adolescence. La fessée appartient au monde des
enfants, maintenant il faut passer à autre chose. Alors comment
faire ? Se familiariser avec l'autre sexe d'abord dans sa tête ?
Avec des regards discrets ? Le rêve du grand garçon, épier
impunément un derrière de fille, de préférence tout nu ? Ça
y est, j'y suis: Je vois subitement l’intérêt du coin pour le
monsieur.
Se
rincer l’œil à volonté, ses pieds en pantoufles sur la
table sans être embêté par qui que ce soit.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire