Calmer
ma nervosité avec
une bonne fessée !
(Petit post en complément d'un autre.)
Mon homme sait sans faille détecter ma
nervosité avant même que je ne m'en aperçoive moi-même. Et ma
belle mère aussi. Cela doit être de famille. Et comme
sa maman, il entend par ce mot un comportement particulier de ma part
qui semble chercher des limites. Un comportement qui s'annonce par
des petits signes de rien du tout et qui monte en escalade, devenant
de plus en plus insistant. Un comportement dans lequel chaque
occasion est bonne pour réveiller la petite bête. Je deviens
subitement mécontente de beaucoup de choses et insolente dans mes
réponses. Non seulement envers mon homme. Je pouvais aussi me
montrer très désagréable avec ma mère ou ma belle mère. Et
pourtant je les adore toutes les deux. Enfin nous avons travaillé
sur mes dérapages et il suffit maintenant d'un petit regard de mon
homme pour me ramener sur le bon chemin. A mon goût rien ne crée
plus d'harmonie et de confiance en couple que les projets en commun.
Se fixer des objectifs et essayer des les atteindre en se motivant
mutuellement. Je préfère une discipline domestique utile à une qui
sert de prétexte pour des jeux récréatifs. Dans ce dernier cas
tant qu'à faire rester dans le registre ludique. Rien n'empêche non
plus en couple de séparer la DD des autres pratiques cuisantes.
Mon chéri a
déployé dès nos débuts une excellent stratégie éducative qui a
portée des réels fruits. La priorité concernait la famille, pour
mon comportement envers les amis et amies proches il s'était montré
moins strict et à la maison (faut pas le dire) il est de grande
patience. En fait il retrace dans ses priorités ma propre échelle
de permissivité. Et malgré certaines mémorables sanctions quand il
le faut, il arrive à contribuer de manières très significative à
mon épanouissement. Ceci dit cette tutelle à l'ancienne me réussit
bien parce que j'aime mon homme et je vois dans ses actes et dans son
comportement son amour pour moi. Je pense que pour apprécier la
fessée éducative il faut un penchant en ce sens. Ajoutons aussi
qu'un tel faible n'exclue pas d'apprécier les autres variantes et
d'y prendre autrement plaisir.
Quand je suis
nerveuse c'est comme si je me préparais à lancer ma petite crise
contre l'autorité punitive de mon homme, indispensable pour la mise
en œuvre de notre discipline domestique. Autorité qui s'applique
avec fermeté, mais sans abus. Au fil d'une longue vie de couple mon
chéri me connaît comme s'il m'avait faite. Autorité bienveillante
qui m'évoque protection, sécurité, confort et surtout amour.
Autorité d'antan avec recours au châtiments corporels, frisson et
un sacre respect pour le martinet. Autant quand il pendouillait à
côté du bureau de mon homme avant l'arrivé de notre petite que
maintenant où il se trouve dans le tiroir de son bureau et rien que
la menace de le sortir suffit parfois pour un effet fulgurant dans ma
petite culotte ou plutôt dans mon string. Il en va de soi que nos
instruments - notre martinet n'est pas le seul à soigner la peau de
mes fesses - sont dans un état impeccable. Je me fais un plaisir de
les cirer régulièrement et le moins que l'on puisse dire c'est que
cela brille et sente bon le cuir. Seulement, une fois cette noble
tache accomplie, par les méandres de ma libido, elle s'empare de mon
imaginaire et je me trouve mille et une raison d'être mécontente de
moi. Avec des degrés différents allant de nerveuse à infernale.
Bien que ce dernier état reste toutefois rare. Alors Monsieur me
regarde, m'observe, semble même s'amuser discrètement pendant je
lui lance des piques. Puis tombe enfin une mise en garde sans
animosité.
Je
te trouve bien nerveuse, isabelle. Pense à surveiller ton
comportement si tu ne veux pas passer dans mon bureau.
C'est un excellent
conseil. Et dans un premier temps cela marche, sauf que je commence
vite à me faire un petit cinéma dans ma tête qui transmet
rapidement le message à mon entrejambe.
Alerte
rouge,
prévient ma tête.
Même
pas peur,
scandent mes
fesses. Cette perspective me rend encore plus nerveuse. Je sais déjà
que seul un passage sur les genoux de mon homme ou être penchée
sous son bras me procurera un soulagement efficace de ma nervosité.
Et il me tarde d'entendre le familier :
A
nous deux,
par lequel
commence souvent ma correction. C'est un acte hautement intime pour
purifier une atmosphère chargé. L'intensité de ma sanction dépend
de la nature exacte de ma nervosité. Quand elle ne que concerne que
mon comportement en couple, mon chéri se montre assez clément. Trop
clément parfois en écoutant mon postérieur. Par contre quand elle
se manifeste à l’extérieur, nous rentrons dans un autre registre.
Là c'est la grosse punition qui m'attend et à vrai dire je ne
supporterais pas un homme cool et indulgent qui passerait sur des
telles attitudes. J'ai besoin que l'on me montre mes limites de
manière explicite et désagréablement douloureuse. J'ai besoin de
libérer ma tension intérieure et on s'approche peut-être de ce
qu'appelle la communauté anglaise... le stress relief.
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