mercredi 13 novembre 2013

429 Le frisson de la déculottée


Baisser sa culotte pour du vrai

Il est rare que mon homme me corrige toute nue. Cérémoniel réservé aux grandes occasions qu'il sait appliquer avec un effet pédagogique très longue durée. Accompagné d'un sentiment de traitement de faveur et de grande intimité qui soude notre couple. Alors pour ne pas dévaloriser ce qui relève d'un caractère solennel par la routine, il se montre beaucoup plus expéditif pour les fautes de deuxième zone. Nous sommes très proches d'une brève remise en place. Chacun à sa place littéralement. Celui qui porte le pantalon à la maison et celle qui baisse sagement sa culotte, parce qu'au fond d'elle, elle ne sait que trop bien que ce traitement lui réussit à la merveille. Et à vrai dire que je serai fâche à mort, si mon homme ne me montrait pas son attention de cette manière si particulière. Donc le plus souvent, en cas de faute, il me convoque dans son bureau et après une courte discussion, je suis amenée à trousser ma jupe avant de baisser sagement ma culotte. Petit rituel qui permet d'exprimer de façon non verbale mon consentement de ma punition à venir. Souligné parfois par un acrobatisme de circonstance : d'aller chercher le martinet à tout petit pas avec ma culotte autour de mes chevilles. En faisant bien attention sur mes hauts ou très hauts talons. Car nous sommes à la maison et vue que je n'ai pas beaucoup à marcher, je profite pour montrer les plus souvent possible de belles jambes à mon chéri. Ne prétextons pas une manœuvre exclusivement éducative dans cette marche de la honte, mais considérons aussi la mise en scène théâtrale de ma punition qui procure autant à mon homme qu'à moi d'agréables frissons. Car malgré ma mauvaise conscience d'avoir encore fauté et la certitude de sortir de cette pièce uniquement avec le derrière sacrement enflammé, je suis pour le moins que l'on puisse dire troublée par ma nudité partielle. Et qui dit trouble, dit contradiction intérieure.

Je pense pour bien de personnes comme moi qui vivent avec un besoin de punition depuis leur enfance, persistera toujours cette nostalgie de la non-sexualisation du fantasme. Quand on s'imaginait soit soi-même, soit un petit copain ou copine copieusement châtié à la hauteur de ses fautes. Quand le plaisir éprouvé était encore de l'ordre d'une vengeance voluptueuse. Quand le terme du juste châtiment commençait à prendre une saveur très particulière. Mais quelque part je pressentait déjà un souterrain beaucoup plus complexe qui orientait mes goûts d'une manière si impérieuse vers le pan-pan cucul. Pour mieux comprendre j'aimerais explorer un peu deux axes qui me paraissent prometteurs : La pudeur et les tendances anales (que je traiterais dans un post à part).

Nos règles sociales veulent que l’on apprenne la pudeur aux petits enfants. La pudeur n’est donc pas un sentiment naturel, mais un pur produit de culture. Voici deux jolies exemples contradictoires selon les époques et qui proviennent de ce très intéressant article : La pudeur déshabillée .

-Être exhibé nu (ou en chemise, le sentiment de nudité équivalant à sa réalité) est au moyen âge un châtiment redoutable.

-....la pudeur se définit surtout par la hiérarchie sociale: se montrer nu (dans son bain, à son lever, sur la chaise percée...) est permis devant un inférieur, et constitue une lourde offense devant un supérieurLe roi est en principe le seul à échapper à la pudeur.

Puis petit à petit s'établit une distinction entre vie publique et vie privée qui se fait surtout au 18ème siècle et qui culmine dans une législation sur l’attentat à la pudeur en 1791. Il est intéressant à noter que la notion du privé dans le sens de la propriété privée se trouve dans la première formulation de la maxime de la révolution française : liberté, égalité, propriété. L’échange de propriété par fraternité se fait seulement sous la deuxième république.

Notons aussi que la notion de la pudeur varie selon les pays, même mitoyennes. En Allemagne par exemple dans un sauna public on se dévêtit à priori entièrement, à moins qu'il s'agisse d'un « sauna textile ». Et il est très mal vu de se cacher par exemple derrière une serviette. Il existe des mouvements pour un droit fondamental à la nudité. Et par conséquence il est possible dans bien d'endroits de faire de la marche ou du vélo tout nu sans que cela pose problème avec les gardiens de la paix.

Analytiquement la pudeur est une digue (moderne) contre la sexualité. S'approcher de cette digue s’accompagne par la gêne. Son dépassement expose à la honte. Voila quelques notions de base pour mieux considérer la charge émotionnelle du déculottage dans un contexte de fessée entre adultes. Bien que la nudité dans le couple ou dans un autre sphère de ma vie privée ne m'évoque pas la moindre métaphysique, les choses changent radicalement de charge émotionnelle quand il s'agit de ma discipline conjugale. Ce qui me prête à penser qu'un des effets magiques de la fessée consiste à rendre troublante une situation des plus banale et subitement le fait de baisser ma culotte prend un aspect de grande aventure au quotidien !

13 commentaires:

  1. Hé bien, entre les deux mon cœur balance.

    Le déculottage par le ou la punie marque, comme vous le dites, l'acquiescement de la punition.

    Mais j'aime aussi la "convocation", où l'on doit se présenter debout devant la conjointe, afin de se faire baisser la culotte. Il y a là un phénomène curieux: cet acte peut être pratiqué comme préliminaire à des ébats (avec le regard gourmand qui va bien) ou à la punition (et là curieusement le "zizi" devient ridicule).

    Parfois le slip ou la culotte reste en place, afin d'être baissée plus tard, après le "prélude" de la fessée.

    Nous laissons habituellement le pantalon autour des jambes et ne pratiquons presque jamais nu, sans doute pour la raison suivante: le déculottage intégral c'est pour la sensualité conjugale, le pantalon autour des genoux rappelle la condition de vilain garçon ou de vilaine fille.

    Paradoxalement je me sens beaucoup plus dénudé et embarassé avec le slip sur les genoux et madame qui m'attend assise sur le lit que tout nu avec madame qui s'apprête à des ébats.

    La simple mise en position (à genoux cul en l'air notamment pour le martinet, ou sur les genoux) met déjà dans la bonne attitude honteuse.

    Il va de soit que tout ce qu'il y a ci-dessus ne s'applique pas aux fessées "pur jeu"...

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    1. Que se passe-t-il quand - honte suprême - le slip ou la culotte n'est pas impeccable ?

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    2. Rien de tel qu'un gant de toilette et du savon, non?

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  2. J'aime beaucoup être punie dans une nudité totale tandis que mon homme reste entièrement habillé. Il en va de même quand il s'agit d'une confession que nous pratiquons parfois. J'aime également devoir baisser un jeans (pourtant j'en porte très rarement). Cela me rappelle bon nombre de fantasmes de mon adolescence. En fait l'idée de fesser mon homme ne m’effleure pas. Je ne dirais pas que je fais une fixation sur la discipline à sens unique, mais la question ne s'est jamais posée. Par contre à chaque fois que je vous lis, je trouve que vous vivez avec votre dame une relation égalitaire pleinement réussie.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Votre billet m’inspire plusieurs commentaires ! Je vais essayer de ne pas être trop prolixe, mais si tel est le cas, ne m’en veuillez pas …

    Le premier sera de rappeler que comme j’avais eu l’occasion de vous le dire, je ne risque pas d’être déculottée ni d’avoir à effectuer ce que vous appelez la « marche de la honte ! Soyez néanmoins persuadée que cette honte, je la ressens très fort chaque fois qu’à l’issue de notre dîner, après avoir brièvement évoqué en quoi je l’ai mécontenté, mon mari m’ordonne de monter dans notre chambre, de m’y déshabiller et d’attendre sa venue. Et mon appréhension ne va, croyez le, que croissante tandis que nue, à genoux les mains dans le dos, j’attends devant son fauteuil qu’il vienne enfin s’y asseoir, commencer sa (ou ses !) remontrance(s), écouter mes explications et mes excuses, et donner une note à ma (ou mes !) faute(s).

    Je pense d’ailleurs que le sentiment que j’ai durant ces remontrances, à savoir qu’il est juste et normal que je sois corrigée, que je sache ce que je dois faire pour m’améliorer et être de mieux en mieux celle qu’il souhaite que je sois, et que je sois aussi pardonnée de mes inévitables manquements, prend d’autant plus son sens que je suis humble et nue devant lui toujours vêtu. Mais je veux ajouter qu’il y a un point pour lequel je suis assez fière, c’est que pour cette année 2013, et à ce jour, ma plus mauvaise note n’a pas dépassé 9/20 !

    Mon second commentaire portera sur la pudeur, un vaste sujet sur lequel il y aurait tant à dire et que je ne vais qu’effleurer. Mon mari me veut « a-pudique », ou pour être plus exacte, il veut être le maitre de ma pudeur. C’est ainsi, comme je l’ai déjà raconté, qu’il ne m’a pas paru surprenant qu’à l’issue d’un déjeuner chez des amis, de devoir à sa demande remonter jupe et jupon pour démontrer la netteté de l’épilation laser sur mon pubis et mon entre-jambes. J’ai, je l’avoue, peut être avoir néanmoins ressenti un petit peu de gêne à être examinée de près, ce qui me laisse à penser que j’ai encore quelques restes de l’extrême pudeur, pour ne pas dire pudibonderie, de mon adolescence. Et surtout cette « a-pudeur » n’est pas celle de l’absence de pudeur d’un jeune enfant, ne serait-ce que parce que seul mon mari a le pouvoir de me demander semblable chose.

    Je n’ai par contre maintenant plus aucun sentiment de pudeur lorsque, avec mon mari, nous sommes dans un lieu plus ou moins public où la nudité est de règle, telles par exemple des plages nudistes, ou la zone naturiste de l’ile du Levant. J’avoue qu’il m’arrive alors de jeter même des coups d’œil curieux sur les anatomies des hommes comme des femmes qui nous entourent ….

    Quant à votre observation à propos de la « hiérarchie sociale », j’ai une anecdote qui m’a été contée par mes beaux-parents. Cela s’est passé au début des années 70. Ils ont eu l’opportunité de s’échapper quelques jours pour visiter Florence, une sorte de compensation au voyage de noces qu’ils n’avaient pas eu. Après un voyage assez harassant, ils descendirent dans un hôtel « de grand luxe » non loin du Ponte Vecchio. Une femme de chambre aida ma belle-mère à défaire leurs bagages, puis lui demanda si elle ne voulait pas prendre un bain et se relaxer. Sur la réponse affirmative de ma belle-mère, la femme de chambre ne fit pas que préparer le bain, mais comme si cela allait de soi, resta pour l’aider à se déshabiller, à se laver, et à se sécher. En dépit d’un réflexe initial de pudeur, ma belle-mère n’osa pas refuser cette aide inattendue, et avoua qu’en définitive, elle l’apprécia durant leur court séjour et que cela fit partie de son enchantement …

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    1. Chère Christine,

      ne vous en faites pas si vous avez des choses à dire. Exprimez-vous ! Étant très bavarde il m'arrive souvent que mes sujets deviennent plus longs que j'avais initialement prévu.

      En fait je comprends parfaitement votre fierté de ne pas avoir dépassé la note de 9/20 lors de vos remontrances. Bien que les choses se passent assez différemment chez nous, il m'importe beaucoup que ma discipline montre des résultats. Quand je constate avec ravissement de ne plus tomber dans certains erreurs ou mauvais comportements. Quand on me complimente sur ma bonne éducation sans savoir cela se passe chez nous dans le sens littéral. Quand mes parents ou proches me trouvent plus calme, plus posée, plus raisonnable. Peut-être la différence entre vous et moi consiste dans le fait que vous souhaiteriez être celle dont rêve votre mari, tandis que moi je souhaite être celle dont moi je rêve. Enfin, il y a aussi des éléments qui servent à combler exclusivement mon homme, mais dans une moindre mesure.

      Je me retrouve bien dans votre anecdote sur épilation intégrale. Étant déjà épilée à une époque qui n'en faisait pas un effet mode, l'état de mon entrejambe a toujours beaucoup intrigué lors de discussions autour du sujet. Alors il m'est aussi d'arrivée de montrer à quoi ressemble du définitif.
      Pour moi la curiosité de ceux et celles qui veulent voir va assez loin. Sans être pudique je pense qu'il suffit tout simplement de faire appel à l'imagination pour comprendre à quoi cela ressemble.
      Examiner, on se comprend sur l'usage du mot, ce regard plus qu'attentif me semble plus relever d'une attirance sexuelle pour ce qui est dévoilé que de la la curiosité pour une sorte d'esthétisme de la peau glabre.

      Merci pour votre petite anecdote sur la hiérarchie sociale dans la pudeur. J'avoue de rêver d'une aide quand je prend mon bain. Cela m'évoque justement une vie de château et bien évidement je ne pense pas du tout à une éventuelle pudeur...

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  4. En effet, Isabelle, jusqu'au XVIIIe je pense (et peut-être au delà) il est normal pour un homme de haute stature sociale de se montrer nu, voire sur la chaise percée, devant des inférieurs (valets, etc.) de même sexe.

    Il me semble que la Princesse Palatine mentionne le cas de je ne sais quelle dame de la noblesse recevant des lavements par sa servante (ce qui était sans doute moins embarrassant que le recours à un apothicaire), troussée à genoux cul en l'air...

    En revanche, la séparation des sexes est la règle (hors éventuellement le cas des couples mariés).

    Françoise Chandernagor, dans l'Allée du Roi, décrit une scène dont je ne sais si elle découle de son imagination ou si elle a une base: Monsieur le frère du roi arrive à l'improviste voire le Roi, alors que celui-ci est débraguetté (il me semble, parce qu'il vient de recevoir ou s'apprête à recevoir un clystère, oui, on n'en sort pas mais c'est l'époque) devant Mme de Maintenon. Bien qu'il ne soit un mystère pour personne que cette dernière était la maîtresse du roi, le sens des convenances dictait évidemment de ne pas montrer pareille intimité. Louis XIV aurait alors dit avec aplomb quelque chose comme "Monsieur mon frère, dans la tenue où vous me voyez devant Mme de Maintenon vous pouvez deviner ce qu'elle m'est.". Louis XIV s''était marié morganatiquement à Mme de Maintenon quelque temps auparavant, fait inconnu de la Cour...

    J'ai entendu dire que la séparation des sexes dans quelques pays exotiques, dont le Japon, est un héritage des contacts avec les occidentaux.

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  5. Pour une fois, je ne vais pas intervenir sur un point d'histoire (et pourtant Dieu sait que les clystères à Louis XIV, c'est un sujet qui m'éclate). Après, je ne suis juste pas sûre de la véracité des écrits de Françoise Chandernagor, mais je vais pas en dire plus parce que je l'ai pas lu. Je pense juste que vraiment, Mme de Maintenon, elle a sacrément pas eu de bol niveau gaudriole et vie sexuelle. Je rappelle pour mémoire que son premier mari, c'était Scarron, période post-rhumatismes (avant elle était au couvent), donc un vieux tout tordu. Puis elle se laisse séduire par Louis XIV, période décrépitude: il est vieux, il a une haleine de chacal et des hémorroïdes. En somme, la fête du slip.
    Je voulais juste revenir sur le déculottage. En vivant avec Simon, j'ai réalisé à quel point il pouvait être pudique (attention, pas pudibond), avec un détail que je trouve tout à fait charmant. Il ne se met tout nu que pour la douche. Sinon, pour passer des vêtements de jour au pyjama, il enlève le haut, puis il met son haut de pyjama. Pareil pour le reste des vêtements. Les quasi seules fois où il se met entièrement nu, c'est en punition. Et je pense que c'est aussi troublant que le déculottage.

    Constance

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    1. (Un truc tardif: je ne sais plus si c'est la Palatine, mais toujours sur le sujet de la dame cul tendu devant sa servante: ce qui faisait rigoler l'auteure, ce n'est pas la dame cul nu devant la servante, ce qui était parfaitement normal et qui devait se répéter dans toute la Cour, mais le fait qu'un homme soit rentré à ce moment et lui ait fait une farce.)

      Je suis enchanté que vous n'interveniez pas négativement sur un point d'histoire dans mes propos! Je sais que sur ces sujets vous seriez capable de me mettre une fessée. (Oui je sais elle est facile.) N'hésitez pas à faire remarquer mes erreurs.

      François Chandernagor suggère (il me semble en se basant sur des écrits de François d'Aubigné) que Scarron, tout perclus et invalide, se permettait des privautés sur sa jeune et jolie épouse que celle-ci n'avait pas envisagées avant son mariage

      Ensuite, la future Mme de Maintenon a été gouvernante des bâtards du roi et amie de la maîtresse "officielle" de Louis XIV, Mme de Montespan (je ne compte pas les chambrières troussées).

      Pour finir, elle est avec Louis XIV qui, toujours d'après F. Chandernagor, la besogne quotidiennement alors qu'elle estime qu'il a passé l'âge; son confesseur lui explique que c'est le devoir conjugal.

      Un point positif, pour une femme dans sa position: elle est stérile.

      "Les quasi seules fois où il se met entièrement nu, c'est en punition."

      C'est terriblement indiscret, mais: même pas pour faire l'amour?

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    2. Le drame de la vie de Mme de Maintenon, c'est justement le contraste entre une jeunesse prude et peu folichonne, et ses mariages avec des vieux perclus de rhumatismes et bobos divers et moches mais encore partant pour la gaudriole.
      Pour répondre à votre question, pour faire l'amour, si, ça lui arrive. Mais ça arrive bien souvent qu'on garde nos vêtements (sauf pour une certaine partie de notre anatomie mais ne versons pas dans le graveleux). Notamment parce que moi même, à cause de mon physique, j'ai encore un peu de mal à me mettre entièrement nue.

      Constance

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    3. C'est amusant car nous faisons un peu l'inverse de vous: fessée simplement déculottée, mais amour toujours tout nus, sauf problème (trop froid, ou encore galipettes en extérieur où l'on veut pouvoir se rhabiller vite si besoin) ou si jeu de "troussage".

      C'est une question de contact et de plaisir des yeux.

      Je ne sais pas ce qu'il en est de votre physique, mais il est fort probable que Simon ait envie de le voir.

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    4. Ah voila, Constance qui une fois de plus se pose des questions sur son physique. Je pense comme vous Pecan que Simon ait envie de le voir et surtout qu'il le trouve ravissant. Y a des fessées qui se perdent!

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  6. Waoh, je n'aurais pas imaginé que mon petit sujet prenne une telle ampleur culturelle et … personnelle. J'ai lu, il y bien longtemps un ouvrage également dédié e à la pudeur, lecture bien évidement pas innocente et qui parlait de Louis XIV. Il paraît qu'il empêchait les dames à se soulager, notamment pendant des longs voyages en calèche, en se procurant ainsi du plaisir de les voir gigoter. Je me demande également si ce roi n'aurait pas fait de ces tendances et fantasmes anaux une sorte façon de vivre (impératif catégorique!) en empêchant des installations sanitaires dans ses châteaux. Et quant aux clystère loin de moi d'y voir uniquement un propos médical pour ce roi. Toutefois ce dernier sujet, celui de lavement, j'ai pu l'aborder de manière de plus sérieuse avec une de mes esthéticiennes à la fin des années 90. Elle m'en a parlé avec beaucoup d'enthousiasme et du bienfait d'une telle cure.

    Part contre j'avoue de ne m'avoir jamais posé la question de garder des vêtements pour faire de l'amour. Mais disons que j'en garde souvent. Non pas par pudeur, mais parce que mon homme aime bien me voir partiellement vêtue ...

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