vendredi 29 novembre 2013

438 Liens de discipline domestique (90 ème édition)

De la grande émotion !


C'est presque avec un soulagement que je vis l'arrivée du moment fatidique. Car parfois l'attente était longue. Ayant un enfant ne permet pas d'appliquer scrupuleusement la discipline domestique en toute circonstance. Il y a des mises en garde, parfois un bref regard, parfois un petit geste, parfois un petit mot, surtout en public.

Calme toi isabelle !

Et bien souvent cela marche. N'oublions pas que le premier but de la discipline domestique reste un comportement irréprochable et les bonnes manières et non de punir à tout prix. D'autres fois cela ne marche pas et dans ce cas la décision de monsieur est irrévocable :

On en reparlera en tête-à-tête, isabelle !

En homme de parole rien ne le fait renoncer à son verdict. Au début de notre relation j'ai essayé mille et une ruses pour l'amadouer. Sans le moindre résultat. Les bons comptes font les bons amis et j'ai dû régler ma note à chaque fois sur la peau de mes fesses. Et à vrai dire, j'aime beaucoup ce trait de son caractère. Je suis même fière de mon chéri, car les hommes de parole ne courent pas les rues. Puis c'est rassurant de pourvoir vraiment compter sur quelqu'un. Car bien évidement mon chéri respecte sa parole non seulement quand il s'agit de m'apprendre une bonne leçon. Alors quand il m'annonce que je vais passer sur ses genoux à telle heure, c'est un peu comme en Égypte à l'époque des pharaons :

So let it be written , so let it be done (Que cela soit écrit et accompli )

Souvent, pour ajouter un caractère solennel à ma punition, mon homme se réserve le droit de me déculotter. Même quand je porte un string qui ne se voit quasiment pas du derrière. Car bien entendu, une vraie correction s'applique cul nu.

C'est le b.a.b.a. d'une bonne éducation à l'ancienne, isabelle !

Mais bien sur mon chéri 

Enfin c'est plus facile à écrire que de le dire de haute voix dans la situation. Notamment avec la culotte est déjà aux chevilles. En général, étant très peu courageuse, je me garde tout commentaire qui pourrait être considère comme insolence. Pourtant Monsieur ne changera pas pour autant l'instrument prévu par avance, ni risquerais-je une sanction plus longue. Par contre cela se joue au niveau de l'intensité, surtout quand je suis punie à la main. Il est terriblement efficace dans ses élans et la peau de mes fesses ne laisse aucun doute que l'action ne sert pas à contribuer à des petits plaisirs récréatifs.

Donc quand je sens ma culotte descendre le long de mes cuisses, je suis soulagée d'être enfin livrée à mon sort qui se jouera en quelques brèves minutes. Certes je sais aussi que sous très peu je vais avoir mes fesses en feu, mais après mon faux pas sera oublié :

J'espère que tu retiendras ta leçon cette fois-ci, mon poussin !

Petit moment d'un gros câlin de réconfort avant de me mettre au coin sans oublier le bon conseil pour la route :

Frotte-toi bien ton derrière, isabelle, il en a grand besoin !

Et pendant que je médite comment améliorer vraiment mon comportement, avec mes fesses toutes rouges présentées au bon plaisir de mon homme, il arrivé souvent que je me sente éduquée de manière très stricte, punie pour de vrai, mais surtout aimée dune manière qui me convient pleinement.


« Peut-être vous n’auriez dû jamais arrêter. Ce livre joyeux, provocant et d’un brin éducatif vous explique pourquoi fesser votre épouse ! Écrit par un éminent spécialiste de l’art de la fessée. »

En tout cas, la dame sur le dessin semble bien apprécier les précieux conseils, ainsi que le traitement. J’aimerais bien lire ce livre par pure curiosité ! Peut-être s'agit-il d'un exposé de coquinerie conjugale en expliquant comment pimenter la vie à deux par des petites séances éducatives dans la joie et dans la bonne humeur. Quoiqu'il en soit, ma réponse personnelle sur le pourquoi est toute faite : Parce que la dame manifeste un tel désir. Et hors de question pour moi de concevoir la discipline domestique autrement. Je me souviens de mes débuts sur le net quand on trouvait encore certains textes, très bien écrits et argumentés qui voyaient dans la soumission le noyau central de la discipline domestique. Bien évidement pour donner goût à la soumission celle-ci ne fut pas présentée comme une sorte d’obéissance aveugle envers un monsieur aux allures de patriarche avec le but de vider le cerveau de la dame. Ni comme un moyen d’accéder à d'époustouflants sommets de plaisir. L'argumentation était plus subtile en « commençant par le commencement » présentant l'acte qui perpétué ce monde, ce fameux « écartement de cuisses » non seulement comme une expression de consentement (sur laquelle je suis entièrement d'accord), mais comme une soumission physique de la dame aux assauts du mâle. Par conséquence selon l'auteur une dame comme moi qui refuse obstinément la théorie de la soumission se trouve dans un déni de sa féminité. Il me semble peut fructueux dans ce débat de chercher « un tort ou raison », car ce qui compte en matière de fantasmes ce n'est pas l'objectivité, mais la subjectivité. Et subjectivement une dame loin d'un sentiment de soumission demande peut-être tout simplement une toute autre façon de satisfaire ses désirs qu'une dame avec des penchants de soumise...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















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