dimanche 19 janvier 2014

459 Une correction dans le bureau de mon papa 2


Jeune dame, dès que possible nous allons avoir une sérieuse discussion !

Ah mon chéri quand il parle avec ses yeux. C'est tout un poème comme il sait se montrer expressif. Pas besoin d'un manuel pour bien le comprendre. En ce début de vacances il n'était pas vraiment en colère contre moi, mais disons très agacé de me voir sans cesser mettre sa pudicité à une rude épreuve. A croire que sa main le démangeait pour me pencher sur ses genoux pour une très claquante fessée... devant mes parents.

Tu as vu Maman, ce qu'il me fait ?

Tu l'as cherchée, ma fille.

Enfin non, là ce sont plutôt mes propres rêveries hollywoodiennes qui s'expriment. Ma notion très particulière du romantisme à l'ancienne. Notre couple étant bien jeune, nous avions pas encore pu accorder nos habitudes respectives. Tandis que mes parents me trouvèrent dans mon élément, fidèle à moi-même, mon chéri se demanda ce qui était en train de lui arriver. Bref, il était gêné de la façon dont je me comportait et le fait d'être gêné l’énervait rudement. Il a dû prendre son mal en patience. Hors de question de me corriger dans notre chambre, car le bruit des claques ne pouvait échapper à mes parents. Se créa ainsi une superbe ambiance d'un orage qui se prépare. J'avais l'impression de sentir en permanence le regard de monsieur sur mon derrière. Et par conséquence, émoustillée par tant d'attention, j'ai commencé à me montrer encore plus provocante que d'habitude. De me baisser, en aidant ma maman dans la cuisine, de façon de bien faire remonter ma jupe. En prenant des poses et expressions du visage qui ne laissent aucun doute que leur but vise de stimuler la virilité du monsieur. Visiblement les petits trucs de mon jeu de séduction ne le laissaient pas de marbre. Par conséquence mon chéri se trouva bientôt sacrément tendu du pantalon. Et là, où dans notre intimité il peut se jeter en toute tranquillité sur moi, sans qu'il ait question de me corriger, il s'est senti maintenant empêché dans ses élans par ses bonnes manières envers mes parents. Voila ce qu'il appelle depuis du harcèlement malhonnête de ma part ! Je trouve que ce le terme convient bien et nous sommes d'accord tous les deux sur les modalités de payer pour mon audace. En fait, j'ai toujours aimé m'imaginer punie pour mes initiatives trop poussées envers un monsieur. La carotte de la punition c'est le petit surplus qui fait déborder le vase, qui me désinhibe et je peux me montrer redoutable. Bon, il en va de soi que sur ce point notre discipline domestique se veut plutôt récréative. Car je me verrais mal avec un authentique coincé de la braguette qui trouve indécent un tel comportement de la part d'une femme. Mais retenons quand même que la position de mon chéri n'est pas toujours facile. Notamment quand je m'emporte dans un contexte de proches, de ma famille. Et ne sous-estimons pas le côté d'agacement qui me semble nécessaire pour que ma punition devienne réellement épicée. Alors une fois mes parents partis en vacances, mon chéri pu enfin laisser libérer ses émotions :

Prépare tes fesses, isabelle ! Nous avons du retard à rattraper.

C'est ainsi que nous nous sommes glissés dans le bureau de mon papa. Pour une séance éducative concernant mes insolences et provocations. Comme par hasard, je portais ce jour-là un jeans de plus serré ! J'avais trop envie - sachant mes parents partir – de me remettre dans le contexte de mon adolescence pour enfin réaliser un de mes veux rêves disciplinaires. De plus je connais très bien l'effet d'une insolente garçonne sur mon homme. Notamment quand je frotte mon derrière contre lui. Il a horreur de cela... car je sais m'y prendre en public dans un moment discret pour le laisser, le pauvre, avec une sacré bosse dans son pantalon. Enfin pas chez mes parents. Pas envie de le fâcher vraiment pour de bon.

Quand il m'a demandé de baisser mon jeans, j'étais surprise de découvrir à quel point ce geste m'était déjà devenu naturel. En fait il m'avait suffit de quelques mois de discipline domestique pour prendre de bons réflexes. J'ai très vite pris un réel plaisir d'être mise au pas, car au fond mes punitions coïncident grosso modo avec mes irrationalités. Certes mon homme a ajouté quelques touches du chef, pas bien méchantes, mais ayant une constitution psychique plutôt polymorphe, j'ai su vite m'y adapter. Par exemple il considère les collants ouverts presque comme une insulte personnelle. Si je veux une correction à coup sur, il suffit que j'en mette un. Pourtant j'adore ce vêtement qui combine les avantage du collant et des bas. Et j'en portai souvent au travail pour éviter les marque de jarretelles sous une jupe ou robe.

Une fois mon jeans aux chevilles, j'ai offert à mon homme une vue imprenable sur une belle culotte imprimée en coton à dominante blanche. Une de celles qui donnent un effet tirelire sur une dame intégralement épilée. Mon homme quelque peu impressionné par l'environnement, celui de mon enfance, du lieu d'études de mon papa, par mon jeans baissé, par moi penchée en avant en attendant sa décision de me déculotter ou de me demander d'accomplir cet acte par moi-même a pris son temps. Il a savouré un instant tellement précieux qui mettait en relief toute une panoplie de rêveries de mon adolescence. Et de la sienne aussi. Je voyais bien qu'il a dû rêver à cette époque de corriger une de ces insolentes filles qui savent si bien lui faire tourner sa tête de jeune homme sans toutefois répondre à ses avances.

A suivre...

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