jeudi 23 janvier 2014

461 Quand la dame oublie sa petite culotte

Oh la jolie réflexion ...

...qui vient d'un commentaire de Main Leste :

Fessée : correction administrée sur les fesses. En lisant cette définition du dictionnaire, nous tous qui partageons le fantasme de la fessée, nous vibrons. Mais il y a ceux et celles, comme vous, Isabelle, qui vibrent surtout au mot " correction", et ceux et celles, dont je fais partie, qui vibrent plus au mot " fesses". Même si pour les premiers, la correction est d'autant plus belle qu'elle elle est appliquée sur le postérieur, et que pour les seconds le cul n'est jamais autant en valeur, ou stimulé, que quand il est claqué ou fouetté.

Un jour, poussée par je ne sais pas quelle audace, j'ai décidé de me préparer pour sortir comme au temps quand j’étais encore célibataire. En m'installant devant ma coiffeuse sans mettre ma culotte, ma jupe ou mon jeans. Car dans le temps, sans qu'il y ait eut considération de séduction ou de provocation de ma part quelconque, j'ai suivi tout simplement mon pragmatisme. Et tout compte fait, comme je le sais par certaines copines, je ne suis pas la seule dame avec de tels habitudes pour s'habiller. Je sais très vite me décider pour un haut, mais pour le bas j'hésite jusque la dernière minute. Alors devient plus claire aussi l’absence de culotte ou de string, car ce choix crucial dépend tout simplement de ce qui va passer par dessus. Bon, effectivement quand quelqu'un sonna à ma porte, je n'allais pas me présenter ainsi pour ouvrir et perpétuer le mythe de la dame seule qui n'attend que cela... la visite d'un vaillant jeune ou pas jeune monsieur pour faire de choses inavouables. Avec comme le plus bel exemple, la légende du père fouettard qui frappe à la porte de grandes filles pas sages pour les punir avec des verges ou avec un martinet pour leurs pêchés accumulés au fil de l'année.

Alors ce mémorable jour, étant en couple avec mon chéri « père fouettard », mon acte de garder mon derrière tout nu jusque la dernière minute, prenait bien entendu une toute autre connotation que le pragmatisme féminin. Et effectivement comme le dit si bien Main Leste, il y avait sous-entendu le désir de me prendre une bonne correction pour déconcentrer mon homme dans ses propres préparations. La première fois, Monsieur en me découvrant ainsi, assise devant ma coiffeuse en train de me maquiller, s'est montré fort impressionné. Je l'ai su tout de suite au changement de sa voix et de respiration, reflétant parfaitement son trouble. Puis, une coiffeuse offre par son miroir la merveilleuse possibilité de voir ce qui se passe dans mon dos. Hein oui, mon chéri était sous le charme de mon fessier. Amusé, surpris, excité et pensif aussi en évaluant au mieux l'étendu des possibilités qu'offre une popotin tout nu de la dame. Avec accent sur popotin quand il s'agit de caresses et sur cul nu quand il s'agit de le faire résonner pour raisonner la dame, moi en occurrence. Comme le décrit si bien Main Leste, mon chéri aussi ne put s’empêcher pour faire ressortir un beau rouge de mes globes. Punition pour motif d'harcellement, évidement dans un registre ludique, il ne s'est pas privé de l'aubaine. Pour ma part, Dieu sait pour quelle raison, j'avais envie de faire notre sortie avec une belle brûlure persistante qui me fait gigoter à table comme une ado. Et de plus qui me monte à la tête, me donnant un rire facile qui se remarque et qui s'avère communicatif :

T'es particulièrement en forme ce soir, isabelle !

Bref une soirée réussie de A à Z quand on prend en compte que je suis restée bien sage sans me faire remarquer autrement que pour ma bonne humeur exubérante.

La fessée avant de sortir te réussit bien, isabelle ! T'avais une bonne idée
d'oublier ta culotte.

Oubliée, oubliée ? Ah ces hommes, de grands enfants qu'imaginent qu'une dame puisse oublier sa culotte...

10 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Je vous avais dit que, lors de notre séjour chez mes beaux-parents pour la Noël, j’avais eu deux « moments de solitude ». Je continue depuis à me demander si je n’aurais pas à regretter un jour ma réaction instinctive de la première fois (ainsi que ma franchise chacune des deux fois). Le sujet de votre billet ci-dessus m’incite à vous raconter maintenant le premier des deux, et peut être aurez vous envie de me donner votre avis.

    Nous étions un soir, une jeune cousine par alliance et moi, seules dans la cuisine à finir d’essuyer les verres du dîner. Noémie va avoir 20 ans, elle est déjà fiancée, et, preuve que les mœurs ont bien changé par rapport à l’époque de la jeunesse de mes beaux-parents ( !), elle avait hâte de rejoindre leur chambre à l’hôtel avec son fiancé. Très naturellement me semble-t-il, peu avant d’en avoir terminé, elle me demanda si je ne pourrais pas lui prêter un rasoir pour lui permettre de rafraichir son pubis qui piquait un peu, ayant oublié le sien à Paris. Je n’ai pu que lui répondre que cela faisait maintenant quelques années que grâce à mon épilation intégrale définitive je n’avais plus besoin de cet instrument.

    Noémie a paru très intéressée par ce que je venais de lui dire, et un peu comme elle aurait pu le demander à une sœur ainée, elle me demanda sans aucune précaution oratoire si je voudrais bien lui montrer et lui permettre de se rendre compte si cela fait aussi net qu’elle l’avait lu. C’est sans doute en raison de son attitude si naturelle que sans réfléchir, j’ai eu cette réaction instinctive et que sans attendre j’ai relevé jupe et jupon pour lui donner à voir mon bas-ventre.

    Son étonnement n’a pas été de voir confirmé ce qu’elle avait lu, mais de s’apercevoir que j’étais sans culotte ou toute autre espèce de string pour voiler mon bas-ventre. A son interrogation, je n’ai su, sur le champ et sans avoir le temps de réfléchir et composer quelque chose, que répondre par la simple vérité, que cela fait maintenant plus de 15 ans que je n’en mets plus, qu’il me semble que je m’en porte mieux sur le plan intime, et que c’est aussi pour cela qu’on ne me voit jamais en pantalon.

    Noémie m’a promis de ne le répéter à personne. J’espère beaucoup qu’elle tiendra parole car je ne voudrais pas que ma belle-famille sache ce détail intime à mon sujet. De plus, je crois bien que mon mari n’apprécierait pas cela non plus.

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    1. Bonjour Christine,

      merci pour cette jolie histoire. Je trouve chez vous une conception d'un grand moment de solitude très proche de la mienne. Je me souviens par exemple sur la question de ma belle sœur si je me rasais aussi d'avoir répondu : raser quoi ? Tellement l'état d'être sans poil m'est devenu naturel. Effectivement elle était surprise et comme chez vous elle m'a fait comprendre qu'elle aimerais bien voir à quoi cela ressemble. Entre femmes je n'y vois pas le moindre mal, car il s'agit d'une pure question de soins de beauté. Je crois que de nos jours (enfin un peu moins depuis quelque temps) l'épilation intégrale trotte dans la tête de pas mal de femmes. Et il est vrai me concernant que je considère le sans poils comme un agrément non négligeable dans ma vie. Ceci dit, chez vous je vois l'instant de grande solitude surtout dans le fait de ne pas porter de culotte. Cela surprend toujours. Bon pour ma part quand on me fait des confidences, je suis la discrétion même. Peut-être il en est de même pour cette jeune dame. Toutefois il m'est déjà arrivée d'être surprise par ma belle mère, qui est une personne très peu discrète malgré son âge, dans la salle de bain. Elle sait donc très bien que je suis lisse. Je n'ai pas eu l'impression que cela la dérange, ni que cela réveille une certaine curiosité. Peut-être vos beau parents aussi, ne se poseraient pas de questions sur le fait que vous soyez sans poils. Parfois l'ancienne génération est très surprenante par une ouverture d'esprit que l'on imagine mal.

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    2. Chère Isabelle,

      Cela ne me gênerait pas que le fait que je sois intégralement épilée soit porté à la connaissance de ma belle-mère. Je me demande même si, lorsque mes beaux-parents racontèrent leurs expériences en Afrique du Nord, et notamment les séances de ma belle-mère aux hammams, comprenant à chaque fois une telle épilation, si mon mari n’a pas dit ou du moins laissé entendre ce qu’il en était pour moi. Par contre, je ne sais pas quelle serait leur réaction en apprenant que je suis toujours « cul nu » sous mes jupes ! Et je souhaite qu’ils n’aient pas une mauvaise image de moi …..

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    3. Chère Christine,

      le sans culotte reste comme il me semble un sujet de plus délicat. Bien qu'étant très peu pudique, mes réticences se portent comme les vôtres surtout vers la fameuse mauvaise image. Je n'ai aucune envie d'être associée à un tel registre et j'irais encore plus loin. Je ne souhaite ni être considérée comme libertine, ni comme « cool ». Je parle sur mon blog de mes petites aventure sans culotte, mais j'évite le sujet dans la vraie vie. Pourtant j'ai l'impression que cet exercice devient un incontournable pour certaines actrices et chanteuses. Enfin pour ma part je n'ai pas besoin d'une telle publicité...

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    4. Madame mon épouse pratique volontiers le sans culotte sous la jupe ou la robe en été (au prétexte que c'est plus sain d'aérer ce qui doit l'être).

      Pourtant, elle prend garde à ce que cela soit discret, pas comme ces actrices et chanteuses qui aiment faire scandale. Elle ne fait cela qu'avec des robes et jupes suffisamment longues pour qu'il n'y ait pas de risque "d'accident".

      Il n'est pas non plus question d'évoquer cela devant la famille; nous n'exhibons notre sexualité un peu hors norme que dans le virtuel, sous forme de texte. Je ne pense pas que ma belle-mère ferait un drame si elle apprenait que sa fille (qui a tout de même la quarantaine bien sonnée) se balade sans culotte, mais elle trouverait sans doute cela bizarre, déluré, etc.

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    5. Tenez Monsieur Pecan, j'aime particulièrement les discussions sur le bienfait du sans culotte. Que ce soit plus hygiénique, meilleur pour la santé etc. Le tout sur un ton sérieux, argumenté par des rationalisations astucieuses sans que cela dégénère sur un terrain de libertinage. Il est rare de trouver des personnes avec des telles préférences, mais cela existe. C'est une ambiance « bon enfant «  à l'état pur et on peut y trouver une ouverture d'esprit de plus agréable.

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    6. Il faut vous dire que madame mon épouse vient d'une famille qui vient d'un coin conservateur des États-Unis, même si ses parents sont très ouverts d'esprits par rapport à leur milieu d'origine.

      Notamment, sa maman a des idées assez convenues sur "ce qui se fait" ou "ce qui ne se fait pas", et est assez surprise si on fait autrement que dans ses habitudes. Par exemple, le nudisme, ça "ne se fait pas" (elle était très étonnée quand nous lui avons raconté ce qui se passait sur certaines plages en Europe). Nous n'avons jamais abordé le sujet, mais je pense que sans culotte sous la robe, "ça ne se fait pas non plus".

      Pourtant, certaines choses "qui ne se font pas" peuvent se faire à condition d'avoir une bonne raison (par exemple, l'habitude est de manger à midi, mais puisque l'on doit partir en voiture tôt on va manger à 11h30). C'est très amusant, elle a vraiment tendance à expliquer pourquoi on ne fait pas comme d'habitude.

      Mon épouse a un peu repris ce trait de caractère en version perverse, et a tendance à justifier nos petites fantaisies: pas de culotte en été, c'est plus hygiénique et meilleur pour la santé plutôt que de suer dedans; le sexe fait dormir de façon naturelle; à partir d'un certain âge les hommes doivent se faire contrôler la prostate; etc.

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    7. Vous savez bien mettre en mot ce qui m'est cher, Monsieur Pecan. Je ne sais pas si on peut parler d'une vision quelque peu perverse. Je pense que nous sommes tout simplement dans le typiquement humain, de donner une autre signification aux choses, dans une élégante et touchante manière de contourner ce qui peut prendre au travers d'autres formulations des aspects de vulgarité et mauvaises manières. Je n'ai rien contre une touche de conservatisme, surtout chez la génération aînée. Par exemple je n'ai pas de tendance religieuse, mais je trouve chez beaucoup de gens croyants de très jolies valeurs qui rendent la vie plus belle.

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  2. Isabelle, toujours flatté et impressionné quand vous me citez. Depuis que j'ai écrit ce commentaire, si le galbe d'un postérieur féminin me plait toujours autant, je suis de plus en plus sensible aux notions de punition et correction. Sous l'influence sans doute de vos écrits si évocateurs et si bien... troussés. Vincent (Main leste).

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    1. Voyez Vincent, sous l'influence de votre belle réflexion, j'ai pu enfin concevoir un fantasme de fessée sans punition. Ce que j'avais lu avant vous était rarement convaincant et tombait presque toujours dans le cliché « faire plaisir à la dame ». Et moi, je me suis posée la question : alors pour quelle raison est-il là le monsieur ? J'ai pu également méditer au coin sur l'agréable sensation d'un fessier bien stimulé !

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