vendredi 7 mars 2014

482 Liens de discipline domestique (104 ème édition)

La honte fait partie de la punition...


Ah le temps de jupes légères et de la tentation de corrections en plein air. Avec l'arrivée de beau jours, je commence à y penser. J'aime beaucoup cette photo qui reste pudique, malgré un dévoilement intégral du fessier de la dame. Le sujet, je le connais, un, beaucoup, à la folie. Enfin non, nous sommes très discrets et nous évitons soigneusement les endroits qui risquent trop. Pas vraiment parce que je crève de honte de me faire surprendre les fesses en l'air. Mais plutôt pour éviter autant les commentaire agressives envers un monsieur qui ose traiter une dame d'une telle manière, autant pour échapper à une éventuelle complicité collante. J'ai horreur des ambiances colo de vacances claquantes. Et pour le dire tout de suite, partager un fantasmes avec autrui, n'est pas suffisant pour moi d'entamer un relation plus personnelle. Ce qui me plairait le plus de la part d'un spectateur involontaire, serait un discret sourire et une petite remarque style :

Ça fait plaisir de voir les bonnes méthodes d'antan encore en usage !

En tout cas ce serait ma réaction personnelle dans pareille situation, mais en respectant la devise de petites marionnettes : Un petit tours et puis s'en vont.

Il arrivait (maintenant il y a notre petite !), notamment sur les longues voyages, que mon homme excède par ma mauvaise fois, s’arrêtait dans un endroit tranquille pour me rappeler à l'ordre. Sans être trop tatillon tout de même sur la prudence. Prenant son temps pour me déculotter avec une affection particulière pour mes jeans bien moulants. Variant son plaisir selon ce que je portais en dessous, en gardant en cas de string, mais en baissant systématiquement en cas de culotte. Dans cette dernière constellation, il considère comme grave manque de respect, une dame qui fait manières pour se soustraire de passer « cul nu » sur le genoux de son homme. Et pour ma part aussi, je me sentirais vraiment mal à l'aise avec un monsieur qui accepterais que mon derrière devienne l'enjeu d'expression d'une fausse pudeur. Je me sentirai volée d'une partie importante de ma correction.

Il en va de soi que pendant ma punition, je me pose peu de questions, à vrai dire même pas du tout, si quelqu'un passe ou pas. Et le spectacle que je produis prend selon mon homme un air hollywoodien de la dame qui se débat et n’arrête pas de gigoter sans faire de réels efforts pour se soustraire au monsieur. Évidement plus que ma correction avance, plus mon derrière affichera un beau rouge de bonne mine. C'est peut-être à ce moment-là que je souhaiterais entendre mon spectateur ou spectatrice idéal. Entendre, car allongée sur les genoux de mon homme, je me trouve dans l'impossibilité de regarder. Le piquant venant du fait que je ne sais pas ce que il ou elle a vu. Mais j'imagine entendre :

Il n'y a pas de honte de recevoir une fessée !

Puis la voix de mon chéri qui ajoute :

Et au cas où la honte fait partie de la punition !


Cela ne me rajeunit pas. Je viens de me rendre compte que dans la nouvelle génération de blogueurs et blogueuses sur le sujet je ne connais plus personne. Veut dire ayant croisé sur un forum ou après avoir échangé quelques mails. Bon, je ne vais plus sur les forums par manque de temps. Mais je constate tout de même une différence de plus en plus flagrante entre blogs nouvelle génération de filles et de messieurs . Côté messieurs toujours très en vogue le S/m. Peut-être parce que rien n'assure plus au fond certains qu'une dame soumise qui se prête au désirs de son maître. Côté filles beau textes et belles réflexions, très proche de la fessée dans son sens initial.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !













6 commentaires:

  1. Bonjour,

    Juste un grand merci en passant, puisque le nouveau blog de filles, c'est moi ! Donc c'est super gentil je suis vraiment touchée. J'aime beaucoup aussi venir lire le vôtre, en cachette, j'y ai appris et découvert beaucoup de choses ! Bravo !

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    1. Je suis ravie de faire votre connaissance, Lee. Vous me faites rire en disant de lire mon blog en cachette. J'en ai l'habitude et je suis parfois très étonnée de découvrir qui me lit...

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  2. La question du spectateur... Oui, il serait extrêmement embarrassant que quelqu'un prenne une fessée "bon enfant" pour de la maltraitance, ou encore que l'éventuel spectateur se permette des remarques ou actes déplacés!

    Il n'empêche que c'est un fantasme récurrent dans notre couple que d'avoir une spectatrice, disons une dame d'âge mûr et qui sait bien se comporter. la différence est que ce serait prémédité et non accidentel. La dame pourrait même passer de spectatrice à actrice! Les messieurs, par contre, bof bof...

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  3. Je pense que le fantasme du spectateur/spectatrice va de paire avec la fessée punitive. Il y a quelque chose de solennel d'expier une faute ou mauvais comportement devant témoin et encore plus quand le méfait concernait directement ce témoin. Le témoin idéal me semble une personne avec une « attitude positive envers les méthodes anciennes » concevant que les méfaits d'un adulte peuvent aussi très bien se payer de cette manière. Une personne donc qui ne voit pas uniquement la fessée sous un aspect récréatif. Une bonne préparation du terrain c'est une discussion très ouverte du sujet qui met les positions au clair. Puis ultérieurement de rebondir tout naturellement quand l'occasion d'une fessée punitive se présente. Enfin cela est assez complexe à résumer en quelques phrases. C'est un « travail » qui peut s'étaler sur des mois, parfois des années, mais livrant un résultat concluant. Cela n'a rien à voir avec les rencontres pour, mais il s'agit plutôt de saisir une occasion présentée par la vie...

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  4. Bonjour Isabelle !

    Je suis tout à fait d'accord avec vous. L'esprit humain se délecte aussi de choses négatives dans certaines circonstances. Regardez le journal TV : curieusememnt ce sont souvent les mauvaises nouvelles qui retiennent l'attention, comme si l''on serait captivé par le malheur des autres Et cela fait resortir le côté un peu sadique , qui sommeille au fond de chacun/e de nous et qui est accentué aussi selon la personnalité propre. Les punitions en font partie et sont aussi le fruit de mimétisme : on reproduit ce que l'on a vécu personnellement. Les parents de l'ancienne génération (avant 1940) croyaient aux "vertus bénéfiques" des châtiments corporels, qu'ils avaient vu et parfois "expérimentés". "Qui aime bien châtie bien" répétait ma Maman, au tempérament très "mère-poule", alternant tendresse et... fermeté. La fessée sur ses genoux était réservée aux mauvaises notes en classe et aux "grosses bétises" comme elle disait. Elle reproduisait un comportement familial en matière d'éducation.D'autant que mon père avec son travail en horaires décalés ne pouvait assurer l'autorité. La seule fessée devant témoin fut celle que je reçus pour avoir perturbé une séance d'essayage de retouche en présencer d' une amie de ma mère et la dame d'âge mûr approuva sans réserve la sévérité maternelle. Autre temps, autres moeurs... Un temps que les moins de vingt ans...La fessée peut servir de garde-fou aux débordements. Une contrainte "rassurante" pour les parents et autres tuteurs/tutrices. Même si personnellement, l'avis est tout autre... Vaste débat. Bonn'après-midi. Mac-Miche

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  5. Disons-le franchement, cher Monsieur Mac-Miche, se réjouir du malheur des autres relève de nos tendances sadiques. Toutefois il y a une grande différence pour moi entre tirer plaisir de l'idée qu'arrive vraiment malheur grave à une personne et le fantasme qu'une dame que l'on trouve insupportable se fasse rappeler à l'ordre par une fessée et. Idem pour la dame inaccessible, une bonne fessée pour la star comme cela se faisait et fait encore dans les productions hollywoodiens. Imaginer la femme derrière le personnage de l'écran qui en revoit pour les besoins du scénario une pour de bon.

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