mardi 13 mai 2014

514 Réculottage bis

Tu peux sortir de ton coin, isabelle !

Ouf, enfin. Une fois ma pénitence faite, je peux me rhabiller. Sauf avis contraire de mon homme quand j'ai été particulièrement insolente. Je me penche alors en avant pour donner à Monsieur un dernier aperçu de mon fessier uniformément rouge ou portant les marques dans la même couleur provenant d'un de ces instrument qui font réfléchir les grandes filles. Puis mon derrière disparaît sous ma culotte ou sous mon string. Dans une position impeccable et glamour, mes jambes tendues pour montrer ma souplesse, le tout accompagné d'un mouvement fluide. Se reculotter est un art et pas un grand n'importe quoi ! Même si à vrai dire un string ne cache pas grand chose, voire rien du tout. Dans ces moments je me rend pleinement compte à quel point la mode peut s'approcher du ridicule et prendre les consommatrices pour des cruches. Passons, j'ai échappé belle. Car il est en effet très gênant de devoir attendre l'autorisation pour se reculotter. Ce qui élève la nudité du derrière au rang d'un châtiment à part entière. Alors il m'arrive de murmurer ô combien silencieusement quelque gros mots quand à de rares occasions j'entends la voix de mon chéri dans mon dos:

Je t'ai pas donné l'autorisation de remettre ton string, isabelle !

Autorisation quel superbe mot qui est censé de mettre bien au clair qui commande à la maison. En théorie au moins ! Mon homme n'est pas vraiment un intraitable pater familias dans la sens de la discipline domestique. Mais j'adore quand il se donne de telles allures. Cela me déchaîne une belle réaction ambivalente à l'état pure : Je te haïs et je t'adore à la fois, chaos dans lequel la discipline stricte met de l'ordre et cela n'a pas de prix, enfin un qui se paye sur le derrière. Devant l'autorité de mon chéri j'ai à chaque fois des frissons, provocant le charme d'une chair de poule sur un pubis parfaitement glabre! Mon chéri en est friand. Hélas pour préciser encore un peu plus, je ne puis avoir, concernant mes émois, recours à une expression très en vogue sur les sites P : Mouiller la culotte ! Pour cause, comme indiqué plus haut, je n'ai pas encore eu l'autorisation de la remettre. Mais comme aime remarquer mon homme :

T'as pas que les yeux qui brillent, isabelle ! Un peu d'air frais te feras pas de mal.

Il arrive donc que je passe encore un plus ou moins long moment avec mes fesses en l'air et il convient que je m'occupe ainsi de mes taches ménagères. Soyons clair, là mon homme se fait plaisir. Et moi aussi. Je peux en toute impunité me promener cul nu devant le prince de mon cœur sans que l'on me rappelle que je sois trop grande (hein oui!) pour un tel comportement.

J'adore cet aspect hypocrite de la discipline domestique !

Notons que le rituel de la fessée, de passer d'un postérieur tout blanc (ah l'innocence !) à un postérieur joliment rouge (couleur de la fameuse pomme de la bible qu'Eve tend à Adam) met en scène une allégorie de l’éveil sexuel de la dame et qui affichera par conséquence bien visiblement son nouveau état avec plus ou moins de fierté, confusion, honte... Pas étonnant que devant tant d'attrait pas mal de messieurs ne peuvent résister à la tentation pour tomber dans le péché de la chair. De plus pour certains celui contre nature. Enfin un vrai éducateur, comme mon superman à moi (isabelle, viens par ici) , un qui sort tout droit de manuels anciens reste imperturbable.

Il n'abuse pas au clair de lune de cette luisance supplémentaire qui émane de l'entrejambe de la grande fille.

Il garde le vif émoi qui sème le trouble dans son caleçons pour lui. J'adore particulièrement ce moment quand mon homme manque de place dans son jeans et essaye de se donner un air sérieux en me donnant une longue leçon de morale. Avec cette envie urgente de passer sa main dans son caleçon pour mettre la chose dans la position la plus confortable possible. Là souvent j'ai envie d'éclater de rire. De plus, une fille bien élevée ne garde pas ses yeux rivés sur cet endroit.

Et encore une hypocrisie si mignonne.

Notons que les grands garçons connaissent de belles parades pour se donner un air calme. Comme accompagner le rituel d'une méticulosité à toute épreuve. Comme faire compter les claques une par une, comme annoncer tant de claques à la main, au martinet, au paddle, dans une ordre bien précis par surplus. Cela se passe un peu comme les ruses censées de garder leur choses pleinement opérationnelle en pleine action:

Quelles calculs, quelques respirations profondes et on revient à l'attaque !

Faut aimer le math quoi. Pour ma part j'aime dans l'acte même (là je parle de la fessée à nouveau) surtout une certaine anarchie, ce légendaire effet de « l'amour qui fait boum » cher à Boris Vian. Par contre je suis charmée par un rituel assez rigide qui entoure le passage à l'acte et qui rassure par ce fait. Seulement il est rare que ce rituel insiste sur le réculottage. Je reviens au départ de mon sujet. Voila qui ne change pas de certains messieurs loin de notre passion. Aucun problème pour faire remonter leur main le long de notre jambe, pour se glisser sous la robe ou la jupe, pour baisser la culotte, pour palper, caresser, fouiller, introduire (pour ceux qui sont particulièrement manuels), pencher (la dame entière, on se comprends!) et pour se réjouir des joies de la chair que la nature a généreusement mis à notre disposition. Mais une fois satisfaction obtenue, plus personne pour mettre la culotte à la place. C'est un peu comme la contraception qui reste bien souvent à la charge de la dame... Si ce texte n'est pas bien clair, c'est la faute de mon homme qui m'a fait goûter un excellent cidre rose hier soir.

Tu vas voir tes fesses, isabelle !

Dois-je chercher le martinet chéri ?

14 commentaires:

  1. tout simplement délicieux ! J'adore vos chroniques si intelligentes et ... coquines. Votre homme a bien de la chance !

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  2. Voila qui fait chaud au cœur de la petite dame qui tient ce blog. Merci beaucoup Monsieur Fesseur 01 !

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  3. Bonjour Isabelle,

    Ouf ! C’est ce que j’ai eu envie de crier après un pont du 8 mai avec de la famille partout dans la maison et un seul jour de vrai beau temps pour les voir autour et dans la piscine !

    Et je découvre votre billet avec un certain sourire car vous décrivez des sensations et des émotions liées à votre possible « re-culottage » que je ne peux connaître, non seulement parce que lorsque qu’il y a une correction, elle a lieu le soir dans notre chambre, mais plus encore parce que cela fait maintenant bien des années que je ne mets plus de culotte, comme je crois vous l’avoir déjà dit ! J’en ai pris une telle habitude que je n’ai pas, ou du moins plus du tout, cette impression de « cul nu » que vous semblez ressentir, et même, lorsqu’il y a peu , j’avais mis pour une soirée une culotte à l’ancienne et fendue avec ma tenue « burlesque », j’avais eu l’impression de quelque chose en trop …

    C’est encore plus net lorsque, pour des raisons de convenance compte tenu du « public » du moment, je porte un slip de bain !

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    1. Chère Christine,

      on ne se moque pas de nos étranges rituels du dé et réculottage ! Rire.

      J considère mon homme sur bien de points comme un grand garçon qui aime jouer la poupée. Alors je vois mes culottes et strings plutôt comme un élément ludique qui lui fait briller les yeux quand il peut mes les baisser ou monter. Je passe sur sa passion pour me lacer mes corsets, pour agrafer mes guêpières ou ajuster mes bas. Et dans ce sens j'aurais beaucoup de mal pour le considérer comme « mon seigneur et maître ». Mais malgré les apparences ludiques, loin de moi de mettre en doute l'autorité de mon homme. Alors effectivement quand je suis invitée de baisser ma culotte, je ne vais pas trop tarder.

      Cependant il m'est arrivé pendant certains vacances de rester sans culotte, voire nue en période estivale à longueur de journée. Je vois donc tout à fait comme vous dites que la notion « cul nu » se perd vite. Je connais également la notion du trop par les vacances naturistes avec mes parents. Bon, mon homme est trop pudique pour en faire et souvent du les plages désertes il va rester habillé tandis que moi je me débarrasse de tout.

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  4. Isabelle, Isabelle...

    Au chapitre de la contraception, je suis parvenu à l'âge adulte au moment de l'explosion du SIDA, et je n'avais pas envie de devenir père prématurément, donc sachez bien que je mettais les préservatifs. ;-) Mais c'est vrai que maintenant, c'est madame qui a un DIU.

    Il m'est arrivé de renculotter la dame après des ébats, en la regardant bien dans les yeux ensuite, histoire de lui rappeler que cette partie de son anatomie est pour notre usage de couple (elle est très sensible à ce rapport exclusif). Attention cependant, et pardonnez le détail technique: si pas de préservatif, il faut au moins que madame fasse un petit pipi avant, et se nettoie, ou se fasse nettoyer... mais cela aussi, j'ai fait.

    Renculotter après la fessée, j'ai fait aussi. Madame a été pénible et a été fessée, puis a passé un peu de temps "au coin", culotte en berne? (D'ailleurs pas forcément debout dans un coin. Mais en tout cas cul nu et honteuse.) Monsieur a envie de l'"introduire", comme vous dites, mais pas tout de suite car il y a plus urgent? Monsieur renculotte la dame, pantalon compris. Comme cela, pas de "vilaine main" (comme vous dites) avant que ce ne soit l'heure, et madame n'aura qu'à vaquer à ses occupations avec un peu de frustration en attendant d'avoir son soulagement (car, bien que madame désapprouve la vilaine main, il lui arrive de se laisser aller.. mais j'ai dû conter comment à un moment elle avait suggéré l'achat d'une ceinture pour périodes de continence forcée).

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    1. Quand j'étais ado le sida était la grande hantise qui est malheureusement sous-estimée de nos jours. Bref, je ne faisais rien si le garçon n'avait pas de protection. Et ni ses beaux yeux, ni les bonnes paroles et ni le chantage pouvait me faire changer avis. Pas de préservatif, pas d'isabelle. Et d'ailleurs faire de la pression sur moi, n'a jamais marché avec moi. Un de perdu, dix de retrouvés !

      Petite curiosité personnelle, si votre dame n'est pas envoyée au coin, vous lui faites faire où sa pénitence. Au milieu de la piece ?

      Pour la propreté, mon homme est peut-être un peu moins méticuleux que vous, mais le lavement est un « geste naturel »chez nous avant les joies du derrière. Cette pratique reste plutôt marginale chez nous pour lui garder son aura d'exceptionnel et que je puisse me sentir pleinement vilaine.

      On essaye depuis longtemps de déculpabiliser la vilaine main. Avant tout je pense dans un but commercial pour doper la vente d'appareils de massage. Grossmodo j'approuve en ce qui concerne cette pratique quand on est célibataire. Mais en couple il y a pour moi vite une connotation gênante qui s'y ajoute. J'ai l'impression de priver mon homme de quelque chose qui est prédestiné. Ceci dit, il me paraît inacceptable de recourir à la vilaine main entre une punition et la réconciliation. Pourtant c'est en ces moments-là que la tentation est la plus grande pour moi. Nous avons travaillé durement sur ce comportement. Notons que la ceinture permet d'un côté ce qu'elle empêche de l'autre. Il y a déplacement du problème en quelque sorte, même si mon homme y voit une solution de moindre mal. Toutefois entre deux punitions si je suis exempte de recours autant recto que verso depuis de longues années. Il en va de soi que je suis très fière des fruits de cette éducation.

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  5. Désolé des détails...

    Mon épouse et moi avions toujours fait la chose avec des préservatifs quand nous avons décidé de nous en passer. Première découverte: une sensation plus délicate pour les deux (quoique, avec des préservatifs fins, on s'en approche) et, pour moi, la sensation de la lubrification naturelle. Seconde découverte, logique mais pourtant inattendue: après, la semence ressort... donc pas très glamour, ni très agréable dans la culotte.

    Faire pipi après l'acte est conseillé aux femmes pour éviter les cystites.

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  6. Je savais que cela arrive, mais j'avais déjà un certain âge quand cela m'est arrivée pour la première fois. J'ai parfois l'impression que dans le temps on perdait sa virginité avec le partenaire pour la vie et de nos jours on se
    débarrasse enfin du préservatif avec le partenaire de sa vie. Je suis prudente avant tout, ayant vu directement les ravages du sida. Par contre, des problèmes de cystite à moins de me promener sa culotte dehors en plein hiver, je ne connais pas trop...

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    1. Chère Isabelle,

      Je n’ai jamais eu de rapport avec un préservatif, et à la lecture de certains commentaires, j’en suis fort aise. Mais il convient d’ajouter que je n’ai jamais eu de rapport avec quiconque autre que celui qui est devenu mon mari !

      Qui plus est, lors de cette inoubliable soirée où je me suis donnée à lui, cela n’ayant pas été prémédité, du moins de ma part ! (je n’ai jamais pu deviner si lui n’en avait pas caressé l’idée …), je n’avais aucune contraception et la question ne fut pas évoquée : puis-je dire qu’il y eut de sa part comme de la mienne beaucoup de fougue et d’enthousiasme, ceci expliquant cela ? Aussi ai-je attendu avec une certaine appréhension le retour de mes règles, tout comme lui. Mais surtout, dès notre retour, il s’empressa de me conduire chez un de ses meilleurs amis d’enfance devenu médecin, lequel me prescrivit la pilule. C’est celui-ci qui me suit depuis lors.

      Mon expérience de la pilule n’a pas été plaisante. Non seulement dans les premiers temps je cherchais à la dissimuler à mes parents, non seulement j’ai eu la hantise quotidienne de son oubli, mais surtout elle me provoqua fréquemment des nausées et parfois des vomissements, sans qu’on arrive à trouver la marque qui me conviendrait vraiment. Ce fut à l’occasion de la prescription de la seconde version que cet ami nous conseilla fortement que je fasse régulièrement de la gymnastique périnéale, pour mon bien certes mais aussi pour notre couple ( !), ce qui je dois dire a été parfois, surtout au début, le prétexte à quelques «plaisants » moments ….

      J’en étais déjà arrivée à la cinquième version lorsque à l’issue d’un déjeuner un dimanche chez cet ami, ayant évoqué la permanence de mes difficultés, il proposa de me poser un stérilet, proposition de suite adoptée sans même que j’aie à y réfléchir ! C’est ainsi que je me suis retrouvée peu après dans son cabinet, avec son épouse comme assistante, mon « amant » curieux de la chose, et surtout moi exposée et prenant conscience de ce que c’est que de devoir être a-pudique. La pose du stérilet fut très rapide, le moment le plus étrange pour moi ayant été de se voir au préalable « mesurer » la profondeur de mon utérus ... Ce fut aussi ce jour là qu’ayant évoqué mes pertes blanches assez abondantes, il fut décidé de remplacer le port de la culotte par celui d’un jupon.

      C’est ainsi que depuis, j’ai une contraception qui me convient parfaitement, et que nous avons solutionné mes petits soucis féminins ….

      PS : Hier après-midi, je feuilletais un magazine tandis que je me faisais dorer au soleil et je suis « tombée » sur un article d’un philosophe traitant de la punition. J’en ai notamment retenu trois phrases :
      - Et si nous repensions la punition ? plutôt qu’une humiliation, ne serait-elle pas un acte d’amour ?
      - Ne pas punir consiste à capitaliser la violence, à la laisser germer, pour s’étonner ensuite de la voir croitre et semer la discorde.
      - La punition doit être pensée comme un chemin qui conduit au pardon.

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    2. Oh, le préservatif n'est pas si déplaisant que cela, s'il est fin et de bonne qualité. Il évite qui plus est la déplaisante "redescente" du sperme dans la culotte ou sur les draps (excusez les détails peu glamours). Il limite la saleté en cas de rapport pendant les menstruations.

      Nous l'avons utilisé au début de nos relations et pendant quelques mois après des accouchements... ou en cas d'oubli de pilule. À ce propos, je trouve le stérilet bien plus sécurisant. Et plus agréable pour les deux, si on prend le type de stérilet qui en plus supprime les menstrues.

      Enfin, un aveu: au début de nos relations, nous n'avons jamais pratiqué la fellation avec préservatif, car cela nous semblait trop artificiel... était-ce un risque stupide?

      Il faut dire que nous poursuivons rarement celle-ci jusqu'à son terme, madame aimant tant le coït...

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    3. Il y a un temps pour chaque chose. J'aime bien m’occuper « entièrement » de mon chéri par exemple dans ses pauses du travail. Lui laisser la main et la tête libre pour qu'il puisse se relaxer. J'aime bien aussi dans un tel moment qu'il... me parle. Pas uniquement de ses fantasmes. De l'autre côté j'aime beaucoup aussi que mon homme s'occupe de moi sans contrepartie. En gros, c'est tout de même plus agréable que les jeux en solitaire. Ceci dit, je n'ai rien contre les taches sur les draps. Puis, le plus souvent chez nous au lit, cela se passe de manière le plus classique...

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  7. Chère Christine,

    je crois que j'aurais rêvée, surtout très jeune de tomber sur un gynécologue comme l'ami de votre mari. Que de bon conseils comme cette fameuse gym qui est effectivement fameuse et livre d'excellent résultats... surtout pour le couple. Ayant déjà fait avant de prendre la pilule, peut-être ai-je pu échapper pour cette raison aux désagréments.
    Par contre je comprends bien vos réflexions concernant l'a-pudeur dans la situation que vous décrivez. Consulter une personne avec laquelle on entretient de relations amicaux, de plus si son épouse l'assiste dans son travail, ce n'est pas banal et donne à mon sens une note particulière à la nudité. C'est bien différent que de consulter un gynéco quelque peu anonyme que l'on ne voit que pour les examens.

    J'ai beaucoup aimé les pensées sur la punition. Merci pour cette trouvaille. C'est un nouveau tabou dans note société et je crois que par ce fait le sujet commence à intéresser. Auriez-vous peut-être le nom de ce philosophe ? Pour l'instant je prend bonne note. Ayant encore un traitement à base d'antibiotique, j'ai ma tête un peu hors état pour y réfléchir plus profondément.

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    1. Bonjour Isabelle,

      Cet article sur la punition est signé par un nommé "Emmanuel Jaffelin".

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  8. Merci pour cette trouvaille Christine. Je viens de faire quelques recherches sur ce philosophe et sur son livre qui a l'air fort intéressant. Certainement un excellent complément pour mieux comprendre le besoin de punition sur un point de vue philosophique.

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