mercredi 27 août 2014

564 Je ne fais rien que des bêtises

Pour être maladroite, elle est maladroite ma petite isabelle !

Dixit mon homme qui - après presque 16 ans de vie commune - sait parfaitement de quoi il parle et surtout à quoi il s'expose avec moi. Bien entendu il tient compte que je ne produis pas « mes gaffes à gogo » intentionnellement, car dans ce dernier cas...

...je t'aurais pas supportée aussi longtemps...

Il se méfie surtout quand je viens le voir en disant avec une toute petite voix :

Chéri, je crois que j'ai fait encore une bêtise...

Alors il pointe ses oreilles pour évaluer le surplus de travail que je lui cause. Car mes bêtises - cela va soi – je ne suis pas capable de les réparer moi-même. A supposée qu'elle soient réparables.

Au début de notre relation, j'étais encore loin d'un état d'esprit de me dénoncer sur le champ. J'essayais de cacher avec plus ou moins de habilité mes bêtises. Non pas parce que j'avais peur d'une éventuelle colère de mon homme. Mission impossible de le mettre en une vraie colère, enfin presque. Mais parce que...

...je me trouve parfois d'une stupidité à toute épreuve quand je réalise la connerie que je viens de commettre.

Comme si cela s'inscrivait en gros sur mon visage. Alors je n'ai pas forcement envie qu'une autre personne se rende compte de l'ampleur des dégâts que je suis capable d’enchaîner.

Bref, laisser une personne découvrir mes bêtises c'est de la laisser rentrer dans ce qui m'est le plus intime.

Une preuve de grand amour de ma part, comme a dit une fois mon chéri. Par exemple après une ou deux semaines de vie commune, je voulais l'impressionner par mon côté petite ménagère au soin de son chéri. J'ai voulu tellement bien faire que je me suis mise au travail déjà crispée. Fait est que je me suis trompée de la température pour laver un des ses pulls... que j'avais taché par un geste maladroit. Tache qui s'était avérée tenace par un lavage à la main à l'eau tiède. Alors en bonne scientifique, sachant que la vitesse et donc l'efficacité d'une réaction dépend de la température, je me suis dit qu'il suffisait de l'augmenter de 10 petits degrés pour un résultat impeccable. Sans penser à la propriété du matériel du pull. Est sorti de la machine un modèle enfant, sans tache, et moi j'étais terriblement gênée. Mon homme a rigolé de bon cœur sans toutefois cerner tout de suite le fond de mon problème. Étant été toujours bichonnée comme une princesse pendant mon enfance, personne ne m'avais appris comment laver un pull d'homme. Le sujet étant délicat, je passe sur plein d'autres de mes maladresses.

Mais je vais en raconter une qui m'a valu une fessée particulièrement originale.

Mon grand classique à l'époque de mes cheveux longs était le lavabo ou la baignoire bouchée. Alors une des premières fois, j’ai attendu patiemment après mon bain pendant très, très longtemps pour que l'eau s'écoule. Puis j'ai passé soigneusement une éponge pour un effet brillant.

Ni vu, ni connu !

Ensuite je me suis tallée lâchement du lieu de mon déshonneur. Hélas, un peu plus tard dans la journée, j'ai entendu un terrible raffut dans la salle de bain. Mon homme, pas content de mes cachotteries, en train de jurer comme un charretier. C'est très rare que cela lui arrive, mais quand cela arrive il ne fait pas semblant.

Satanas d'isabelle, dès que j'ai le dos tourné, tu fais des bêtises !

J'ai pu ainsi goutter à une fessée très particulière. Monsieur tout nu, des résidus de savon sur le corps et du shampoing sur la tête, assis sur le tabouret de la salle de bain et moi seulement troussée sur ses genoux pour m'en prendre une bonne à la main. Et bien évidement, il n'est pas allé de main morte. J'ai pu ainsi constater de manière très directe, par le contact peau contre peau, l'effet libératoire que lui procure le fait de m'appliquer de bonnes et sonores claques. Sorte de transformation miraculeuse de son énervement qui lui fait beaucoup de bien. J'ai donc senti quelque chose gonfler sous moi et se durcir. Pour atteindre sa taille maximale au début du crescendo.

C'est ce jour-là que j'ai pleinement compris à quel point les effets de la virilité peuvent augmenter la cadence et la force de ce qui arrive à mes pauvres fesses.

Ajoutons que la fessée ne m'a pas guérie de mes bêtises. Mais elle m'aide bien a mieux supporter mes insuffisances. Et je serais très déçue si mon homme ne me donnait pas un coup de... main ou de martinet pour rééquilibrer mon amour propre.

41 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Vous faites comme la chanteuse Sabine Paturel (Début 1990), j'imagine.
    Finalement, c'est peut-être ce qui fait votre charme. Une personne maladroite montre une certaine fragilité . Signe peut-être d'une grande émotivité intérieure.
    Et cet état d'esprit donne envie de la protéger... et de la corriger en cas de ... récidive !!! (cf. "Le distrait" avec Pierre Richard). Votre comportement s'est surement amélioré avec le temps (?) et souvent on le fait pour les autres.
    Mais rassurez-vous , il n'y a que vous qui soyez maladroite.
    Bon appétit. Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
  2. Disons que tant que je reste dans le domaine de la pure instruction qui se communique par les mots, on ne se rend pas compte de la maladresse de mes mains, cher Monsieur Mac-Miche. Par contre quand je m'applique avec mes mains c'est souvent courir à la catastrophe. Donc le « métier » de fesseuse ne m'irait pas. Sans parler du martinet qui est un instrument complexe à manier. Alors un bon petit paddle à la limite...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Isabelle,

      Comme vous, je ne suis pas très habile, alors je fait appel à quelques bonnes volontés pour m'aider. Eventuellement, je remédie au problème en étant astucieux (système D) à défaut d'être bricoleur. On ne peut pas accumuler toutes les qualités. Il faut bien en laisser un peu aux autres? Rires. Mac-Miche.

      Supprimer
  3. Ah le fameux système D. Je pense qu'il ne faut pas oublier ô combien de gentils messieurs peuplent cette terre, désireux d'aider une dame qui ne sait pas faire ou qui se prend mal. Leçon retenue par ma vie personnelle et évidement certaines dames comme moi, en manque d'ambition de vouloir faire toute seule ou apprendre de faire toute seule, acceptent volontiers un petit coup de main. Voila le système D version isabelle. Ceci dit, je suis vraiment maladroite...

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour Isabelle,


    Quel homme ne se ruerait-il pas au secours d'une dame en détresse ? Tous ne sont pas des rustres, Dieu merci..
    Remarquez, question déco intérieure dans la vie professionnelle ou privée, ce sont souvent les femmes qui s'en chargent et qui épatent leur entourage par leur agencement du mobilier et le mariage des couleurs. J'oserais même cette maxime (si je puis dire) :" Aux maris, la technique, aux épouses, l'esthétique".
    (Pas mal, la rime, non ? ) Bon WE . Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mac-Miche, je crois que si tous les hommes considéraient cette maxime comme juste, les femmes seraient encore à manifester dans la rue pour avoir le droit de vote... C'est pas plus mal que de manière globale, les femmes aient acquis le droit de sortir de la maison.
      En tout cas, moi, ça me fait plaisir de me dire que des générations de femmes avant moi ont passé les années sombres mais qu'elles n'ont pas connu la peur, et que désormais, aujourd'hui, je peux me dire maîtresse de mon destin, capitaine de ma destinée! (même si je me fous royalement de savoir choisir un papier peint)
      (et tant qu'on y est avec Henley, allons y gaiment: Je remercie les dieux quels qu'ils soient pour mon âme indomptable).

      Invicta.

      Supprimer
    2. bonsoir monsieur Mac Miche merci.... pour vos bonnes paroles envers ces dames, Isabelle a de là chance !!! d' avoir un mari bricoleurl : le mien à bien d' autres qualites mais pas celle ci ; c' est moi qui me débrouille seule t celà me pose de sérieux problémes quelquefois ..; mais on ne peut pas tout avoir ; dans là maison il est capable de me seconder avantageusement repassage ; cuisine ; menage je reconnais que celà est utile aussi; et me rend bien service ...
      cordialement Jacqueline


      Supprimer
    3. Pour Jacqueline

      ….de la chance... Je ne saurais trouver meilleur qualificatif que vous Jacqueline concernant le penchant de mon homme pour le bricolage. Rien ne l'a prédestiné à ce passe-temps, loisir, passion..., ni son enfance, ni ses études, ni son travail. Intellectuel comme moi, il a toujours adoré de cultiver les habilités de ses mains. Et là reviens au sujets de mon blog. Bon nombre de fesseurs et fesseuses aussi comme confirment certains sujets sur le blog de Constante et Simon sont drôlement habiles de leurs mains. Artistes pro ou quasi pro du dessin, bricolage avisé comme les martinets ou autres instruments, couture. Certes, il y a aussi certaines dames qui reçoivent qui se défendent pas mal à ce niveau. Mais je pense que le rapport entre « aimer faire de ses mains » et fesser mériterait presque un sujet à part entière.

      Supprimer
  5. Bonsoir Mesdames,

    @ Constance : Ne prenez pas toujours les mots au pied de la lettre. Ma "maxime" voulait juste montrer l'équilibre des choses : chacun/e fait profiter son entourage de ses qualités pour le plus grand bien de tous. On se complète les uns les autres, comme les deux plateaux équilibrés d'une balance pour donner le juste poids. Le discours "sexiste" (il me semble que vous l'avez compris de cette façon, au ton de votre réponse ) n'est pas du tout dans mon style. La rivalité ne m'intéresse pas,seule la complicité permet de donner parfois le meilleur de soi-même. Mais je salue le combat des femmes qui n'est pas toujours reconnu à sa juste valeur. Malheureusement...
    Et pourtant que serait le monde sans les femmes ?
    @ Jacqueline: C'est juste : on ne peut avoir toutes les qualités dans la vie. Mais votre époux vous épaule quant il le faut et c'est déjà une belle chose. Mais avec le temps, gageons que tout évolue. Ma grand-mère me disait souvent : "une main lave l'autre et les deux mains lavent la figure ".
    Les Anciens ont toujours cette justesse des mots.
    Sur ces quelques mots, bon WE à vous, mesdames. Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. @MacMiche: si vous exprimez vos idées, souffrez qu'on y réponde. Il ne s'agit pas de prendre ou non au pied de la lettre... Mais une maxime, c'est pour exprimer une morale ou avoir vocation de vérité générale. Et il se trouve que les femmes douées pour leur intérieur, ça n'est pas ma vérité générale à moi.
      Et sans prendre au pied de la lettre, quand on se sert du sexe d'un individu comme critère discriminant (les hommes sont doués pour la technique, les femmes pour l'esthétique, du coup on dirait bien que c'est le sexe qui détermine si un individu est doué ou non pour décorer sa maison), bah j'ai beau retourner la question dans tous les sens, ça ressemble à un discours sexiste (après il y a tout ce qui est formulation, faire des généralités quand on veut parler de son cas personnel est un énorme piège, j'en suis la première consciente, allez pas me dire que je suis pas compréhensive après ça).
      Si le discours sexiste n'est pas le vôtre, cela devrait vous parler. Tenez, pour reprendre une formule que vous aimez bien: voir des Femmes toujours prêtes à reprendre la Lutte pour leurs Droits, cela fait toujours plaisir, non?
      Et si vous saluez mon combat cela devrait vous faire doublement plaisir.

      Maintenant faisons le lien avec l'univers de la fessée. Je trouve ça d'autant plus important d'en parler sur le blog d'Isabelle qui pratique la DD à sens unique, ce que je respecte profondément. Quand, comme moi, on est une femme qui donne la fessée et "domine" dans son couple (avec des nuances, si le caractère humain pouvait se résumer en deux phrases on le saurait), pour peu qu'on commence à l'ouvrir sur des fora et autres (oui forum au pluriel ça s'écrit fora) (quoique là faudrait un ablatif du coup) on en entend des vertes et des pas mûres. Et ça va de "c'est pas naturel" à "encore une féministe qui veut faire souffrir les mâles parce qu'elle en a une haine viscérale". Alors forcément, comme on dit "chat échaudé démarre au quart de tour": j'entends de la distinction genrée, je démarre au quart de tour. C'est pas ma faute votre honneur.

      Constance

      Supprimer
    2. Isabelle, j'ai oublié de préciser que tu pouvais supprimer mes commentaires quand tu voulais si tu trouves que ça ne va pas: on est ici chez toi et je n'y verrais aucun problème.

      Constance

      Supprimer
    3. Bonjour Constance,

      Je suis bien d'accord avec vous quant à la fidélité de la pensée par rapport à l'écrit. Il peut y avoir faux-amis ou quiproquos. C'est le risque . Comme vous le savez , généraliser et comparer est parfois le petit "défaut" (s'il en est) de la pensée humaine.
      Comme vous, je n'aime pas l'injustice ni la violence gratuite, ni même conjugale, surtout si elle touche les enfants par extension. Et là encore, le combat pour la sécurité des femmes est loin d'être gagné. "les Femmes ne sont pas assez protégées" répétait ma mère. Et je comprend votre réaction, même si elle ne plait pas toujours à vos interlocuteurs. Mais elle vous honore. C'est votre choix.
      Bonne journée. Mac-Miche.

      Supprimer
  6. Non Constance, je n'ai pas envie de supprimer, car ton commentaire pointe vers l'importante question comment aborder notre sujet. Puis je me retrouve bien dans tes émois. Car comme toi, il m'arrive parfois de lire certaines contributions à notre sujet (sur forums ou blogs) qui me dressent les cheveux sur la tête et qui réveillent à juste titre comme me semble-t-il la féministe en moi. Soyons équitables (et là tu ne l'est pas vraiment), car que ce soit pour une position comme la tienne ou comme la mienne, chacune en prend pour son grade. Et ceci sans qu'il y ait même allusion à un deuxième dégrée. Tu crois que cela me plaît de lire que les femmes qui aiment la fessée sont soumises, ont un problème d’œdipe, sont immatures, ont besoin que l'on leur révèle leur vraie nature, font don d'elles. Le vrai problème me semble donc la réaction de certains messieurs envers ces dames qui expriment librement leur désir.

    Notre sujet (la fessée dans son sens large) vie en grande partie de ses non-dits. Voila pourquoi le discours reste le plus souvent dans le registre politiquement correct de la fessée plaisir. Ce qui ne pas foncièrement faux, car si on n'y trouvait pas quelque part son plaisir (à définir!), il serait peu probable d’accepter de se faire claquer les fesses. Voila LE grand acquis social pour les dames, le droit de choisir librement de s'engager dans cette pratique sans que ce ne soit un droit qu'attribue le législateur aux monsieur.

    Le discours pur plaisir étant souvent « ennuyeux » et « infructueux pour faire rêver», il y a certaines personnes comme nous qui aimeraient lever partiellement ce non-dit en mettant des mots sur leur ressenti plus profond. Voila, pour ma part je cultive le non-dit de la dame caricaturalement « féminine » parce qu'il trouve un fort écho excitant en moi. Et tant que je n'ouvre pas ma bouche il m'arrive de passer pour... enfin ceci n'est le sujet. Mais loin de moi de fermer mes yeux sur la réalité sociale qui ne permet pas de tenir un tel discours. Voila donc des lourdeurs de mon style, mais malgré cela il y a ci et là des petites formulations disons non convenables. Contrepartie de la méthode des associations. Pour ma part, j'ai compris le petit rime de Monsieur Mac -Miche comme une manifestation de son monde intérieur, de sa vision fantasmatique d'un bonheur conjugal en laissant libre cours a ses émotions et archaïsmes qui constituent normalement ses non-dits. Rien de bien méchant, mais contenant une grossière erreur sur bien de dames que je voulais aussi pour ma part et à ma façon corriger : Cher Monsieur Mac-Miche, pourtant étant femme, je ne suis pas douée du tout pour la déco intérieure ou extérieure, une vraie catastrophe et -allons jusqu'au bout- c'est mon homme qui outre la capacité de bricoler sait aussi décorer (repasser, cuisiner..). Je pense que cela s'explique plutôt par ma façon d'être, comme une pure intellectuelle, habituée à manier le mot et les concepts abstrait, mais de mauvaise fois de vouloir main à la patte...tache que je ne laisse pas aux hommes, mais à mon homme. Le pauvre...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Tu crois que cela me plaît de lire que les femmes qui aiment la fessée sont soumises, ont un problème d’œdipe, sont immatures, ont besoin que l'on leur révèle leur vraie nature, font don d'elles."

      Ben non, j'ai jamais dit ça!

      Supprimer
    2. merci Mac miche pour votre réponse je ne suis pas pour un jugement à l'enporte piéce mais je trouverais bien plaisant d'avoir recourt à un voisin ou un ami de bonne volonte pour resoudre mes petits soucis de bricolage evidement pourquoi penser qu' un homme est sexiste ou matcho par ce qui ' il veut vous aider je trouve au
      contraire que celà part d'un bon sentiment et que cette personne est plutot pleine de bonne volonte et sympatique
      quant au couple à chacun de trouver son equilibre dans le partage des taches le principal est la complicite
      ce qui ne m"empeche pas de trouver normal que l' homme dans le couple puisse avoir une certaine autorite bienveillante pour le bien de sa petite famille ; il faut lui laisser cette place !! c'est important je trouve pour son equilibre propre il faut au contraire l aider et le conforter dans ce role ..... j'ai pu en effet constater que beaucoup d'hommes actuellement ne savent plus quelle place avoir dans le couple et comment se situer .... ce que je trouve desolent et qui induit quelquefois des problemes psychologique et un manque de confiance en soi ....; oui l' homme doit garder son role de chef de famille
      mais cela n'engage que moi
      cordialement Jacqueline

      Supprimer
    3. Pour Constance :

      Mais non, tu ne l'a jamais dis. C'était simplement des exemples pour te dire que moi aussi j'ai tendance à réagir au quart du tour en lisant certaines méchancetés envers les dames enclines (actives ou passives, peu importe ) à notre sujet. Quant aux sexisme de la vie quotidienne... il y a encore du progrès à faire pour changer les choses...

      Supprimer
    4. Aaaaaaaah d'accord. Mes confuses.
      Effectivement, je n'en ai pas parlé. Mais t'inquiète, ça m'énerve exactement de la même façon.

      Constance

      Supprimer
    5. Bonjour Jacqueline,

      Merci pour ces bons mots. Vos propos confirment certains des miens. Si deux personnes vivent ensemble , c'est qu'elles se sont trouvées des affinités. Sinon, on ne resterait pas ensemble.
      A moins qu'il y ait une nécessité économique, un salaire pour vivre, qui motive cette décision.
      Le principal , c'est que tout le monde trouve son compte et quant les enfants sont là, il faut continuer à assurer le quotidien et l'autorité. Vaste sujet, l'autorité. En principe un rôle dévolu au chef de famille. Et de nos jours, les foyers recomposés ou monoparentaux compliquent un peu plus les choses.
      Mais on s'éloigne de notre sujet favori...
      Bon WE. Mac-Miche.

      Supprimer
    6. Pour Jacqueline

      Certes ces propos n'engagent que vous, mais je leur trouve une belle part de sagesse. On oublie souvent de nos jours une question essentielle. Qu'est-ce qu'importe le plus ? Les grandes idées ? Le politiquement correct ? Ou tout simplement le bonheur entre deux personnes sur la même longueur d'onde ? Votre recette ne me semble pas a mettre dans tous les mains, mais elle a fait ses preuves dans mon couple...

      Supprimer
  7. Bonjour Isabelle,
    Merci de recadrer un peu notre discours. Loin de moi l'idée de jeter le discrédit ou la discorde entre nous comme vous le savez. Mais je comprend les réactions C'est le libre choix de chacun. Si elle peuvent faire bouger les choses , alors pourquoi pas. Visiblement, ma petite rime ne voulait que faire un effet de style. Mais elle semble avoir déclenché une tempête. Dommage. Rester au premier degré eut été judicieux dans un mode plutôt ludique. L'humour fait passer bien des messages mieux qu'un discours compliqué.
    D'autre part, le choix est peut-être le droit le plus chèrement acquis par les Femmes. Il reste le libre-arbitre de chacun/e d'entre nous. On est grands, majeurs et vaccinés et si quelque chose ne nous plait pas, on le manifeste.
    Je donne surement l'impression de prendre les choses à la légère mais je suis un éternel angoissé. Je met toujours un peu de rêve ou d'humour dans ce que j'écris. Car ma réalité quotidienne n'est pas très enviable, croyez-moi. Par votre excellent Blog, Isabelle, vous me donnez la possibilité de discuter de mon fantasme de la fessée et ce entre passionnés/e du sujet.
    D'autre part, une chose m'ennuie un peu : une maladresse de ma part concernant ce qui peut paraître comme une évidence et surtout vis-à-vis de vous Isabelle . Je pensais être dans le vrai. Mea culpa. " errare humanum est"
    Bon WE. Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ne vous en faites pas Monsieur Mac-Miche. J'ai pris avec beaucoup d'humour votre idées de me voir en décoratrice avertie de maison. C'est plutôt flatteur je trouve parce que j'aimerais bien disposer d'une telle qualité.

      Vous avez bien cerné la vocation première de mon blog. Proposer de la distraction, de l'évasion du quotidien et aussi et un peu de rêve autour d'un sujet particulier. Le tout sans oublier d'inciter à la réflexion et aux associations libres. Voyez au lieu de vouloir généraliser, il suffit de dire :

      Voila qui m'évoque personnellement...

      Car justement c'est cela qui m’intéresse et je pense aussi pas mal de lecteurs de mon blog, ce qu'évoque le sujet de mon blog personnellement. Cette levée de chacun de nous de son non-dit individuel et de lui donner une forme verbale...

      Supprimer
  8. Un petit mot pour dire que je comprends et soutiens les propos de Constance qui ne visent qu'à combattre tout ce qui peut enfermer les hommes et les femmes dans des rôles prédéterminés par leur genre. Le vrai combat du féminisme n'est pas de donner un rôle égalitaire à l'homme et à la femme, mais bien de donner la libertés à chacune de vivre librement de la manière qui lui convient le mieux et la rend la plus heureuse.

    Moi j'adore vivre en couple dans la caricature traditionaliste de la femme « qui fait le ménage » et de l'homme « qui bricole ». Cela peut paraître bébête mais je trouve un homme qui sait bricoler terriblement sexy et à l'inverse j'aurais du mal à fantasmer sur un homme que je vois passer l'aspirateur ou faire la vaisselle. C'est comme cela, cela n'a strictement aucun fondement rationnel, ce n'est que la manière dont mon fantasme est construit. Mais pourquoi cela ferait-il hurler les féministes ? Le plus important d'une vie de couple n'est-il pas de garder intact le désir que l'on a l'un pour l'autre, quelle que soit la forme du fantasme qui en est à la source (et qui ne regarde absolument personne d'autre que les deux partenaires) ?

    Vivement que l'on puisse vivre chacune libre et épanouie, sans être sans cesse taxée de « soumise - pauvre bêtasse » ou de «dragon – monstre de la nature» ! :)))

    RépondreSupprimer
  9. Ta conception du féminisme me convient parfaitement , Amandine ! Qui l'aurait cru que mon petit sujet devienne si instructif. Mais surtout côté irrationnel, moi aussi, je trouve tellement sexy (terme au combien juste dans le sens de donner envie de faire des galipettes avec ou sans fessée) quand mon homme bricole et nettement moins sexy quand il fait par exemple la vaisselle. Alors dans ces conditions je comprends parfaitement quand mon homme me dit qu'il me trouve sexy quand je fais la vaisselle. Surtout quand je met un petit tablier blanc...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'avoue que je trouve Simon sexy quand il bricole - surtout quand ça me fait une corvée de moins, faut admettre - mais encore plus quand il fait la vaisselle. Toujours sur le principe de "ça me fait une corvée en moins", mais j'aime aussi aller me glisser derrière lui et mettre la main dans ses poches de pantalon, ou lui mettre des tapes sur les fesses, ou autres papouilles osées.
      C'est comme être vautrée dans un fauteuil à écouter du hard rock avec un casque et lever mes pieds pour qu'il puisse passer l'aspirateur.
      Je sais pas d'où ça vient, je sais pas pourquoi ça me fait de l'effet, mais ça me fait de l'effet. Piouf.
      (très honnêtement, pour des raisons de sécurité, j'irais pas lui faire des papouilles quand il bricole/ coupe du bois et autres. On sait jamais).

      Constance

      Supprimer
    2. bonjour a tous et toutes je dois dire que pour ma part je me trouve bien dans mon role de femme s'occupant de son foyer et de son mari de ses enfants ; j' aime preparer de bons petits plats à mon mari et je ne trouve pas ridicule ni depassée pour celà ; mais le principale est que chacun trouve sa place et son equilibre :bien sur ; j'aurais bien aime que mon homme sache bricoler mais il en est incapable ! ; ce n'ai pas un drame , car il a tellement d'autres qualites qui ont ete pour moi d'une grand soutient au quotidien de par ma profession ( je suis une ancienne infirmiere psy ) car j'ai passe beaucoup de temps à travailler pendant les jours de fetes ; les feriers et we aussi ( mes enfants me l'ont reproche d'ailleur !! mais je n'avait pas le choix helas et surtout ma fille ....) heureusement mon homme etait là toujours present et attentif à veiller au confort de sa petite famille et de surcroit a s'aquitter avec beaucoup de brio toute ces taches quotidiennes ;
      comme quoi dans notre couple tout pouvait etre interchangeable sans difficultes , en resume un vrais soutient
      voilas pour moi ce qui ne m'empeche pas de soutenir mon mari dans son role de chef de famille et de le conforte dans son autorite

      bien cordialement Jacqueline

      Supprimer
  10. Tu sais, mon homme adore écouter de la musique hippie, ce qui ne l’empêche pas de prendre plaisir de me voir devant lui en tenue soubrette sexy de faire le ménage. Et quand je passe à côté de lui, il oublie le « love et peace » pour me trousser et de me donner une tape gentillette sur mon derrière sur des airs de Dylan ou Joan Beaz. Comme je lui dis souvent dans nos tenues respectives, on aurait formé un beau couple à Woodstock. Voila pour dire que je te trouve bien souvent plus proches des fantasmes de mon homme que des miennes. Mais... bien que je n'ai pas l'impression d'un truc sexy quand mon homme fait la vaisselle (si, si, cela arrive), j'aime bien moi aussi lui passer mes mains sur ses fesses... parce que je le trouve sans défense car ses mains sont occupées !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il y a le côté sans défense, et chez moi il y a aussi le côté "tour du propriétaire". Sans assimiler Simon a un objet, c'est une façon de manifester pour moi que Simon est à moi. Cela dit j'ai déjà dû raconter la fois où Simon était assis tranquillement à discuter avec son père. Je les ai rejoints, et je suis restée debout. Et là, Simon, sans s'arrêter de parler, qui glisse la main sous ma jupe. Sans une once de gêne, blasé, en mode "ben quoi, c'est ma femme, j'ai le droit".
      Un jour nous avons vu Joan Baez en concert. Il pleuvait à torrent, nous étions collés l'un à l'autre, Simon et moi, sous un parapluie. Quand elle est arrivée, la première chose qu'elle a dite, en français, pour s'excuser de son retard dû à la pluie "voilà, maintenant tu sais ce que c'était Woodstock". Du coup, j'ai connu une forme de Woodstock!

      Constance

      Supprimer
    2. Oui, nous aimons aussi la main aux fesses (voire sous la jupe.. ou sur mon "devant") comme "tour du propriétaire"... mais avec une certaine discrétion: pas quand on peut nous voir.

      Supprimer
    3. Pour Constance :

      Ah, on va tout savoir sur les habitudes de Simon. Une chose est sure, il n'est pas timide...

      Merci pour l'anecdote sur Woodstock. Je ne voyais pas cela sous la pluie. Donc rien pour moi !

      Supprimer
  11. J'arrive après la bataille!

    J'ai été toute mon enfance conditionné dans des comportements sexistes (par mes copains à l'école, ma famille, et notamment ma mère!). C'est très difficile à perdre à l'âge adulte. Et puis, on peut parfois vouloir faire des plaisanteries faciles (sur les "blondes" ou je ne sais quoi) qui blessent, parce que même si on ne croit pas à ce que l'on dit, il existe d'autres personnes qui y croient; raison d'être prudent.

    Madame m'a d'ailleurs jadis infligé quelques punitions pour "réflexions machistes".

    Constance:

    Je ne fréquente plus depuis longtemps les forums (non fora ça ne passe pas pour moi au milieu d'un texte français) de fessée. Je ne suis cependant pas surpris de ce genre de réactions. On peut avoir une sexualité "alternative", qu'une bonne partie de la population trouverait "pas naturelle", et en même temps être intolérant envers ceux qui ont une autre sexualité "alternative".

    Il m'est arrivé de tomber via une recherche Google sur des pages de sites grand public (aufeminin.com par exemple) et c'est pire, du style quelqu'un pose une question et ensuite divers messages pour dire "ah ben moi ça me dégoûte" ou "ah ben non sinon y'a plus de limites".

    C'est pour cela notamment que nous restons très discrets par rapport à la famille (un peu "coincée" des deux côtés) et du milieu professionnel. Manifestement, pour bon nombre de personnes nous serions au minimum de doux dingues, au maximum des fous auxquels il faudrait retirer leurs enfants et qu'il faudrait envoyer en thérapie.

    Isabelle:

    Si j'osais, je dirais où les gens peuvent se mettre leurs explications psychanalytiques de bazar.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Parenthèse latiniste chiante: le français n'est jamais qu'un latin abâtardi, et l'insertion de mots latins augmente mon taux de quiétude (+20 points). Mais c'est mon délire à moi, hein, personne n'est obligé de suivre!

      Constance

      Supprimer
    2. chers tous Isabelle ; Constance et Simon ; Mac Miche ;Amandine et Pecan nutjob ....;;oui il est bien difficile de parler de la discipline conjugale ; ;de la fessée en general et de tout ce qui touche à ce sujet de mon cote ; avec la famille de mon mari je ne m'y risquerais pas ils sont tres peu ouverts a tout ce qui traiterait de ce sujet ; je risque fort de passer pour une originale au mieux et dans l' autre cas pour une Malade !!
      dejas de par mon metier ( infirmiéré psy ) j'ai essuyer pas mal de reflexons desagreables du genre ........faut--il un diplome pour travailler avec les fous ,? ou ou mieux ......;pour travailler dans cette branche il faut etre malade egalement ! consternant ou c'est un vrais metier d de travailler en psychiatrie ?,
      . avec le temps j'ai appris à avoir de la distance à répondre avec retenue mais ce n'est pas toujours facile!
      voilas bon Dimanche à tous
      Jacqueline

      Supprimer
    3. Bonsoir Jacqueline,

      Tout d'abord, votre récit me ramène une dizaine d'années en arrière quant j'ai consulté un médecin psychiatre (une dame et sur les conseils de mon généraliste) pour essayer de comprendre mon "fantasme de fessée" qui parasitait mes relations avec les Femmes. Son diagnostic: "tendances masochistes !". J'ai hésité avant de consulter car souvent, l'on attend ce cliché : il faut être complètement fou ou malade pour voir un psychiatre.
      Loin d'être rassuré de ce constat, j'ai commencé à dessiner mes "fantasmes" depuis cette époque. Une forme de thérapie (?) qui m'a aidé jusqu'à aujourd'hui. (Côté dessin, je me débrouille assez bien et cela m'aide grandement. )
      Côté famille, je garde mon jardin "secret". Difficile en tant qu'homme presque quinquagénaire d'avouer préférer qu'une Dame "mène le jeu ".
      D'autre part, je comprend et salue votre dévouement et votre courage dans votre métier. Ma sœur ainée avait passé le concours d'orthophoniste vers 1974-75 mais échec à l'examen pour un demi-point !!!!! Elle s'est occupée ensuite en tant que bénévole avec des ami/e/s accompagnants d'un groupe de personnes handicapées (physique et mentaux) pour lesquels ils ont organisé des sorties et là encore, ils ont souvent essuyé des moqueries ou des refus de la part du public. Mais l'union fait la force. La discrimination, c'est une "gangrène psychologique" difficile à soigner... Mais restons optimiste. "Faut toujours garder le cap, moussaillon" dit mon vieux marin de père.
      Bonne soirée. Mac-Miche.

      Supprimer
    4. Pour Monsieur Pecan :

      J'adore votre formulation sur l’intolérance d'une sexualité alternative envers une autre. Pour ma part aussi, je suis partie, il y a bien longtemps des forums pour des raisons assez semblables. D’allers la DD a très mauvaise réputation sur les forums de fessée. Enfin, avait dans le temps, car je ne sais pas trop ce qui s'y fait de nos jours.

      Pour la psychanalyse qui est - comme vous le savez bien - mon dada favori, je dirais la chose suivante. Celle du bazar s'apparente plutôt à la psychopathologie, veut dire de vouloir faire taire une autre personne sous prétexte de sa santé mentale. A vrai dire, pour ma part je ne crois pas trop dans la vertu curatives de la psychanalyse. Peut-être un jour arrivera-t-on à bien dissocier l'analyse de la psychiatrie qui elle s’occupe de la maladie et de la souffrance...

      Supprimer
    5. Pour Jacqueline :

      je pense que la plupart de gens ne peuvent pas s'imaginer comment se passe le quotidien dans un hôpital psy. Que c'est l'infirmière et les aides soignantes qui se trouvent en première ligne avec les malades. Que ce sont elles qui établissent les contact humain, le petit geste chaleureux, l'écoute et que le docteur, enfin … il est rarement là hors consultation. Voila donc un métier vraiment au service de son prochain qui mérite respect et reconnaissance.

      Supprimer
    6. Vous étés en bonne compagnie comme il me semble. Helga Bode par exemple à commencé pour des raisons un peu semblables aux votre à se mettre au dessins. Et Sabine Spielrein a découvert sa passion pour la psychanalyse au travers de son penchant pour la fessée. Vous sublimez votre fantasme en faisant plaisir aux autres. C'est très bien!

      Supprimer
    7. Bonjour Isabelle,

      Merci pour ces deux belles références. Concernant la dessinatrice Helga Bode , j'ignorais le motif de sa passion pour le dessin. Visiblement, certains "réflexes" semblent universels. Et c'est parfois encourageant , quant on commence à douter du bien-fondé de ce l'on entreprend.
      J'aime beaucoup les films en costume :ils donnent du panache aux séquences et renforcent le jeu des artistes en nous faisant revire une autre période révolue. A la vérité, je suis très peu l'actualité ciné mondiale.
      Dans un autre film , beaucoup plus ancien (années 1960 ? ) le célèbre docteur Freud était joué par un acteur américain - Montgomery Clift et le réalisateur - Huston- retraçait la carrière du fameux psychanalyste autrichien en démontrant l'importance du rêve dans ses travaux et thérapies ... La vie et l'œuvre de certaines personnalités nous font parfois réfléchir sur notre propre existence.
      Si cela peut apporter un début de solution, au final, pourquoi pas.
      Bonne journée. Mac-Miche

      Supprimer
    8. Je n'ai pas vu Mongomery Clift en Dr Freud, mais je l'ai beaucoup aimé dans « Soudain l'été dernier » avec la merveilleuse Elizabeth Taylor et la ne pas moins merveilleuse Katharine Hepburn. Visiblement ce jeune homme était destiné pour jouer le psy séduisant. En fait, je ne sais pas grand chose sur la vie de Freud à part son absence de sentiment religieux, état d'esprit que je partage. J'ai beaucoup d'admiration pour la brillance de son esprit.

      Supprimer
  12. Pour en revenir au billet d'Isabelle, moi aussi, quand madame fait sa chipie et se retrouve sur mes genoux, je sens que mon excitation stimule ma cadence et vice-versa. ;-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. bonsoir Mac Miche merci pour vos propos je partage vos idées et j''ai eté moi aussi pas toujours satisfaite des reponses données par certains medecins aux patients les laissants dans une certaine perplexite ( mais ce 'n'ai pas toujours le cas heureusement !! ) J'ai aussi travaille avec des psychiatres qui accompagnaient leurs patients avec une magnifique prise en charge doublée d' une grande humanite et d'une exellente ecoute et en plus tres rassurant !!! mais ce n"ai pas toujours facile de trouver ou de tomber sur.... la bonne personne ....
      mais de mon cote j' ai toujours essayer de donner le meilleur de moi méme en ayant conscience que je ne pouvais pas pour autant regler touts les problemes li faut toujours rester modeste dans cette proféssion et savoir sans cesse se remettre en question ..
      bien cordialement Jacqueline

      Supprimer
    2. pour Isabelle oui j' ai vecu des moments ou la prise en charge des patients etait lourde et difficile voir epuisante aussi bien sur le plan physique que moral ; ;malgre tout j'ai toujours aime ce que je faisais mais que de taches à accomplir à là fois ; préparation des traitements et surveiller la prise de ceux ci ; accomplir qq soins ; mettre en place des activites; :assister aux entretiens des medecins avec le patient et les familles ; ecrire le contenu pour le suivi dans le cahier de soins ; faire des entretiens infirmier ; faire le lien avec les familles ,rassurer+++
      prendre les rv , assister aux repas des patients pour les conduites alimentaires ++ et j"en passe ;les accompagner sur l"exterieur dans les premiers temps de l'hospitalisation avant les permissions
      malgre tout çà je ne regrette aucunement mon choix .... bon maintenant je suis en retraite mais celà me manque .... quelquefois
      bien amicalement Jacqueline

      Supprimer