(Suite
de : 598
Discipliner son mari de manière saine 2)
Du
calme mon chéri, tiens ta position pour la vaseline. Tu ne voudrais
tout de même pas que je te passe l'appareil de massage à sec, non ?
Malgré ses allures sévères et son
intransigeance sur les punitions, la belle dame se veut une épouse
aimante. Soucieuse du bien-être de son mari, ses directives et
actions ne manquent pas de tendresse et de chaleur humaine. Et
justement de la chaleur humaine, le mari - sous peu - va en recevoir
beaucoup. Une correction de plus claquante par un douloureux passage
du martinet sur ses fesses. Au début de leur mariage, madame a été
perplexe en découvrant l'obscénité flagrante, générée par ce
rituel. Se trouvant devant une insolente gaule à son mari, à
l'image d'un « matin triomphant », si cher à Victor
Hugo. De plus, outre que jumelant un fessier, vivement strié et une
tête rouge de malaise, Monsieur n'a pas tardé de pousser des cris
d'inconfort. Alors Madame, voulant épargner à son mari toute
ambiguïté avec un pitre spectacle d'un authentique coq en rut,
avait décidé d’instaurer - sur conseil médical - la détente
préalable par voie rectale.
Pour le monsieur c'est le petit répit
avant sa sanction. Habitué à ce procédé, il se laisse faire. Il
n'y a personne pour pouvoir témoigner de son déshonneur. C'est déjà
pas mal. Puis madame sait s'y prendre. Pas de geste brusque et une
lubrification parfaite, permettent à d'effectuer facilement et
rapidement tous les gestes nécessaires pour que Monsieur puisse
profiter de sa discipline sans qu'une érection vienne troubler son
concentration.
Une
érection pendant sa punition ? Mon mari n'est pas un vicieux,
...a-t-elle confié récemment avec
fierté à sa meilleure amie. Cette dernière n'avais jamais tardé
de complimenter le comportement exemplaire du mari sans trop
comprendre comment un tel miracle puisse se produire de nos jours.
Alors un jour propice, Madame a parlé du bienfait de la fessée sur
un grand garçon. Or l’amie, familière avec ce châtiment, enduré
jadis en sa présence par ses grands frères, avait pointé justement
sur le redoutable effet secondaire en fixant des yeux notre mari qui
ne savais plus où se mettre. De plus il fut vite amené par son
épouse pour avouer son approbation de l'emploi du martinet sur sa
personne.
Mieux vaut
avouer mes rendez-vous avec martinet que mes séances de massage,
avait-il pensé pour se rassurer. Et le
pense encore ce jour-là pendant que son épouse crée...
...de
saines conditions pour sa punition.
Ainsi subira-t-il plus tard sa
claquante sanction sans vils écarts de comportement. Ses fesses
tendues, prêtes à endosser une discipline quasi maternelle, il
commencera très vite à transpirer sous l'effet des lanières du
martinet. L'oreille tendue aussi, pour détecter le moindre
sifflement du cuir, il ne lui échappera pas la respiration haletante
de son épouse. Et il donnerait beaucoup pour pouvoir lui passer sa
main sous sa jupe pour
… vérifier,
si elle aussi ne se rend pas coupable de réactions indécentes de
son corps.
Malheureusement le moment est mal
choisi. Les yeux droit devant, il faut d'abord payer le prix de son
insolence ! Se jurant de ne plus contrarier son épouse
inutilement. Cependant il sait que le soir venu, Madame va montrer un
entrain particulier pour les caresses conjugaux. Pour une fulgurante
finale avec lui en position par dessus. Obligatoirement, vu le piteux
état de ses fesses...
La suite, la suite!
RépondreSupprimer(Madame me dit que l'état des fesses est justement une raison pour passer en dessous...)
Le rôle "honteux" du préservatif me rappelle certains épisodes où madame m'avait prodigué un soulagement manuel en voulant éviter de faire des saletés ("je vais te faire dormir"). Toutefois, dans notre couple, il a aussi un rôle honteux pour madame... peut-être le devinerez-vous?
Enfin cher Monsieur Pecan, parleriez-vous de ce qui est dans la nature de la dame?
RépondreSupprimerMerci pour votre enthousiasme pour mon récit. Un autre est prévu, mais je ne sais pas encore pour quand. Il aura pour sujet le plus grand besoin de discipline des garçons à rapport des filles...
Oh, la réponse est simple: le préservatif sert quand le réconfort par les voies habituelles est précédé d'un peu de discipline par les voies inhabituelles; il suffit de l'ôter entre les deux.
RépondreSupprimerMalgré l'habitude madame trouve embarrassante cette entrée, pire encore quand c''est elle qui la demande.
Je trouve vos habitudes exemplaires cher Monsieur Pecan. Je ne parle pas sur un niveau propre/sale, mais tout simplement d'un respect pour la santé de la partenaire. Quand je pense qu'il existe bien de messieurs qui deux jours après une rencontre souhaitent abandonner toute forme de précaution, je n'essaye même pas à imaginer ce qu'ils donneraient en couple...
RépondreSupprimerPar contre chez nous la « contraception naturelle » reste une finalité. Donc pas besoin de préservatif...
Je pense que nous n'aurions jamais pu être suffisamment disciplinés pour la contraception "naturelle"... déjà que madame, lorsqu'elle prenait la "pilule", oubliait de faire renouveler ses prescriptions etc.
SupprimerC'était d'ailleurs une autre raison des préservatifs: pallier les oublis de madame, qui est une grande distraite!
Chère Isabelle, j'ai bien sûr à cœur la santé et le bien-être de mon épouse. D'ailleurs, nos "jeux de docteur", s'ils sont parfois totalement "gratuits", servent aussi une fonction réelle.
SupprimerQuant à la propreté, c'est aussi un simple respect envers la partenaire. Et puis, vous savez ce qui arrive chez nous de très embarrassant et "régressif" à la grande fille ou au grand garçon mal lavé...
Disons que la "contraception naturelle" reste tout de même une pratique rare chez nous. Sorte de plaisir que mon homme affirme son virilité dans le sens de "pouvoir faire", de prendre "les décisions vraiment importantes". Nous sommes plutôt sucette et léchouilles...
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