lundi 29 décembre 2014

629 Une fessée qui m'évoque le sucre d'orge (Lundi cinéma)

Se sentir redevenir adolescente...


Je craque pour la jolie culotte de la petite dame et ses superbes guêtres. Si, si j'ai parfois des goûts surprenants. Inutile de dire que j'aime aussi les fessées rien que pour le plaisir du monsieur de taper sur le derrière de la dame. Surtout quand je me retrouve en fin de séance assise sur les genoux de mon chéri pour qu'il me murmure de mots tendres dans mon oreille.

Il y a deux semaines, pendant que notre petite était à l'école, j'ai surpris mon chéri en train de faire des essayages. La panoplie complète du parfait père Noël. Fausse barbe y compris. J'étais tout de suite sous le charme, me rappelant d'abord les pères Noëls de centres commerciaux quand j' étais toute petite. Joyeux souvenirs d'une enfance dans une région qui bichonne ses traditions. Puis mes pensées furent orientées vers l'important changement qui s'était produit quelques années plus tard, tournant autour de la même phrase que venait prononcer mon chéri :

Tu as été sage cette année, isabelle ?

Il a su adopter une grave voix de circonstances, très crédible. Une voix qui m'a procuré aussitôt des frissons et qui m'a fait...

...retourner en adolescence.

Expression bien évocatrice, mais qui reste tout de même vague. Voyons un peu son non-dit. Pour moi, elle se rapporte à un moment quand les plaisirs liés à la différence biologique entre hommes et femmes relèvent encore d'un futur qui commence à se dessiner avec insistance dans les rêveries diurnes et nocturnes. En ignorant comment les choses se passent vraiment entre adultes, se dresse devant bien de filles l'appréhension « d'accueillir correctement » le prince charmant. C'est un âge de la niaiserie entre copines par excellence et des fou-rires qui semblent sans queue ni tête pour notre entourage. Bref, que ne ferait-on pas pour gérer une situation imaginée plus ou moins stressante ?

Et une fois devant l'ultime épreuve, il est ô combien plus simple et surtout déstressant de recourir aux sucettes au goût fruité, grâce à un vaste gamme de préservatifs. Certes, en ce domaine aussi une bonne technique doit s'apprendre. Enfin, il faut surtout comprendre que chaque prince charmant a sa propre conception de la « gâterie» et il s'agit en fait d'adopter une belle interactivité selon ses réactions . Pour cela il faut de l’entraînement et ne pas avoir peur de rater sa prestation. Mais bon, c'est tout de même une expérience édifiant de tenir la « source de la vie » d'une charmant jeune homme entre ses lèvres et dents. Disons que l'idée de cette pratique mes faisait beaucoup rire, de manière assez hystérique à chaque fois que j'entendais un mot ou une expression se rapportant de loin ou de près à la sucette. Et les choses ne se sont pas arrangées en connaissant la matière de l'expérience personnelle. Je crois que j'aurais apprécié à l'époque non seulement d'être grondée pour un tel acte, mais aussi de me retrouver déculottée pour recevoir...

.une solide fessée, censée de me ramener sur le bon chemin.
Encore un non-dit, dans le sens non pas parce que je le trouve la sucette moralement répréhensible, mais parce qu'elle exprime pour moi une certaine lâcheté d'aller plus loin qui m'est propre et qui a une manière particulière de se manifester. Pas uniquement sur le terrain de coquinerie humaine.

T'es lente isabelle, mais lente...

Bon, pour ma part je dirais que je suis réfléchie, prudente, choisissant le bon moment. Stratégie fort payante d'ailleurs qui m'a épargné pas mal de déceptions je pense. Bref j'ai rarement regretté ma lenteur. Et je pars du principe qu'un monsieur ne me laissant pas le temps de me décider, n'est pas une perte. Enfin, il y a des limites, surtout quand on vit en couple ( style : Tu te décides isabelle, on a encore d'autres choses à faire...) Alors fidèle à mon habitude, j'ai hésité de répondre à la question si j'avais été sage cette année. Mais je crois que mon chéri n'attendait pas de réponse.

Pour essayer dignement son costume de père Noël, il m'a troussée et allongée sur ses genoux.

Il est parti doucement, une fessée toute en tendresse pour augmenter petit à petit en volume. J'ai bien senti - au travers de son pantalon - à quel point ce travail était en train de l'inspirer. Je pense que pour bien de messieurs bichonnant ce fantasme, rien de plus déstressant que de s'adonner à cœur joie à cette passion qui comble autant le nerveux que entreprenant qui a besoin d'occuper ses mains.

Et moi je trouve un comble de virilité quand mon homme me fait danser sur ses genoux, surtout quand il s'agit de me … punir !

Notons également la joie de nos messieurs quand nous, nous extasions devant le résultat de notre présence. Quand nous salivons de prendre leur virilité dans notre bouche. Quand nous nous prosternons sagement pour que le monsieur nous montre qu'aucun de nos orifices résiste à son pouvoir de pénétration. Ô comme les chose ont changées depuis mon adolescence.

L'appréhension a fait place à une attente joyeuse.

Comme celle du père Noël quand j'étais gamine. Et une fois relâchée, mes fesses bien rouges, j'ai remercié dignement – à genou entre ses jambes- le papa Noël pour sa dévotion tout au long de l'année pour cette noble cause qui est mon éducation. Toutefois, il y avait une autre différence de taille avec mes premières expériences de jadis :

Pas besoin de préservatif !

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