Se
sentir redevenir adolescente...
...c'est possible une fois la culotte baissée (petit
clip)
Je craque pour la
jolie culotte de la petite dame et ses superbes guêtres. Si, si j'ai
parfois des goûts surprenants. Inutile de dire que j'aime aussi les
fessées rien que pour le plaisir du monsieur de taper sur le
derrière de la dame. Surtout quand je me retrouve en fin de séance
assise sur les genoux de mon chéri pour qu'il me murmure de mots
tendres dans mon oreille.
Il y a deux
semaines, pendant que notre petite était à l'école, j'ai surpris
mon chéri en train de faire des essayages. La panoplie complète du
parfait père Noël. Fausse barbe y compris. J'étais tout de suite
sous le charme, me rappelant d'abord les pères Noëls de centres
commerciaux quand j' étais toute petite. Joyeux souvenirs d'une
enfance dans une région qui bichonne ses traditions. Puis mes
pensées furent orientées vers l'important changement qui s'était
produit quelques années plus tard, tournant autour de la même
phrase que venait prononcer mon chéri :
Tu
as été sage cette année, isabelle ?
Il a su adopter une grave voix de
circonstances, très crédible. Une voix qui m'a procuré aussitôt
des frissons et qui m'a fait...
...retourner
en adolescence.
Expression bien évocatrice, mais qui
reste tout de même vague. Voyons un peu son non-dit. Pour moi, elle
se rapporte à un moment quand les plaisirs liés à la différence
biologique entre hommes et femmes relèvent encore d'un futur qui
commence à se dessiner avec insistance dans les rêveries diurnes et
nocturnes. En ignorant comment les choses se passent vraiment entre
adultes, se dresse devant bien de filles l'appréhension «
d'accueillir correctement » le prince charmant. C'est un âge de la
niaiserie entre copines par excellence et des fou-rires qui semblent
sans queue ni tête pour notre entourage. Bref, que ne ferait-on pas
pour gérer une situation imaginée plus ou moins stressante ?
Et une fois devant l'ultime épreuve,
il est ô combien plus simple et surtout déstressant de recourir aux
sucettes au goût fruité, grâce à un vaste gamme de préservatifs.
Certes, en ce domaine aussi une bonne technique doit s'apprendre.
Enfin, il faut surtout comprendre que chaque prince charmant a sa
propre conception de la « gâterie» et il s'agit en fait
d'adopter une belle interactivité selon ses réactions . Pour
cela il faut de l’entraînement et ne pas avoir peur de rater sa
prestation. Mais bon, c'est tout de même une expérience édifiant
de tenir la « source de la vie » d'une charmant jeune
homme entre ses lèvres et dents. Disons que l'idée de cette
pratique mes faisait beaucoup rire, de manière assez hystérique à
chaque fois que j'entendais un mot ou une expression se rapportant de
loin ou de près à la sucette. Et les choses ne se sont pas
arrangées en connaissant la matière de l'expérience personnelle.
Je crois que j'aurais apprécié à l'époque non seulement d'être
grondée pour un tel acte, mais aussi de me retrouver déculottée
pour recevoir...
….une
solide fessée, censée de me ramener sur le bon chemin.
Encore un non-dit, dans le sens non pas
parce que je le trouve la sucette moralement répréhensible, mais
parce qu'elle exprime pour moi une certaine lâcheté d'aller plus
loin qui m'est propre et qui a une manière particulière de se
manifester. Pas uniquement sur le terrain de coquinerie humaine.
T'es lente
isabelle, mais lente...
Bon, pour ma part je dirais que je suis
réfléchie, prudente, choisissant le bon moment. Stratégie fort
payante d'ailleurs qui m'a épargné pas mal de déceptions je pense.
Bref j'ai rarement regretté ma lenteur. Et je pars du principe qu'un
monsieur ne me laissant pas le temps de me décider, n'est pas une
perte. Enfin, il y a des limites, surtout quand on vit en couple (
style : Tu te décides isabelle, on a
encore d'autres choses à faire...) Alors fidèle à mon
habitude, j'ai hésité de répondre à la question si j'avais été
sage cette année. Mais je crois que mon chéri n'attendait pas de
réponse.
Pour
essayer dignement son costume de père Noël, il m'a troussée et
allongée sur ses genoux.
Il est parti doucement, une fessée
toute en tendresse pour augmenter petit à petit en volume. J'ai bien
senti - au travers de son pantalon - à quel point ce travail était
en train de l'inspirer. Je pense que pour bien de messieurs
bichonnant ce fantasme, rien de plus déstressant que de s'adonner à
cœur joie à cette passion qui comble autant le nerveux que
entreprenant qui a besoin d'occuper ses mains.
Et
moi je trouve un comble de virilité quand mon homme me fait danser
sur ses genoux, surtout quand il s'agit de me … punir !
Notons également la joie de nos
messieurs quand nous, nous extasions devant le résultat de notre
présence. Quand nous salivons de prendre leur virilité dans notre
bouche. Quand nous nous prosternons sagement pour que le monsieur
nous montre qu'aucun de nos orifices résiste à son pouvoir de
pénétration. Ô comme les chose ont changées depuis mon
adolescence.
L'appréhension
a fait place à une attente joyeuse.
Comme celle du père Noël quand
j'étais gamine. Et une fois relâchée, mes fesses bien rouges, j'ai
remercié dignement – à genou entre ses jambes- le papa Noël pour
sa dévotion tout au long de l'année pour cette noble cause qui est
mon éducation. Toutefois, il y avait une autre différence de taille
avec mes premières expériences de jadis :
Pas
besoin de préservatif !
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