lundi 20 juillet 2015

741 Le fesseur métronome

Non, il n'est pas une légende urbaine, il existe vraiment !

En voici la preuve sous forme de clip. Non pas sans manquer d'humour quant à la mise en scène qui culmine par un regard sur une horloge comtoise qui impose visiblement la cadence du monsieur. Puis un intérieur très soigné avec canapé et fauteuil chesterfield, bibliothèques, bureau avec livres anciens et une porte capitonnée. Ben oui, le genre d'endroit qui conviendrait à mon chéri ou à mon papa. Mais bien évidement je préfère leurs bureaux respectif. Et toujours de ma part ce frisson qui me traverse le corps quand mon chéri, martinet à l'appui ou non, me convoque.

Dans mon bureau, isabelle !

Parfois il sait prendre un air pesant, d'autres fois il n'hésite pas de se moquer ouvertement de mon égarement.

Il fallait y réfléchir avant jeune dame !

Ben oui, c'est parfois plus facile à dire que de le faire. En fait ce qui est demandé c'est une bonne gestion de mes pulsions. Non, je ne suis pas une inconsidérée de la carte bleue. Il est rare aussi que j'oublie ce que je souhaite faire. J'entends par-là par exemple que aime accomplir ma participation au ménage, que je fasse ma gym à l'heure prévue et que je me consacre à mon blog dans mes heures perdues. En gros je suis plutôt une fille sage de nature. Ce qui me fait défaut souvent, c'est la perte de mon calme. Vive et spontanée, je me manifeste quand quelque chose me dérange. Et ceci en m'emportant vite.

Calme-toi, isabelle et te donne pas en spectacle devant tout le monde !

On n'a compris, ce n'est pas le fait que je ne me laisse pas faire qui dérange mon chéri , mais ma manière de m'y prendre. Parfois très caricaturale et par conséquence source d'amusement pour un public parfois involontaire. Et notons que cela me fait bien bien fou de faire ma petite scène.

Une fois au retour dans la voiture, je vois mon chéri radieux. Comblé, car à la maison il peut sortir le martinet en se tenant strictement à notre discipline domestique convenue. Pas d’entre-loupe de sa part, pas de construction vicieuse pour me piéger. Oh, non ce n'est pas dans ses habitudes. Avec le temps je n'essaye plus de me trouver des excuses. A vrai dire, je ne suis pas fière de moi et ce n'est pas une vaine expression.
De plus savoir ce qui m'attend n'est pas vraiment réjouissant, malgré que j'aie la peau des fesses dure. Je me sens comme une ado, prise en flagrant délit. Et peu importe ma tenue, tailleur ou décontractée...

quelque part en moi rigole la vilaine fille.

Je veux dire celle qui se moque éperdument de mes malheurs et qui trouve que je mérite mes corrections à juste titre. Celle qui sait très bien que sous mes allures quelque peu repenties et malgré mes sincères regrets pour ce qui s'est passé, il y a ce titillement dans mon string. Cette étrange excitation, mi-sexuelle, mi-névrotique que le séduisant monsieur à mes côtés, mon chéri quoi, m'invite à m’installer sur ses genoux, mon fessier préalablement dénudée pour mettre les pendules à l'heure. Hélas mon chéri ne badine pas avec la discipline et comme il lisait dans mes pensées il n'hésite pas de me prévenir.

Pas de fessée à la papa, isabelle, les grandes filles comme toi ont besoin d'un solide martinet pour expier leur mauvaises habitudes...

Certes, je suis un peu déçue de ne pas récolter ma claquante fessée super sexy. Mais je préfère encore le martinet à un fesseur métronome à l'esprit aussi rigide que le mouvement de son bras...

4 commentaires:

  1. Je vous trouve bien sévère avec ce monsieur qui me semble pas si mécanique dans sa façon de corriger cette jeune dame : ce n'est pas une fesse aprés l'autre de façon monotone, mais souvent plusieurs claques sur une rondeur (ce qui est d'autant plus cuisant !) ou une claque sur les deux fesses à la fois (ce que j'aime bien donner même si ma main n'est pas aussi grande que je le voudrais pour cela ). Certes, il tape fort, mais mesdames, parfois nous devons ainsi en user avec vous... Et j'aime bien quand le gros plan sur les mollets et pieds frémissants de cette dame nous donne une idée de ce qu'elle ressent. Un seul reproche : pourquoi ne l'a-t-il pas déculottée ? Une fessée se donne cul nu, enfin !

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    1. Comme vous cher Vincent je trouve qu'il manque le déculottage. Mais bon, vous avez vu ma façon de regarder les clips. Je me perds vite dans le décors, c'est le cas de le dire et comme beaucoup de dames, je suis assez distraite envers une action qui se passe sur le derrière d'une autre dame. Et bien entendu, je pars du principe que la meilleure cuisine, c'est celle à la maison. Ajoutons là dessus ma mauvaise langue qui me joue très souvent de très mauvais tours. Ajoutons également que je n'ai rien contre claques fortes. De toute façon je pars du principe que les fessier féminin est bien conçu pour résister à la main d'un monsieur. Ceci dit, j'aime l'ambiance feutrée et intimiste de ce clip. Et là tout le mérite revient au monsieur...

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  2. Avec la main ou un instrument comme la brosse ou une sorte de "paddle", il nous est arrivé que la fessée soit très métronome: un coup à gauche, un coup à droite, un coup à gauche, un coup à droite... Il y a sans doute chez l'humain une facilité répandue à se mettre en rythme régulier!

    Avec le martinet, c'est moins le cas.

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    1. Chaque martinet cher monsieur Pecan possède son propre caractère. D'où l'importance d'un choix judicieux. Je me souviens de passer beaucoup de temps pour en choisir un au supermarché, tandis que mon homme se sentais vite mal à l'aise ce cas quand je traînait trop...

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