jeudi 31 décembre 2015

813 Punition en groupe

Petit fantaisie « perverse » qui ne cesse de m'émerveiller !

J'imagine une jolie scène entre filles et une fessée qui se passe de manière de plus naturelle : Entre la main de celle qui applique et la peau des fesses de celle qui reçoit.

Claquante, avez-vous dit claquante ? Et en cadence s'il vous plaît.

J'imagine une dame qui supervise. Avec une baguette entre ses mains qui sert plus à impressionner qu'à corriger. Insigne d’autorité. Ce qui rend la mise en scène plus propice à l’imagination féminine (à mon sens), la dame n’est pas déguisée en dominatrice improvisée qui affiche un mélange de chair et de cuir. Elle reste agréablement élégante sans manquer une bonne touche de sexy. Dans cette petite histoire chacune peut trouver son compte, son modèle d’identification. Pas de surcharge en sous-vêtements non plus. Juste un petit échantillon autour de la nudité revalorisée de certaines parties du corps féminin.

Une des fessées se passe sur une culotte. Pourquoi les autres filles attendent-elles les fesses dénudées ? Y a-t-il une hiérarchie entre les punies ? Panoplie complète d’éléments de rêveries de jeunes filles/femmes qui se découvrent avec un fantasme de fessée. Dans des variantes qui excluent (encore!) les hommes.

Puis pensée audacieuse et honteuse à la fois. Et si cela se passait devant le fiancé ou devant le monsieur qu’on aime secrètement. Qu’il regarde par le trou de la serrure, par la fenêtre, qu’il soit dans la pièce pour une raison ou une autre. Peu importe. Subitement, il est là et regarde. C’est lui qui pimente la situation. Frisson de l’impudeur imposée devant autrui. Devoir montrer ce qui ne doit pas être montré devant tout le monde.

Déplaisir de la fessée qui fait sacrement mal. Ne pas fondre en larmes pour garder la face. Garder sa fierté dans un contexte qui n’a rien pour être fière de soi.

Et l'acceptation ?
Acceptation de quoi ? De sa punition, de son fantasme, de ce que l’anatomie féminine implique tout simplement.

Subitement une petite peur. Que vise-t-elle ? La douleur dans les fesses, la canne dans la main de celle qui commande, les instruments étranges qui attendent ?

Comme si la peur féminine se résumait au folklore, aux détails. Il n’y a pas plus concret qu’une femme. La peur se localise, elle peut se personnifier, elle peut se rapporter à une situation spécifique, elle peut ce déplacer sur ce qui semble anodin pour autrui.

Mais aussi, elle est convertible en libido quand les circonstances sont propices.

La thématique du groupe permet l’expression des fantasmes les plus divers. Il y a toujours un autre fil à broder...

...pour finir en beauté cette année qui va se terminer en quelques heures, voici une autre rétrospective du "Lundi cinéma"!


Devant témoins moqueurs (environ 8min)

De chaudes larmes (environ 1min30)



La prof sévère (environ 15min)

Un vrai film vintage de fessée (environ 56 minutes)

Le fesseur métronome (environ 2min 30)



Du très claquant et solide (environ 2min 20)

2 commentaires:

  1. Très bonne année à toi, Isabelle, perchée sur tes talons hauts ou pieds nus ;)

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  2. Une belle et heureuse année à toi aussi, Ellie. La fin d'année c'est le moment par excellence pour les hauts talons...

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