vendredi 30 mai 2014

524 Liens de discipline domestique (116 ème édition)

J'adore me confesser


Bien que je pense que rien ne donne meilleur résultat que de se présenter toute nue à sa confession, je ne suis pas favorable à l'exhibitionnisme sauvage. Le culte d'autrui se respecte. Alors je dirais que cette dame mériterait un bonne fessée. C'est d'ailleurs une de mes phrases fétiches et il arrive assez souvent quand je fais des courses avec mon homme que je trouve que cette vendeuse, caissière, cliente mériterait bien une belle déculottée. Évidement cela reste strictement entre nous et loin de moi menacer une autre dame de lui envoyer mon homme pour la corriger, si elle n’arrête pas de m'embêter. Bon, on voit tout de suite la (sale) gamine en moi, celle qui a grandi avec deux grands frères à sa disposition, à son service, à son secours. Modification de mon cris de cœur d'enfance :

Je vais le dire à mon grand frère

Certes, je ne suis pas nue en écrivant ces phrases, mais s'exprime comme un peu partout sur mon blog cette tendance d'avouer mes grands et petits écarts. Et pas besoin d'être un spécialiste d'âme pour comprendre que la compulsion d'aveu et le besoin de punition forment un joli couple. S'ajoute également parfois le sentiment de culpabilité chez moi, mais ce n'est pas du tout systématique. Il en va de soi qu'à la maison j'ai consigne de rapporter aussitôt mes petites bêtises. Comme un lavabo ou la baignoire bouchée par mes cheveux. Enfin, depuis que je porte à nouveau du super court le problème ne se pose plus. Ouf, merci la coiffeuse.

Il est quelque peu étrange, étant adulte et ayant rapporté un méfait, de se faire conduire sur le lieu du crime si j'ose dire. Pour ensuite se faire déculotter et recevoir une très sonore correction au beau milieu de la salle de bain. Monsieur laisse libre cours à son énervement, car après ma fessée, moi je vais (tranquillement) au coin, tandis que lui il va démonter la tuyauterie. Il a horreur de la plomberie. Heureusement je ne suis pas une maniaque de la carte bleue, des amandes pour mauvais stationnement, de la peinture rayée de la voiture etc. En gros je suis plutôt sage et mes dégâts sont plutôt des négligences à la maison : une casserole cramée, le lait qui déborde, le fer à repasser qui commence à fumer, car oublié sur la table à repasser, car le téléphone a sonné. Et a chaque fois, mon chérie s’éclate sur mon derrière qui chauffe également pour sa part. Notons aussi mes petits pèches mignons, la gourmandise. Je résiste (sans mérite d'ailleurs ; je n'aime pas cela) aux sucreries et aux chocolats. Par contre comme les souris la bonne odeur d'un petit maroilles ou chaumes bien fait va m'attirer forcement et je grignote, grignote et sans que je m'en aperçoive, adieu un de mes éternels régimes. Et si la disparition subite et entière de mes fromages favoris s'accompagne d'une sanction particulièrement sévère, il serait erroné de voir dans mon homme un terrible pater familias qui insiste sur une taille mannequin de sa dame. Loin de là. En fait, il en a marre que moi je vais me lamenter après toute la soirée de mon régime gâché. Voila pourquoi il préfère sortir le martinet dès la découverte de mon méfait. Ce qui ne m’empêche pas de récidiver un jour ou un autre.


J'essaye de me mettre dans cette situation que je ne connais pas et qui ne m'inspire pas non plus de masses. Toutefois j'adore le joli résultat de ce double dames. Je pense que je serais très mauvaise joueuse au cas où ma partenaire taperait un peu trop fort. Cela ne restera certainement pas un jeu et une sérieuse querelle se désignera vite à l'horizon.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


















jeudi 29 mai 2014

523 Les vertus de la fessée en pleine nature 2


(Une petite fiction, car je suis une fille très sage)

Expier ses péchés par une claquante fessée

C'est tout un programme. Car n'importe qui avec des oreilles en bon état de fonctionnement se doute qu'il s'agisse bien de cela. Même n'ayant jamais assisté à ce genre de réjouissance, enfin réjouissance pour le spectateur et la personne qui applique essentiellement en cas de véritable correction. Après, tout dépend du spectateur comment il assimile cette « information ». Il y a les passionnés comme moi qui vont essayer de se mettre dans la situation. Notamment quand elle fait partie d'un vécu antérieur et s'associe par ce fait spontanément aux souvenirs. Et l'idée que l'on puisse se faire surprendre en pleine action ne manque pas de charme, du moins dans mes rêveries.

A nous deux, isabelle !

D'abord cet agréable effet de fraîcheur quand on se fait baisser le jeans en pleine forêt. Monsieur confortablement assis sur un tronc d'arbre, sur un tas de bois, sur un rocher, sur une murette. Et moi contrite ou joueuse devant lui, selon ce qui va m'arriver. Il y a en fait deux personnes en moi :

Celle qui va se faire corriger pour de bon et qui ne fait pas du tout la fière. Car rappelons le, la fessée punitive n'a rien d'érotique pour moi et me faire chauffer copieusement le siège pour mes comportements « inadmissibles », m'évoque un sentiment de fille mal éduquée qui a besoin de sa piqûre de rappel.

T'as pas honte, isabelle ?

Si, j'ai honte des mes écarts et loin de moi de trouver ma punition injustifiée. Puis je sais que j'ai besoin d'elle pour me sentir réhabilitée à nouveau, libérée de cette stressante tension intérieure et remplie d’énergie et de bonnes résolutions pour faire de sérieux efforts sur moi. Bref, chez nous, cela marche à l'ancienne et je serais malheureuse avec un homme qui ne saurais pas sortir le martinet quand mon comportement l'impose.

Puis celle qui est pur produit de la libération féminine. Celle qui est sans complexes, joueuse, coquine, provocante. Elle s'en moquer éperdument de montrer ses fesses en pleine foret au promeneur bienveillant. Et qui - malgré ses fesses toutes rouges et une position allongée sur les genoux de son homme – ne se privera pas de tirer sa langue si le regard indiscret devient trop insistant.

Bon, nous ne sommes pas encore là. Mais à chaque fessée à venir, j'ai tendance à me projeter dans le futur, celui qui concerne le moment... après. Alors, hors de question, ne serait-ce que timidement, de critiquer l'endroit choisi par mon homme. Émettre le soupçon que quelqu'un puisse nous surprendre ou observer de loin et en toute discrétion. Je fais confiance à mon homme. Confiante, je me remet entre ces mains. normalement il sait parfaitement évaluer une situation. Mais bon, personne ne maîtrise le hasard. Sans vouloir le provoquer, je ne suis pas non plus gênée à l'idée que quelqu'un puisse apercevoir mon postérieur. Cela donne à la situation un petit piquant de plus. Notons que je n'ai pas l'autorisation de me reculotter en pleine nature sans que mon chéri le décide. Me flattant de l'excellente éducation que j'aie reçue de sa main, j'attendrais sagement telle que je suis, au cas où... C'est un peu comme pour la pause pipi sur un parking déserté. Cela se fait juste à côté de la voiture, sur la pelouse et il convient que je finisse tranquillement ce que j'ai à faire, même si une voiture arrive à l'improviste. Et je ne peux me reculotter seulement une fois une petite lingette soigneusement passée.

L'hygiène est primordiale, isabelle !

Et à vrai dire, pourquoi une fille n'aurais pas le droit de prendre son temps comme font les garçons. Enfin, retournons dans nos bois. Cette hésitation presque méditative de mon homme devant mon string.

Le baisser ou pas le baisser, that's the question !

mardi 27 mai 2014

522 Les vertus de la fessée en pleine nature 1

(Une petite fiction, car je suis une fille très sage)

Gare à jouer avec le feu !


Je n'essayerai même pas d'imaginer l'état de mes fesses s'il me venait à l'esprit d'allumer un feu en pleine forêt. De plus au beau milieu d'arbres qui livrent une matière inflammable de première ordre comme les pins par exemple. J'aurais beau évoquer pour justifier mon geste une intention d'éloigner éventuels sangliers et ours. Peine perdue. Quand il s'agit d'imprudences, négligences ou incivilités mon chéri reste intraitable. Voila qui fait à mes yeux le charme et surtout le réalisme de sa méthode éducative. Je suis pas mise sur ses genoux uniquement pour mon propre bien, mais aussi comme il aime dire...

...pour le bien d'autrui. Je vais t'apprendre le respect, isabelle.

Bon, ici il s'agit du respect de la nature. Et en plus de la vie d'autrui, en passant. Loin, très loin de moi de me rendre couple d'une telle imprudence. Déjà, je ne saurais pas faire un feu moi-même. Mais parfois, même quand j'ai été sage comme une image, il arrive que Monsieur se découvre une subite envie de... fessée en pleine forêt. On se comprend, cela concerne bel et bien mes fesses et non pas les siens. Et j'adore sa façon si joviale de me communiquer ses envies.

Une solide fessée cul nu te feras du grand bien, isabelle !

En quel honneur ?

Mélangé au bon air, c'est un vrai coup de fouet pour ton métabolisme.

Effectivement, je retiens surtout le coup de fouet évocateur. Ah, comme il sait bien me parler, mon chéri. Comme il sait se montrer attentif à ma santé. C'est plus poétique que:

Depuis deux heures que je vois ton derrière bouger devant mes yeux. Ça me donne des idées.

Des idées qui ont pris forme concrète qui se dessine sous son jeans. J'aime quand qu'il ferme la marche et pour le motiver, je passe un long moment le matin pour me glisser, pousser, tasser … dans un jeans, au moins une taille trop petite. La seconde peau à l'état pur qui ne loupe pas sa cible. Mon chéri n'en peut plus. Je me demande même, comment il a pu tenir presque deux heures entières.

Aurais-je mal fait mes préparatifs ?

Je lui avait même demandé la veille un petit conseil médical. Si je ne devais pas m'appliquer un petit lavement avant de partir pour une journée résolument orientée vers un plein de santé. Voila qui occupe son esprit pendant la nuit. Il est bien connu que certaines dames (névrotiques, mais chut, il ne faut pas le dire) vouent un culte à une propreté irréprochable de cette partie de leur anatomie. Et certaines parmi elles adorent encore plus que ce soit leur conjoint qui office en grand prêtre du culte. Le moment venu, mon homme aime beaucoup se rendre utile et se charge - comme dit un expression populaire – de me passer copieusement la pommade. Enfin de la vaseline quoi. J'adore ce sensuel massage très tôt le matin. Idem l'indispensable petite prise de température - recto, si j'ose dire – pour vérifier si je suis en pleine forme. Puis après le grand ménage du printemps, monsieur aime ajouter une deuxième couche.

Sait-on jamais ce qui peut arriver sur la route !

Étrangement je me doute déjà un peu du risque que j'encours. J'aime me sentir pleinement perverse dès le lever du soleil, luisante et glissante à souhait, explorer mon côté « très vilaine fille ». Alors il ne faut pas se plaindre si cela donne aussi de vilaines idées à mon grand garçon. Mais qui parle de se plaindre dans un tel cas ? La foret pour moi, c'est l'aventure à l'état pur et je serai franchement déçue, si mon homme ne me proposait pas un chemin habituellement peu fréquenté. Certes, purger le corps avant de se rendre à l'air frais est un excellent geste pour la santé, mais loin d'être suffisant pour le bien-être global. Il serait fort fâcheux d'oublier de s'occuper aussi de l'âme. Et rien de mieux qu'une claquante fessée pour purifier une mauvaise conscience de nature diffuse. Châtiment appliqué sous ciel ouvert avec son bruitage si caractéristique qui monte vers les hauteurs pour implorer le pardon de mes petites péchés de la semaine. Ou disons plus réaliste, bruitage qui fait comprendre à n'importe quel promeneur dans un périmètre assez conséquent que la bonne vielle déculotté n'a pas encore perdue son charmes pour certaines personnes en zone montagneuse reculée.

dimanche 25 mai 2014

521 Un fantasme de vraie punition

Une fois corrigée, il reste encore à se...


La honte quoi ! Euh, vraiment ? Ado, il m'arrivait souvent d'être trop lâche pour décommander un rendez-vous avec mes copines ou un prince charmant quand j'étais à la bourre, malgré de longues heures d'effort, pour bien comprendre mes cours. J'étais alors partagée entre deux tendances :

-D'un côté celle qui fait passer sa future carrière avant tout et qui ne démords pas de ses cours avant d'avoir assimilé la leçon. D'une manière assez juste et équilibrée d'ailleurs, proche de la sagesse de Socrate, sorte de sixième sens de bien savoir ce que je ne sais pas, sans tomber dans l'impossible pour vouloir comprendre ce qui n'est pas compréhensible.

-De l'autre côté celle qui se laisse immerger par le mauvais contexte social de l'époque (la dictature du « on » de Heidegger) qui voyait en acte honteux de faire des efforts au détriment de ses loisirs et que l'on travaille dur pour réussir ses études. Et le pire, cela marchait bien avec moi au point de me culpabiliser ou du moins de me mettre très mal à l'aise de passer tant de temps dans mes cours. C'est d'ailleurs (entre autres) pour « ce malaise dans la culture » (et non pas vraiment pour mon penchant pour la fessée) que je me suis lancée très tôt dans une psychanalyse existentialiste.

Pour concilier ces deux tendances, je m'évadai dans mes fantasmes dans lesquels apparaissait une dame chargée de mon éducation qui me défendait strictement ce que moi je n'osais pas me défendre. Sorte de surmoi bienveillant qui impose son non :

Hors de question que tu sortes, isabelle, avant d'avoir fini tes devoirs !

S'opposait à cette brave dame toute une armada de tentateurs et tentatrices, mes pulsions, désirs, envies qui souhaitaient se faire la belle vie au soleil ou dans les bras d'un prince charmant, voire les deux. Et au milieu moi, mon moi qui ne savait plus quoi faire. Car avoir les fesses entre deux chaises veut dire pratiquement des se prendre trop la tête et de perdre sa concentration qu'il faut pour apprendre. Et cela, c'est pas bon.

L'esprit est fort, mais la chair est faible, alors dans mes fantaisies je faisais régulièrement ma petite révolte en face de mon intraitable tutrice. Et dans mes rêveries à la fin je perdais à chaque fois. Mon surmoi, enfin cette dame, ne se laissait pas faire et j'ai dû baisser mon jeans et ma culotte pour une belle déculottée qui remet les idées en place. Surtout en périodes très chargées mes rêveries de corrections étaient à l'ordre du jour. Après ma punition je me voyais bien souvent aller au téléphone pour me décommander. Le tout avec un véritable sentiment jouissif de récolter les fruits de mon éducation si stricte. D'être ramenée sur le droit chemin. Voila ma satisfaction tirée de ma punition:

Mon moi aidé par la correction ose enfin affirmer ses besoins !

Plus tard, étant célibataire, j'ai développé une version institutionnalisée de ce fantasme. Et si mes séances de discipline stricte se passaient entre dames, il y avait avant tout la crainte que ce petite monde bien rodée dégénère sous la main d'un homme dans un grand n'importe quoi de récréation érotique entre adultes. C'est se pencher ma libido sans tenir compte de mon ambition personnelle. Disons quand je suis en colère contre moi et j'attends une vraie correction pour m'apaiser, rien que l'idée que le monsieur puisse détourner l'occasion pour me tripoter me rend hors de moi. Pour bien me comprendre, je n'ai rien contre la fessée au service exclusif de la libido, mais quand il s'agit de satisfaire mon besoin de punition, il vaut mieux ne pas mélanger les registres. Voila la vraie difficulté quand on cherche un partenaire pour réaliser ce qui nous « travaille » fantasmatiquement. Rare sont les messieurs qui savent distinguer entre la version coquine du fantasme et la version purement punitive et surtout qui savent cerner correctement quand la dame demande satisfaction de l'un ou l'autre versant.  

vendredi 23 mai 2014

520 Liens de discipline domestique (115 ème édition)

De la discipline à l'état pur pour moi


Difficile quand je vois de telles photos de cacher mes émotion qui viennent directement de mon adolescence. Je ne me suis pas projetée sous la tutelle de mes parents et malgré ma passion pour la fessée je n'aurais pas accepté une telle discipline de leur part. Pour mes rêveries j'aimais choisir dans mon entourage. L'herbe est plus verte chez les voisins. Déplacement ô combien naturel induit par le complexe d’œdipe qui porte son nom notamment pour sa … complexité! Pendant longtemps j'ai été était dans mes fantaisies élevée par une tutrice appliquant les méthodes à l'ancienne, dans une institution sévère, dans un pensionnat pour jeunes filles rebelles et je me suis même engagée dans un bataillon de parade. Voila plein de souvenirs qui me passent par la tête quand mon homme pointe sur son bureau pour que je reçoive ma discipline : jeans et culotte baissée, cela va de soi. Quant à notre strap, fabriqué par un cordonnier sur mesure pour mes fesses, enfin c'est mon homme qui a fait les calculs nécessaires, il est toujours dans un état impeccable. Car je me fais un plaisir et un honneur de le cirer pour qu'il brille toujours comme au premier jour.


Une affaire entre femmes qui ne concerne que les femmes. Et quoi de mieux pour régler ses comptes dans une pièce particulièrement réservée aux femmes : le boudoir. Par ce fait les petits secrets restent bien gardés. Voila deux filles qu'y entrent en se disputant. Puis quelques sonorités très compromettants. On dirait que... Et enfin elles sortent toutes les deux visiblement apaisées. La fessée comme véritable alchimie, car elle provoque de miraculeuses transformations. Comme dit mon homme :

Il faut te voir avant et après pour le croire, isabelle !


« L’effet des verges est très bien représenté ici par les fines stries qui ressemblantes aux griffures. Toutefois manquent les petites blessures mouchetées qui couvrent la fesse droite. On dirait qu'il y ait eu un frottement avec les verges au lieu d’une application sous forme de coups. »

Alors là, je suis essoufflée. La personne qui a écrit ce commentaire devrait s’y connaître sacrément en fessée. Quel coup d’œil !


Là, je parle de moi, car j'adore en été porter les petites jupes et robes avec... un string. Il m'arrive également que je me jette au coup de mon homme comme cette dame. Et subitement je réalise pourquoi certaines personnes, notamment les messieurs nous regardent. Bon, je ne vais pas pour autant changer mon comportement exubérant, ni ma façon de me vêtir. Par contre dans le futur, j’attribuerai moins la curiosité de ces personnes à la libre expression de mes sentiments, mais plutôt à la curiosité de ce qui se cache sous mes jupes et robes.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !











Penchée sur la commode (petite série)







jeudi 22 mai 2014

519 Ces dames qui appliquent une discipline stricte

Avez-vous été sages les garçons ?


Avant de s'installer confortablement dans son rôle d'éducateur pour grandes filles en besoin d'une main ferme, mon homme avait passé pendant son adolescence une phase de recherche personnelle de quel côté du fantasme se poser. Alors parfois quand je lui fais de petites choses qui lui délient la langue, il se met à parler un peu de ces rêveries qui le hantaient sous sa quête. Et là je vois une fois de plus que personne n'aime se vanter de son besoin de punition. Cette impérieuse appétence pour se faire botter le derrière pour de vrai. D'expier une culpabilité, une anxiété, un énervement, un état irritable etc dans un posture peu glorieuse. Sur les genoux d'une dame, la pantalon et le slip baissé, penché sur une table, un dossier de fauteuil ou de canapé. Comme si un tel désir n'était pas conciliable avec la virilité. En réel, bien souvent, c'est un mauvais moment à passer, loin de toute notion érotique et une fois la correction passée se présente un double effet libératoire:

-le bien-être psychologique pour conscience apaisée, stress et angoisse relativisés, pour se sentir pardonné, sécurisé...

-un excitation sexuelle qui se manifeste... de façon spectaculaire chez les garçons. Et je suis sure, spectatrice d'une telle scène, que guetterais avec impatience et grande curiosité cet effet chez un monsieur. Le garde-à-vous aux fesses rouges, tout un poème.

Voila qui montre aisément le lien entre le bienfait de la punition au niveau de la psychologie et l'acte punitif au niveau de la physiologie. Sans trop vouloir entrer dans les détails, j'ai pu même comparer le petit monde voué à la discipline de mon homme avec celui de certains de ces amis. Il en ressort que la dame censée de faire marcher les grands garçons à la baguette et ceci semble un fil rouge dans tous les témoignages, se présente (est représentée plutôt) d'une manière pour le moins que l'on puisse dire... très sexy. C'est d'ailleurs l'attirail sexy qui emporte largement sur les considérations de canons de beauté. Cet aspect qui ne cherche pas la perfection physique, se trouve également chez bien de dames en quête de discipline par un monsieur. Par contre un certain penchant pour une tenue suggestive semble plus rare.

Pour comprendre l'excitation charnelle, la manière dont se déroule la punition me semble éloquente. Un jeune homme sans expérience (au moment au surgissent ces fantasmes) essaye de s'afficher maladroitement devant une dame qui l'inspire par un comportement inapproprié. Celle-ci le contraint à baisser son pantalon et son slip pour s'occuper de ses fesses nues. S'ajoute le fait que cette dame ait reçu un « retouche » par la fantaisie de notre garçon pour la rendre plus attirante encore. J'adore particulièrement ces petits détails d’embellissement. C'est l'imagination masculine sous sa plus belle forme. Et avec mon homme je suis particulièrement gâtée par le grand nombre de tenues qui l'inspirent. Par conséquence, je suis sure qu'il serait fort ému de me voir habillée en maîtresse intransigeante ( et quelque peu délurée) d'école, comme la dame sur la photo. Je crois que c'est justement la petite touche délurée qui rassure non grands garçons et donne des ailles à leur libido.

Seulement, chez nous les choses se passeront dans l'autre sens. Tout compte fait, mon homme préfère corriger les dames aux allures sévères que de se faire corriger lui...

mardi 20 mai 2014

518 Fessée et nudité entre filles 2

(Suite de : Fessée et nudité entre filles 1)

Si la fessée entre filles me tente ?

Un petit regard derrière les coulisses avant de commencer pour vous monter la source qui m'a inspiré ce sujet. Deux magnifiques dessins de Gerhard Ulrich, datant de 1908. Je ne connaissais ni l'auteur (ce qui m'arrive souvent), ni les dessins (ce qui m'arrive rarement).



Pour le plaisir ?

Pas vraiment. A moins que ce soit un petit intermezzo amusant lors d'une fête en famille ou dans une soirée animée entre amis. Du ludique, en faisant semblant, pour apprivoiser un souterrain fantasmatique qui fait peur à certains et certaines. Sinon, sur un point de vue purement récréatif entre deux dames, je pense que c'est mon orientation sexuelle qui m'empêche de voir le plaisir, là où il en a certainement. Car la fessée plaisir, j'aime bien dans certaines situations avec un … homme, mon homme... exclusivement. Quand je l'ai échauffé à ne plus en pouvoir dans un lieux public, dans une soirée entre amis ou en famille. Quand il a besoin de décompresser de mes provocations par une action libératrice. Alors je ne trouve que justice qu'il me baisse mon jeans. Quand on fait beaucoup de route aussi (enfin on le fait plus depuis que nous avons un enfant). J'adore le récompenser pour sa vaillance. Petite sucette ou petite fessée au choix ! Notons que les douces vibrations de la voiture me font toujours un effet terrible. Par conséquence je n'ai rien contre le fait de me pencher, enfin que mon homme me penche (c'est plus viril) sur le capot pour... bon je ne fais de dessin. Nous sommes hors sujet de mon blog.

Pour un joli spectacle avec une copine devant nos hommes ?

J'aime beaucoup le burlesque amateur. Avec de jolis costumes, avec une petite chorégraphie (très difficile de trouver une copine capable d'assurer à ce niveau), avec du chant (là c'est moi qui ai du mal à assurer), avec un petit strip-tease improvisé. Pourquoi pas ? Quand cela ne dégénéré pas sur d'autres activités... libertines. Quand cela reste dans le registre bon enfant. Ceci dit, entre filles l'esprit de compétition se laisse difficilement éviter et il est fort probable que la petite correction burlesque se transforme en règlement de compte en essayant de voir laquelle des deux claque le fort. Et subitement nous sommes dans une belle, vraie querelle entre deux furies aux fesses très rouges, aux joues très rouges aussi et qui crient dans tous les sens. Burlesque, avez-vous dit burlesque ? Fort probable car ces messieurs sont pliés de rire, ce qui augmente encore la colère de ces dames

Pour punir pour de bon ?

Fort probable. Rien que l'idée passe directement de ma tête vers mon entrejambe. Je ne perds pas mon temps pour m'embellir (surtout devant moi-même!) sur ce point de vue. Entre filles j'adore la fessée vengeance, vindicative, coléreuse et j'en passe. Celle qui est purement irrationnelle, politiquement incorrecte et qui se crée à partir d'une situation vécue et mal digérée. Celle qui ne se veut pas du tout érotique, celle qui retrouve ses racines. Et l'idée de passer une éventuelle rivale sur mes genoux me démange parfois sacrément. Que dire de moi ?

Peut-être que je ne suis au fond de moi pas bien méchante.

Car il existe d'autres dames qui souhaiteraient dans pareille situation arracher les yeux, anéantir, détruire. Bref cela ne plaisante pas du tout.

Peut-être c'est pour l'absence de profonde méchanceté que les purs amateurs et amatrices de fessée passent pour des êtres immatures.

Car au fond, il n'y a aucune envie de nuire réellement, mais de donner une leçon, de remettre en place, de rétablir l'autorité, de « s'expliquer ». Voila une fois de plus le registre bon enfant qui me plaît tant.

dimanche 18 mai 2014

517 De fesses rouges juste devant son nez

Restons dans l'actualité pour une fois

La montée des marches avec les fesses toutes rouges, voila qui change du fameux tapis et qui montre que le quart d'heure de gloire n'est pas exclusivement réservé aux grandes vedettes du cinéma. Après avoir inspecté les culottes des filles la semaine dernière, penchons nous aujourd'hui (c'est le cas de le dire) sur la poésie d'un joli derrière féminin, fraîchement châtié et qui gigote juste devant le nez de la personne qui vient d'appliquer cette mesure disciplinaire. Disciplinaire, car dans un scénario récréatif, la suite me semble assez simpliste, du style : ... le prince charmant prit sa princesse par derrière ou par devant ou lui demanda une tearful fellatio et ils furent heureux etc. Disciplinaire donc avec de l'autorité dans la voix :

Allez jeune dame, monte dans ta chambre pour réfléchir comment améliorer ton comportement !

Se présentent alors deux constellations majeures au cas où la personne chargée de veiller sur les bonnes manières est un homme ou une femme. Je pense que l'exemple est assez éloquent pour bien montrer les caractéristiques qui distinguent la conception du fantasme selon le sexe de la personne qui applique. La différence ne se fait pas par une virtuosité de la main, une technique punitive qui fait mouche, mais au niveau du narcissisme de celle qui se fait botter le derrière.

Concernant un monsieur, j'appellerais une telle constellation le triomphe du fantasme masochiste ou plus basiquement la revanche de celle qui vient de s'en prendre une bonne. Car une fois la punition finie, par ses jolies allures rouges, le fessier de la dame exerce une hypnotisante fascination sur bien de messieurs. Le mien n'en fait pas exception et en digne grand garçon, il ne manque pas une occasion pour contempler l’œuvre de ses mains pour en tirer plaisir. On pourrait presque dire, enfin pourquoi presque, là...

... je tiens mon homme par le cul. Mon cul à moi !

Et ce qui au départ était conçu comme une punition, devient subitement source de pouvoir en revalorisant sacrément le narcissisme de dame.

Situation ô combien différente quand on considère ce qui ressemble étrangement à une marche de la honte devant les yeux attentifs d'une dame en charge de l'éducation. Elle vient se faire plaisir, enfin elle a exprimé son agacement de manière frappante, se sentant bien mieux dans sa peau. C'est déjà cela de gagné. Loin de notre monsieur, elle ne se sent pas forcement séduite par ce qui bouge devant ces yeux et la sexy attitude, la symphonie en rouge, la laisse de marbre. De plus elle ne va pas concevoir l'acte sous un aspect de plaisir pour la punie. Étant femme elle sait se glisser facilement et correctement dans la peau de l'autre. Elle sait que la fessée employée énergiquement fait très mal et que la personne qui vient de la recevoir n'a aucune envie de faire la fière. Se prendre une correction à l'âge d'adulte par ses pairs n'est pas un acte revalorisant et le triomphe réservé dans la constellation avec le monsieur n'est pas au rendez-vous. S'affiche donc en toute simplicité, rouge sur blanc, seulement un échec personnel. Par conséquence en plus du derrière, c'est le narcissisme qui lui aussi se prend pour son grade : Une belle gifle quoi. Mais l'échec va encore plus loin. Bien qu'il y ait changement de situation, la punie se trouve maintenant en haut (des escaliers) et celle qui punit en bas, la honte s'accentue encore plus.

Être obligée d'exposer les conséquences de son échec directement devant le nez d'autrui.

De ne pas pouvoir se cacher, car l'escalier permet une vue imprenable au spectateur. De plus, ne pas savoir ce qui se passe dans son dos. Se rendre compte subitement que...

...la honte ne se partage pas de manière équitable !

Toute honte bue pour l'une, tandis que l'autre la boit comme du petit lait.
L'une à perdu la face au profit de son derrière bien rouge et l'autre se laisse aller en toute impunité à la moquerie :

Allez avance, le ridicule n'a jamais tué personne !

Et comprendre par ce fait :

Ce qui rend fou un homme, peut sembler d'un point de vue féminin un comble du ridicule...


J'arrive à ma conclusion : Il semblerait donc que pour bien de dames (moi y compris) que les désirs érotiques ne dirigent pas en exclusivité leur fantasme de fessée. Inutile donc de taper sur son derrière comme une côtelette pour lui procurer de sensation tendres par la force. Mieux vaut s'occuper avec subtilité de l'autre composante du désir, cette tant souhaitée correction d'un narcissisme exhuberant par la... honte et non par l’humiliation. Ce sont plus les mots bien choisis, les intonations et les situations à affronter (escalier, coin etc) que les prouesse techniques de la main qui créent l'effet d'être remise à sa place tant désiré !

vendredi 16 mai 2014

516 Liens de discipline domestique (114 ème édition)

Un peu de coquinerie pseudo-historique


Ce dessin m’évoque la fascinante Cléopâtre VII (celle qui séduisit César et Marc Antoine) que j’associe surtout … à ma Maman qui porte le même surnom dans notre entourage proche. Par ce fait mon homme manque rarement l'occasion de se moquer de moi :

J’ai le privilège de vivre avec la fille de Cléopâtre et en plus j’ai le privilège de la corriger pour ses impertinences.

Car soyons clair, j’ai bel est bien hérité l’impertinence de ma mère. Les dialogues du film, portant le même nom, me paraissent donc de plus crédibles. Mon homme adore ce chef-d’œuvre cinématographique depuis tout petit. Il en connaît même certains dialogues par cœur…comme moi, en VO … ce qui fut une découverte de plus agréable à nos débuts. Ado, il s’imaginait de passer Cléopâtre sur ses genoux. Bien au contraire de Marc Antoine qui pour part se retirait dans un coin pour bouder et se lamenter sur son sort. Et moi pendant cette scène, je pensais, il n’est pas mal du tout ce monsieur (le superbe Richard Burton), mais quel dommage qu’il manque de fermeté avec sa dame.

Je n’ai malheureusement pas pu connaître les cancans autour de la vie amoureuse du couple Taylor/Burton dans la vraie vie, mais j’ai entendu que cela n'a pas manqué de saveur. Je n’en sais rien, si cela allait jusqu'à la fessée, mais des gifles, oui, il y en avait.Un peu comme chez nous et c’est exclusivement moi qui les donnes. Manquerait plus qu'un homme me gifle. Il ne s’agit pas de la provocation coquine de ma part, mais de véritables coups de colère. En ce sens ce qui ensuit me parait donc de plus mérité. Je ne parlerais pas de passion concernant la structure de notre couple. Ni moi, ni mon homme, nous sommes du style de s’enfermer dans un truc trop métaphysique qui prend la tête. Je parlerais plutôt de deux personnes expressives (surtout physiquement et qui aiment le langage du corps), qui ont trouvées un partenaire qui correspond à leur mode de fonctionnement… Quant au petit singe voyeur… non merci !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















jeudi 15 mai 2014

515 Nudité et fessée entre filles 1

Si la fessée entre fille me tente ?

Voyons, pour activer ma circulation sanguine  peut-être ? Voila qui me rappelle mon adolescence et les séances au sauna familial avec mes meilleures copines. Le samedi après-midi, quant il fait dehors moins combien je ne sais pas, en absence de nos parents bien entendu. Pour papoter école, musique, mode et surtout de nos princes charmants. Concernant le texilfrei (zone sans vêtements littéralement), les mœurs en Allemagne sont d'une innocence à toute épreuve. Je pense que c'est encore amplifié pour les jeunes filles, habituées à faire du naturisme depuis toutes petites avec leurs parents pendant les grandes vacances d'été. Car la nudité peut devenir une deuxième peau que l'on vêtit pour le bien-être, pour se sentir vraiment soi-même, de préférence en bonne compagnie. Cette coutume date au moins du moyen âge et elle persiste dans l'expression feucht-fröhlich pour designer une convivialité comme a dû exister dans certains bains publics. Littéralement cela veut dire une ambiance « humide et joyeuse », ayant pris au fil de temps la signification de soirée bien arrosée. Les deux versions se conjuguent d'ailleurs à la merveille quand je pense aux soirées « bien-être » (Wellness de nos jours) de mes parents avec leurs amis. Enfin étant petite j'ai dû me résoudre d'aller au lit. Je ne saurais donc pas raconter ce qui se passa en mon absence...

Il existe en Allemagne des associations pour promouvoir le droit à la nudité et pour le faire inscrire dans le Grundgesetz (droits fondamentaux du citoyen). Concrètement, on trouve dans bien de villes des endroits où l'on peut faire du nudisme en toute impunité, pour se baigner, pour les randonnées à nu, pour un tour de vélo. Et c'est... très, très agréable. Je sais de quoi je parle. Donc rien d'indécent à priori de faire du sauna tout nu dans une maison familiale, un lieu strictement privé qui sécurise par ce fait les jeunes dames en herbe. Il s'agit avant tout de faire du bien à son corps, nettoyer la peau de ses impuretés, garder sa ligne, devenir plus désirable.

Venons à notre sujet qui n'est pas vraiment étrange au lieu et qui s'annonce clairement par la présence d'un fouet de sauna, souvent fait de fraîches branches de boulot. Appliqué sur le corps, cette Birkenpeitsche (fouet de boulot) accéléré la transpiration et la circulation sanguine par ses huiles naturelles.

D'abord un constat perso: il y a celles qui préfèrent le dos pour recevoir le fouet du sauna et d'autres... les fesses. Bien que sur les fesses ce soit considéré comme un peu pervers (personne n'est dupe, ni insensible à ces charmes) et déchaîne par ce fait facilement les fou-rires de petites femmes en devenir. A moins de se convaincre (ou plutôt les autres) que ce dernier endroit reçoit alors un traitement de faveur pour combattre la cellulite. Évidement nous sommes loin des clips sur notre sujet. Cela reste avant tout un gentil amusement. Mais je me souviens plus d'une fois d'être sortie du sauna avec mes fesses toutes rouges. Et mes copines aussi. Pensons aussi à la poésie de devoir poser un postérieur brûlant et fraîchement fouetté sur les dures planches. Ne déduisons pas que ce genre d'amusement entre copine soit une généralité en Allemagne. Je parlerais pour ma part d'un concours de circonstances et du hasard. Notons quand je passe les vacances chez mes parents, il m'arrive encore de me faire un après-midi sauna avec mes copines. C'est un véritable bain de jouvence, comme si le temps c'était arrête. Enfin je suis très myope et sans lunettes je vis dans un monde où tout le monde est beau et gentil. Et bien entendu... nous nous servons de la Birkenpeitsche qui depuis certaines prouesses littéraires a livré matériel pour d’intéressantes discussions entre filles.

Honi soit qui mal y pense

mardi 13 mai 2014

514 Réculottage bis

Tu peux sortir de ton coin, isabelle !

Ouf, enfin. Une fois ma pénitence faite, je peux me rhabiller. Sauf avis contraire de mon homme quand j'ai été particulièrement insolente. Je me penche alors en avant pour donner à Monsieur un dernier aperçu de mon fessier uniformément rouge ou portant les marques dans la même couleur provenant d'un de ces instrument qui font réfléchir les grandes filles. Puis mon derrière disparaît sous ma culotte ou sous mon string. Dans une position impeccable et glamour, mes jambes tendues pour montrer ma souplesse, le tout accompagné d'un mouvement fluide. Se reculotter est un art et pas un grand n'importe quoi ! Même si à vrai dire un string ne cache pas grand chose, voire rien du tout. Dans ces moments je me rend pleinement compte à quel point la mode peut s'approcher du ridicule et prendre les consommatrices pour des cruches. Passons, j'ai échappé belle. Car il est en effet très gênant de devoir attendre l'autorisation pour se reculotter. Ce qui élève la nudité du derrière au rang d'un châtiment à part entière. Alors il m'arrive de murmurer ô combien silencieusement quelque gros mots quand à de rares occasions j'entends la voix de mon chéri dans mon dos:

Je t'ai pas donné l'autorisation de remettre ton string, isabelle !

Autorisation quel superbe mot qui est censé de mettre bien au clair qui commande à la maison. En théorie au moins ! Mon homme n'est pas vraiment un intraitable pater familias dans la sens de la discipline domestique. Mais j'adore quand il se donne de telles allures. Cela me déchaîne une belle réaction ambivalente à l'état pure : Je te haïs et je t'adore à la fois, chaos dans lequel la discipline stricte met de l'ordre et cela n'a pas de prix, enfin un qui se paye sur le derrière. Devant l'autorité de mon chéri j'ai à chaque fois des frissons, provocant le charme d'une chair de poule sur un pubis parfaitement glabre! Mon chéri en est friand. Hélas pour préciser encore un peu plus, je ne puis avoir, concernant mes émois, recours à une expression très en vogue sur les sites P : Mouiller la culotte ! Pour cause, comme indiqué plus haut, je n'ai pas encore eu l'autorisation de la remettre. Mais comme aime remarquer mon homme :

T'as pas que les yeux qui brillent, isabelle ! Un peu d'air frais te feras pas de mal.

Il arrive donc que je passe encore un plus ou moins long moment avec mes fesses en l'air et il convient que je m'occupe ainsi de mes taches ménagères. Soyons clair, là mon homme se fait plaisir. Et moi aussi. Je peux en toute impunité me promener cul nu devant le prince de mon cœur sans que l'on me rappelle que je sois trop grande (hein oui!) pour un tel comportement.

J'adore cet aspect hypocrite de la discipline domestique !

Notons que le rituel de la fessée, de passer d'un postérieur tout blanc (ah l'innocence !) à un postérieur joliment rouge (couleur de la fameuse pomme de la bible qu'Eve tend à Adam) met en scène une allégorie de l’éveil sexuel de la dame et qui affichera par conséquence bien visiblement son nouveau état avec plus ou moins de fierté, confusion, honte... Pas étonnant que devant tant d'attrait pas mal de messieurs ne peuvent résister à la tentation pour tomber dans le péché de la chair. De plus pour certains celui contre nature. Enfin un vrai éducateur, comme mon superman à moi (isabelle, viens par ici) , un qui sort tout droit de manuels anciens reste imperturbable.

Il n'abuse pas au clair de lune de cette luisance supplémentaire qui émane de l'entrejambe de la grande fille.

Il garde le vif émoi qui sème le trouble dans son caleçons pour lui. J'adore particulièrement ce moment quand mon homme manque de place dans son jeans et essaye de se donner un air sérieux en me donnant une longue leçon de morale. Avec cette envie urgente de passer sa main dans son caleçon pour mettre la chose dans la position la plus confortable possible. Là souvent j'ai envie d'éclater de rire. De plus, une fille bien élevée ne garde pas ses yeux rivés sur cet endroit.

Et encore une hypocrisie si mignonne.

Notons que les grands garçons connaissent de belles parades pour se donner un air calme. Comme accompagner le rituel d'une méticulosité à toute épreuve. Comme faire compter les claques une par une, comme annoncer tant de claques à la main, au martinet, au paddle, dans une ordre bien précis par surplus. Cela se passe un peu comme les ruses censées de garder leur choses pleinement opérationnelle en pleine action:

Quelles calculs, quelques respirations profondes et on revient à l'attaque !

Faut aimer le math quoi. Pour ma part j'aime dans l'acte même (là je parle de la fessée à nouveau) surtout une certaine anarchie, ce légendaire effet de « l'amour qui fait boum » cher à Boris Vian. Par contre je suis charmée par un rituel assez rigide qui entoure le passage à l'acte et qui rassure par ce fait. Seulement il est rare que ce rituel insiste sur le réculottage. Je reviens au départ de mon sujet. Voila qui ne change pas de certains messieurs loin de notre passion. Aucun problème pour faire remonter leur main le long de notre jambe, pour se glisser sous la robe ou la jupe, pour baisser la culotte, pour palper, caresser, fouiller, introduire (pour ceux qui sont particulièrement manuels), pencher (la dame entière, on se comprends!) et pour se réjouir des joies de la chair que la nature a généreusement mis à notre disposition. Mais une fois satisfaction obtenue, plus personne pour mettre la culotte à la place. C'est un peu comme la contraception qui reste bien souvent à la charge de la dame... Si ce texte n'est pas bien clair, c'est la faute de mon homme qui m'a fait goûter un excellent cidre rose hier soir.

Tu vas voir tes fesses, isabelle !

Dois-je chercher le martinet chéri ?

dimanche 11 mai 2014

513 Le nez dans les culottes des filles

Un vaste sujet pour certains messieurs ...

... inspiré par un dessin de l'ami Georges.

Quand on considère la quantité de matériel consacré aux culottes des dames, on se rend facilement compte à quel point notre monde de la fessée est petit. Toutefois reste une action magique qui met tout le monde d'accord :

Le déculottage !

On a beau à chercher du côté des dames, difficile de tomber sur des tels efforts pour mettre en valeur analoguement les caleçons et slips des messieurs. Dans notre domaine, les sites qui abordent le déculottage masculin, font en même temps l'éloge de la dame sévère qui sait guider le monsieur avec une main ferme. Qu'elle baisse le slip du monsieur est un détail.... nécessaire. Et bien souvent, il s'agit d'un slip ou caleçon de fortune qui donne pas l'impression d'avoir été choisi pour mettre ne valeur l'anatomie du monsieur. A croire que pour ces dames ne prime que l'aspect punitif. Il en est de même pour moi. Je vois cette punition de manière bienveillante, amoureuse à vrai dire en voulant par cet acte aider le monsieur à corriger ses grands et petits défauts. Surveiller ainsi son comportement à la maison et au niveau du professionnel. Peut-être avec un partenaire susceptible à une telle orientation, je me serais glissée avec une aussi grande facilité dans la DD inversée que dans celle qui règne dans mon couple. Je n'ai pas de regrets. Je suis satisfaite par la façon que se passent les choses chez nous.

Ce qui n'enlève pas ma curiosité. Je ne serais pas dérangée de découvrir une DD inversée chez une mes mes copines. Par exemple quand il s'agit d'un monsieur à qui je trouve un œil un peu trop vagabond. Pour sonder si les petits plis autour de mes chevilles correspondent bel et bien à un paire d’authentiques bas coutures. Ou concernant un monsieur, dont j'ai l'impression de sentir son regard dans mon dos remonter mes jambes pour se glisser sous ma jupe. Ou encore un dont je trouve certaines blagues franchement limite.

Alors là oui, j’adorerais le voir obligé par sa dame de baisser son pantalon et son slip pour être puni par une claquante fessée juste devant mes yeux. Et je ne serais certainement pas avare pour faire l'éloge de cette méthode traditionnelle pour remettre un grand garnement sur les rails. Sans passer sur l'indispensable discussion entre femmes, le mari au coin, slip baissé et fesses rouges bien en vue des dames, tournant autour de la difficulté d'inculquer une discipline sans faille aux grands garçons.

Heureusement que le martinet existe !

Ce type de fantasme date de mon adolescence. Je me glissai avec volupté dans le rôle de la spectatrice. Parfois, pour une plus grande possibilité de satisfaire mon voyeurisme, je m'imaginai dotée du pouvoir de me rendre invisible pour suivre discrètement certains princes charmants chez eux.Pour les observer dans leur intimité. Il y a avait avant tout cette curiosité de savoir ce que font les garçons quand ils se trouvent tous seuls à la maison. Il ne me manquaient pas de pistes, connaissant notamment les lectures de mes grands frères. Mes parents, personnes très ouverts, n'étaient en rien dérangés par ce nombreux matériel, plus ou moins explicite, traînant dans la chambre de mes frères.  

Peut-être en contrecoup de ce comportement, j'ai trouvais particulièrement émoustillant d'imaginer un prince charmant sous la tutelle d'une maman intransigeante ne tolérant pas de tels ouvrages scandaleuses chez elle. Maman énergique, n'hésitant pas de baisser le jeans de son fils pour le corriger bruyamment de ses mains. Ou, parce que s'occuper d'un fessier masculin de cette manière fait très mal à la main, ayant recours à l'utilisation d'un instrument. Dans mes rêveries mon prince charmant se trouvait dans un univers quelque peu ségurien. Caractérisé donc par l’absence du père dont l'autorité est symbolisé par un instrument de punition corporelle que tient la mère et qui n'hésite pas de rappeler son grand ado qu'il y a toujours un martinet à la maison quand son comportement laisse à désirer. Une de mes rêveries favorites concernait mon prince se faire surprendre en plein acte de masturbation. Expression de mon désir d'assister à cet acte que ma jalousie interdisait à mon prétendant. Car j'aimais considérer sa jouissance comme un dû exclusif envers ma petite personne. Et pour que justice soit faite (veut dire pour arriver à ma propre jouissance), il ne faillait plus que la maman outrée pour remettre son fils sur le bon chemin. Évidement dans cette constellation hors famille, pas besoin de déplacement vers une « dame de secours ».

Au contraire, la belle-mère convient à la merveille.

Surtout celles que je connaissais personnellement et que je trouvais « inspirantes » pour peupler mes fantasmes. Il y a avait aussi la fantaisie de me faire surprendre au lit avec mon prince par la belle-mère et de recevoir pour ma part une belle leçon devant mon prince. D'ailleurs j'ai toujours gardée cette affection pour une situation dans laquelle qui suis corrigée par une dame offensée devant mon prince charmant.

Plus tard, étant adulte, surtout par l'entourage de mon homme, j'ai pu enfin écouter ce que les messieurs faisaient tout seul à la maison. Peut-être leur âgé, à partir de la quarantaine à l'époque (par conséquence à partir de la mi-cinquantaine de nos jours), déliait plus facilement les langues. Peut-être aussi le fait que je parle pour ma part de certains de mes fantasmes, désinhibe les messieurs. Alors oui, il y a en a qui dérobaient dans leur jeunesse une culotte de dame pour « s'inspirer ». Pour plonger le nez dedans. Comme un de mes frères avec un important tableau de chasse qui demande à chacune de ses conquêtes une culotte portée en guise de souvenir. Voila qui me semble digne de la tradition du moyen âgé qui préconisait chastement le mouchoir.


Dans mon enfance, le sujet du vol de petites culottes dans les caves communes pour sécher le linge, revenait très souvent sur la table. Comme celui de culottes sales dans les machines à laver, également entreposées dans les parties communes, d'ailleurs. J'ai pu donc à ma guise broder des histoires autour d'un prince charmant pris en flagrant délit de vol de petite culotte. Avec un comble de jouissance quand il s'agissait de la mienne. Bien évidement il fut fessée pour ce méfait, de préférence devant la dame lésée, donc moi ! En gros, sur le fait bien réel de l'attirance de certains hommes en devenir pour les culottes de dames (inaccessibles!), j'ai pu rajouter un univers plein d'interdits avec châtiments à la clef. Notons pour la petite histoire l'érotisme... torride des culottes pour dames en Allemagne de cette époque. Y compris mes « petits bateaux ». Notons aussi que dans mes fantaisies, mes faire une idée précise sur la culotte … du chagrin cause des événements ou plutôt réjouissance à venir, était le cadet de mes préoccupations...  

vendredi 9 mai 2014

512 Liens de discipline domestique (113 ème édition)

Qui a déjà entendu cette phrase ?


Il est bien connu que certains grands garçons ne rangent pas leurs jouets après s'avoir amusé avec. Ils laissent sur place le soutien-gorge dégrafé, la jarretelle décroché et aussi la petite culotte autour des chevilles. Enfin dans notre famille de fantasmes, c'est la culotte. Le soutien-gorge ? Connaissent pas trop ces messieurs ! Il suffit, pour s'en rendre compte, lire un peu les divers récits qui se font à notre sujet. Nos vaillants fesseurs, spankers, éducateurs, joueurs, amants, coach, complices et aussi nos compagnons de vie et maris savent parfaitement nous déculotter, mais aucun semble s’inquiéter si après l'acte consommé la dame ne risque pas prendre froid au derrière par manque de culotte. Certes, une bonne fessée réchauffe sacrement le siège, mais il est également bien connu qu'une fois à chaud, un subite refroidissement fait les plus grands ravages. Mieux vaut se rhabiller avant de reprendre le train train quotidien. Notons que les dames aussi qui relatent leurs expériences (moi y compris), ne parlent pas de ce réculottage.

Comment fabriquer un joli paddle

Contrairement à moi, Constance sait bricoler. Prenons donc bonne note comment elle construit cet hybride entre brosse et paddle. Bon, il manque encore « l'essai sur fesse », mais connaissant Constance et Simon, ils ne vont pas tarder à nous présenter leurs impressions à chaud.

Voila qui me rappelle un bricolage lointain de mon homme. Il avait fait des essais pour créer un martinet avec les avantages d'un paddle en roulant/pliant de morceaux rectangulaires de cuir. Ce qui donne de larges et épaisses lanières, pas trop souples sans être rigides. Vu leur longueur il a suffit d'entourer les dix derniers centimètres du bouquet par une longue bande de cuir, ce qui crée une belle pogné. C'était un instrument très bruyant, très agréable en sauna pour les douces tapes et intense quand on met le paquet pour une punition. Un jour, il s'est malheureusement désagrégé en pleine punition et mon homme l'a mis à la poubelle. Pour ma part je garde un très bon souvenir à cause de la vive brûlure et les très jolies stries qui disparaissent très vite. Prenons un morceau de cuir d'environ 45 sur 10 pour faire une lanière-test. Il suffit de coller le premier plie à 1,5 centimètres environ, puis après séchage de continuer de rouler et de coller après seulement le dernier plie. Voila qui donne un effet coussin. Alternativement pour une sensation forte, il suffit de rouler le cuir autour d'un collier serre câble ce qui donne une certaine rigidité. Mais là à mon goût c'est top. Enfin, moi je ne bricole pas  et mon homme avait procédé à l'époque en improvisant avec ce qui se trouvait à la maison en découpant une de ses veilles vestes en cuir, authentique relique de sa jeunesse dans les années 70 !


J'aurais voulu encore écrire un petit commentaire, mais je me suis souvenue d'un précieux conseil pour nouveau bloggers que j'ai lu il y a très longtemps : Ne jamais passer trop de temps sur un post !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Moi aussi je cri (petit clip)