mercredi 30 septembre 2015

772 Jouer avec le feu...

...comporte certains risques !

Avec d'autres mots, on ne sait jamais comment va réagir un inconnu à un acte de séduction poussé. J'entends le qualificatif inconnu dans son sens biblique, un homme dont on ne sait pas comment il se comporte dans un contexte érotique. Si c'était une rencontre de fortune... je ne me trouverais pas dans pareille situation comme suggère mon illustration. Je suis trop prudente à ce niveau. Je manque autant de spontanéité que de sens d'aventure. Alors s'ajoutait -quand j'étais encore célibataire – à mon « jamais le premier soir », aussi une large restriction « des extras » en début de relation. Bref j'étais et je suis toujours une fille très difficile. Par contre je n'ai aucun mal pour me projeter dans la situation.

Je me verrais bien dans un état variant entre d’anxiété un petit d'émoustillement bien agréable.

Je goûterais au plaisir d'une situation de suspense qui s'intensifie avec la durée de l'attente. (Enfin, il y a des limites... de ma patience.) Puis le suspense est facilement convertible en excitation sexuelle ce qui laisse supposer qu'il s'agit de deux manifestations d'un même processus psychique. A priori cette situation me plaît, mais pas avec un quasi inconnu car mon suspense se draperait trop d'une apparence de réelle crainte. Alors étant une fille plutôt sage, je préfère écouter mon papa :

Méfie-toi des inconnus, isabelle !

En couple ma pensée concernerait moins, voire pas du tout les éventualités de ce qui pourrait m'arriver. J'ai confiance en mon partenaire et je connais ses inpirations. Je jouirai donc pleinement de mon pouvoir d’excitation sur lui. Mais aussi penserais-je:

Quoi de plus rassurant pour un grand garçon que de savoir qu'une dame l'attend ?

Il en a rêvé pendant toute son adolescence. Et s'il porte un si beau costume, l'envie d'impressionner la gent féminine ne lui semble pas étrange. Oui, l'envie et non pas désir ! L'envie c'est vouloir consommer sur place, de préférence tout de suite. Un flot d'idées pas très sages. 

Car quoi de plus inspirant pour un grand garçon que de voir qu'une dame l'attend... toute nue ?


Quoi de plus excitant pour lui que d'imaginer que la dame l'attend en imaginant qu'il fasse avec elle ce qu'il a envie de faire. Voila un superbe rêve de toute puissance dans lequel il contrôle la situation de A à Z. Ben oui, c'est cela le caractéristique d'un grand garçon. Puis, après ce petit tour de la psychologie masculine je pense :

Pas difficile de tenir en haleine certaines hommes.

lundi 28 septembre 2015

771 Avoir peur pour la peau de ses fesses (Lundi cinéma)

Ben oui, la force de frappe n'est pas une prérogative des messieurs !

Madame n'en manque pas non plus en donnant des airs de plus méthodiques à cette fessée... punitive en se fiant aux plaintes de la dame qui subit les conséquence. Je comprend cette dernière, car je ne fais pas partie de celles qui essayent dans pareille situation de garder fière allure. Moi aussi, je préfère évacuer d'une manière sonore la tension dû à la douleur des brûlures. Que ce soit dans la fessée comme dans la vanille, j'aime laisser libre cours à mes émotions, sans retenu. En continue, je précise et non pas calées sur le rythme de la main comme dans ce clip. S'il y a au niveau de l’énergie un air de famille qui s'impose avec mon clip de la semaine dernière, ce n'est pas un hasard. La maison de production est la même. Ajoutons également que la dame qui s'applique me rappelle étrangement « mon fesseur » métronome de cet été. Chronologiquement parlant, ce monsieur semble s'avoir inspiré de l'astucieuse technique.

D'habitude quand je regarde un clip, j'ai l'impression d'assister à la scène, confortablement installée sur mon canapé, comme si l'action se passait dans mon salon. Conflit entre filles, une constellation que j'affectionne particulièrement. L'une copine n'a pas été sage et l'autre se charge de lui inculquer les bonnes manières.

Comme si la fessée avait cours entre adultes, de la manière la plus naturelle.

Je m'y plais dans un rôle de l'odieuse spectatrice, n'étant pas avare de commentaires et en fervente partisane de méthodes traditionnelles au service de grandes filles. Mauvaise langue un peu comme dans la vraie vie quoi. Avec toutefois une grande différence. J'ai une approche moins « conventionnelle » de la fessée punitive. Je la considère comme un moyen efficace d'apaiser certains besoins de punition et non pas comme une méthode pour veiller sur le respect d'une morale peu importe sa nature et orientation.

Un jour, perdue dans mes rêveries disciplinaires, en regardant des clips pour mon blog, je ne me suis pas aperçue que mon chéri était sorti de son bureau pour faire je ne sais pas quoi. Me voyant comme un  lapin hypnotisé qui fait le choix de sa carotte, avec mon air de plus sérieux de la cliente exigeante crainte des commerçants, une main posée sur mes lunettes, il n'a pas pu s’empêcher de rigoler et de me prévenir :

La prochaine ce sera toi, isabelle !

Depuis, quand je regarde un clip particulièrement intense (et non pas insoutenable ; là je zappe !), je pense à ses mots. Aussitôt je perds mon assurance de l'odieuse spectatrice qui en arroser arrosée se voit à son tour menace d'une bonne correction « ex manu » sur son popotin tout nu. Évidement il y a un joli frisson qui se communique, mais disons que dans cet exemple concret j’aurai plutôt peur pour la peau de mes fesses. Donc je me sauve vite pour aujourd'hui !

vendredi 25 septembre 2015

770 Liens de discipline domestique (184 ème édition)

Au menu cette semaine : Du jeu et du sérieux !


Une petite dame qui sait se mettre en valeur. Jusque là rien de particulier. Mais une fois sa séance de beauté finie, elle s'adonne à une séance d’auto-fessée en prétendant que ce soit son prélude à la masturbation. Admettons ! Chacun sa façon de trouver plaisir comme il le souhaite, notamment quand il ne fait rien de mal comme la-dite petite dame. Perso je ne suis pas une adepte de l’auto-fessée, mais un jour en voulant tester la fermeté de mon derrière, je me suis appliquée une bonne claque sonore avant de finir de m'habiller.

J'ai pu ainsi constater l'effet pervers de mon geste !

Ma brûlure s'est vite transformée en agréable sensation de chaleur (on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même!) avant de me procurer des sensations sans la moindre équivoque de nature sexuelle. Et visiblement cela se remarquait. Quand j'ai rejoint mon chéri au lieu de notre rdv, il m'a très vite posée la question fatidique :

Mais qu'est-ce qui t'arrive, isabelle. Tu as l'air toute excitée !


Un post fort intéressant chez Lucie (qui a fait aussi la traductrice pour les passages en anglais) qui ne me laisse pas indifférente. Il me semble qu'une pratique commence à prendre pied quand il y a discussion publique qui la dénonce ou approuve. Mais elle est déjà bien en place quand on commence à écrire des pièces de théâtre pour s'en moquer. Pour ma part, difficile de me prononcer « affectivement » sur la Discipline Domestique Chrétienne. Il me manque un sentiment de religiosité, du divin tout court pour m'y retrouver. Enfin, j'ai lu – il y a bien longtemps - la bible... quasi en entier et je connais par conséquence aussi les passages qui peuvent servir à confirmer une volonté divine à la base de la CDD.

Mais ce n'est pas vraiment la notion du divin qui semble pour moi pousser certaines personnes vers la CDD.

Ni la prétendu culpabilité judéo-chrétienne d'ailleurs. Si on souhaite chercher la culpabilité « originelle » à tout prix, pourquoi ne pas commencer à chercher les source dans le premier monothéisme que nous connaissons, version Akhenaton en Égypte ? Bref pour ma part je crois plutôt (concernant la DD en son sens large) dans un rituel porteur de sens qui s'accorde par la suite avec des idées religieuses qui légitimisent et déculpabilisent les personnes avec un tel penchant. Ceci dit, il est possible aussi, en prenant la démarche de l'autre côte de se servir d'idées religieuses en vu de … manipuler.


Un article qui met en rapport le besoin de punition et le « processus éducatif » pour obtenir de vrais résultats. C'est bien évidement un sujet délicat qui horripile les amateurs de la fessée pur plaisir. Il est rare de trouver en langue française des articles à ce sujet (coucou « les amoureux » vous nous manquez avec vos jeux éducatifs !), même si Monsieur MLK parle d'une punition alternative à la fessée.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





























mercredi 23 septembre 2015

769 Entre douleur et plaisir

Où s’arrête l'un, où commence l'autre ?

Concernant ce sujet je ne trouve rien de plus seyant que ce que décrivait l'écrivain suisse Hermann Hesse dans l'un de ses romans :

Cette difficulté de distinguer entre manifestions de douleur/souffrance et manifestations de plaisir.

Difficulté pour la personne qui observe, je précise et qui la laisse dans un troublant flou sur les sensations que semble vivre par exemple une dame qui reçoit une bonne fessée. Disons-le tout de suite : Ce flou ne devient pas forcement plus clair le jour que l'on décide de passer soi-même à l'acte. En s'installant, les fesses à l'air, sur les genoux d'un monsieur complice, amant, mari ou rencontre de fortune pour essayer d'élucider cette attirance que l'on porte en soi, pour certaines depuis leur enfance. Psychologiquement c'est tout un poème. Un état tendu, d'excitant suspense concernant la douleur que j'aurais sous peu dans mes fesses. Ben oui, loin de moi le « même pas peur »! Même si je sais pertinemment que je ne risque rien concernant d’éventuels débordements d'élan de mon chéri.

Il sait rester dans les limites d'une crédible correction, douloureuse comme il faut, sans abus.

Veut dire, sans se transformer en bourreau, initiateur, gourou, maître, dominateur (ou je ne sais pas quoi encore) de fessier féminin pour explorer les mystérieux terrains désignés par le terme « subspace » dont parlent certains adeptes du BDSM. Pour ceux et celles qui - comme moi - ont du mal à associer quelque chose à cette obscure expression, voici une lien édifiant qui nous explique les arcanes de l'extase masochiste. Personnellement, je ne suis ni susceptible, ni cherchais-je les paradis spirituels, religieux ou « simplement » extatiques dans mes pratiques de fessée.

Ce qui m'importe c'est de me trouver devant la crainte d'une sacrée punition au point de me faire pipi dans la culotte rien que d'y penser !

Façon de parler bien entendu. Bref, même rassurée sur l'absence de risque de toute sorte, car je ne me trouve pas devant une personne inconnue, je ne fais pas la fière quand mon homme décide de s’occuper de mes bonnes manières. Tout simplement parce que je suis douillette et que je n'aime pas la douleur. Je maudis souvent mon besoin de punition qui se calme uniquement en atteignant un certain seuil de douleur. Sans toutefois, comme il arrive dans le masochisme extatique, de demander des doses de plus en plus fortes. J'échappe donc heureusement à l'effet d'escalade « endorphique » qui peut aller très loin. Peut-être parce que psychologiquement le terrain est bien préparé. Une fois mon besoin de punition pleinement satisfait, j'aime bien jouir banalement, façon « papa-maman » dans les prouesses d'une simple vanille... plus tard au lit quand ma sanction est levée. Notons pour l'instant tout simplement que certaines dames friandes d'états anxieux, n'ont pas les mêmes exigeantes envers le monsieur et (par dessus lui) envers la fessée que les dames friandes endorphines.

Une conclusion pragmatique ? La voici !

A croire que le trouble (pour designer un état de confusion excitante) est produit chez certaines dames par la préparation psychologique et trouve sa satisfaction dans une courte et intense fessée avec théâtralité quasi-hysterique. Et là je sais de quoi je parle! Tandis que chez d'autres, l’accent sur la psychologie semble être recherché dans un moindre degré , car la satisfaction se trouve dans le dépassement de certaines limites... épidermiques. Et là je me fie aux témoignages d'autres dames! Par conséquence, essayer de prendre des renseignements auprès de la dame envers quel type de fessée tend son cœur, peut s’avérer fort utile en vu d'un joli résultat... de fessée mémorable ! Voila ! Parfois une petite question permet de se passer de notions biochimiques, ainsi que de connaissances complexes de mécanismes psychiques...

lundi 21 septembre 2015

768 Un monsieur qui ne manque pas de fermeté (Lundi cinéma)

La fessée anthologique existe!

Rien n'est laissé au hasard avec ce monsieur qui prend son temps pour installer correctement la dame sur ses genoux pour pouvoir par la suite déployer une impressionnante force de frappe. On dirait un sportif de haut niveau (ancien marins, les gars ne manque pas de muscles dans ses bras), puissant et infatigable. Avec une belle technique qui séduit autant les yeux que les oreilles C'est d'ailleurs le seul fesseur professionnel dont je connais le nom.

Je pense pour se mettre entre de telles main, il faut aimer le défi.

Et là ce n'est pas du tout mon terrain. Il me manque le goût du risque. Je ne suis pas courageuse quoi ! Et quant aux aventures et aventuriers, je ne suis la bonne adresse. Ce qui m'excite les plus c'est un monsieur qui (outre le pantalon) porte des pantoufles à la maison! Il est difficile de me provoquer verbalement en me lançant un défi. Il est d'ailleurs rare que je daigne même d'y répondre. Déjà enfant c'était moi qui décidait ce que j'allais oser ou pas. Question d'éducation que je vois chez mon enfant qui fait comme moi. Il en va donc de soi que je n’aurais pas tenté les genoux du monsieur du clip. Certes mon homme aussi sait taper très fort, mais cela ne dure chez lui pas aussi longtemps. Et vu que c'est mon chéri...

...je peux me permettre de ne pas faire la fière sur ses genoux et me laisser aller à un flot de larmes quand l'émotion déborde.

On peut associer une fessée à ce que l'on veut. Un acte d'amour, un préliminaire, la guerre des sexes, du sport, une réalisation masochiste, une soumission, un plaisir partagé. Même une punition de plus traditionnelle quand on manque de l'originalité comme moi. Ce qui compte pour comprendre la construction de son fantasme, ce n'est pas l'acte en soi, mais les association qui nous viennent à l'esprit. Bien évidement quand j'associe cette mémorable fessée de la main de Ed Lee à un défi ce n'est pas innocent.

En fait j'ai l'impression qu'il s'agit moins d'un défi pour tester la résistance de la peau de son postérieur (ne jamais sous-estimer la solidité d'un fessier féminin!), mais d'un défi pour réussir de passer entre les mains du meilleur. Un peu comme dans les boites de nuit où « le bon coup » n'a plus aucun effort à fournir pour partir en charmante compagne. Les filles font la queu... oups, pas bien isabelle... c'est la cas de dire. Et c'est sa réputation qui fait vendre. Veut dire, ce que les filles se rencontrent entre elles. En y réfléchissant bien, le bon coup devient alors l'inévitable trophée à afficher à son palmarès de séductrice. Bref je pense qu'il faut (malheureusement qu'il fallait) avoir un esprit pour la compétition pour frapper à la porte de ce monsieur.

Enfin, avec cette superbe prestation Madame était bien servie !

vendredi 18 septembre 2015

767 Liens de discipline domestique (183 ème édition)

Au menu cette semaine : La DD bcbg

Fessée version BCGB (petit clip)

J'ai un faible pour le BCBG depuis toute jeune. Je n'accroche pas trop avec les tenues dites décontractées qui n'ont d'ailleurs pas le monopole du confortable. Et justement pour que l'impression du confortable s'installe dans ma petite tête, il m'importe beaucoup que mon reflet dans la glace me plaît. S'ajoute que je suis de bonne humeur dès que j'ouvre les yeux. Qualité, s'il s'agit d'une que j'aie pu transmettre à ma petite. Mon allure souriante avec mon goût pour une présentation harmonieuse a toujours été utile dans ma vie. Toutefois le BCBG ne s’arrête pas à la présentation. Il semblerait qu'il s'agisse d'un état d'esprit qui se distingue du décontracté selon certaines personnes. J'ai dû donc apprendre, vu ma façon de sourire en quasi permanence, que je devrais me décontracter. J'ai également appris que d'accompagner un acte sexuel par des petits cris retenus serait une façon BCBG de faire de l'amour.

Alors existerait-il aussi une discipline domestique BCBG ?


Je n'y vois rien de mal et je distingue bien entre la curiosité sexuelle d'un grand garçon et un comportement de vérification dans le moindre détail de la vie (intime ou pas) de la dame. Je sais pertinemment que mon chéri respecte scrupuleusement ma sphère individuelle, telle que je la conçois. Mes papiers de tout genre, mes activités sur le net, mon choix de copines, mes loisirs. Par contre et là j'y tiens, j'aime bien quand il arrive dans la salle de bain quand je suis en train de me bichonner. Déjà parce que moi je fais pareil avec lui. Je me souviens à quel point il était friand au début de notre couple, avant mon épilation définitive, d'assister à mes séances de rasage intime. A quel point quand il a découvert ma passion pour les suppos de s'impliquer personnellement dans leur application. A quel point il aime voir quand je fais ma gym que j'accomplis - après tout je suis chez moi - comme au temps quand j'étais célibataire, seulement vêtue d'un soutien-gorge de sport. A quel point il adore quand je me passe mon huile de corps... partout, partout. A quel point il est friand d'assister quand je regarde les marques d'une bonne punition dans la glace en commentant le travail de l'artiste. Style :

Nous devrions changer notre martinet, chéri, il y a de moins en moins de stries.

Quand je lui demande, concernant la partie visible quel bouchon intime, m'irait le mieux avec telle ou telle autre jupe. Bref, il ne va pas me harceler sur la taille ou le matériel de la chose, ni sur le fait d'en mettre ou pas, mais...

...il répond présent pour me conseiller sur l'élégance dont me dote un tel objet.

Puis, aussi le grand classique, le choix de la culotte du jour (petit clip). Vu sa façon de se comporter, à aucun moment je me sens considérée comme un objet sexuel ou une possession, par contre comme une inépuisable source de fascination et d'émerveillement oui, oh ouiii !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !










Belle série (petite variante de la semaine dernière)














mercredi 16 septembre 2015

766 Quand les yeux lui sortent de la tête ! (Petite fiction ou pas)

L'histoire d'une bien vilaine fille

J'aime bien surprendre mon homme. Peut-être parce qu'il ne me donne pas de directive pour notre vie amoureuse. Je me verrais mal d'ailleurs de devoir suivre un mode d'emploi pour l'exciter.

Alors, petite idée folle, toute nue, prosternée au sol, je pointe mon auguste derrière vers la porte de son bureau. Les jambes légèrement écartées, j'offre une vue intégrale et impudique sur mon entrejambe, mettant surtout à l'honneur ce petit orifice par lequel dit-on passe la discipline. Évidement j'ai procédé préalablement à un soigneux lavement, parce que mon chéri aime beaucoup, non seulement une rosette dépourvue du moindre poil, mais aussi le respect d'une hygiène irréprochable.

Pas besoin de posséder un don de la voyance pour pouvoir affirmer avec quasi certitude que...

...monsieur sera impressionné par mon petit ménage.

Peut-être sera-t-il un peu « outré pour la forme ». Il est tout de même peu commun de saluer une personne en lui exposant son trou du c...l. Ou peut-être, comme il me plaît d'imaginer, manifestera-t-il bruyamment son mécontente à cause de la dépravation des mœurs de sa petite dame et lui demandera sur le champs de se mettre en position pour une correction de taille :

Mais je suis déjà en position, chéri !

Visiblement cette coquine posture le travaille déjà. Signe que le petit vélo est correctement installé dans sa tête pour se mettre désormais à pédaler au moment où il s'y attendra le moins. Ce qui ne l’empêchera pas de me punir à la hauteur de mon audace par quelques fortes claques sur mon postérieur tout nu et tout tendu.

Avant de me montrer les conséquences de mon acte sur un homme en bonne santé.

Il me fera d'abord saliver sa virilité pendant un petit moment. Acte que j'accomplis avec soin car la suite du programme nécessite une bonne lubrification. Puis il changera de côté pour se glisser à l'endroit même qui lui a sauté aux yeux en sortant de son bureau. En douceur, comme il sait si bien faire. Un plaisir intense sera vite au rendez-vous et qui prouve que la jouissance connaît parfois des chemins peu orthodoxes.

Peut-être aussi, me voyant ainsi, il réagira avec son taquin humour habituel :

Tu t’apprêtais de jouer à vilaine fille, isabelle ! Fais comme si je n'était pas là.

Me voilà, en arroser arrosé obligée de me sucer mon indexe pendant que monsieur me fixe avec un large sourire. Préparation indispensable pour favoriser l'introduction dans l'endroit si effrontément suggéré. Et pendant que mon homme dans son fauteuil ne cache pas son intérêt pour le spectacle, je me livre à un exercice de plus rythmique et nettement moins facile à réussir que la conquête du clitoris. La jouissance par la petite porte se mérite par une laborieuse préparation.

Tiens, je me suis toujours demandé s'il y avait des filles résolument rectales, isabelle !

Je me sens un peu bête avec mon doigt dans mon derrière comme si je n'avais pas encore compris comment les choses se passent « correctement ». Mais... petit doigt, grand effet et à force de me stimuler au mieux possible, je commence à respirer de plus en plus rapidement. Je me passe de recourir au petit bouton qui facilite tant les choses. Je sais à quel point mon chéri est fasciné par ma capacité de jouir par la petite porte et à quel point il tient à ce que je fasse régulièrement mes exercices de gym rectale. Ben oui, cela ne tombe pas du ciel , mais se mérite par un entraînement sérieux. Un finale sonore - mon chéri aime le spectacle – et me voila détendue et surtout bien sage à nouveau. Un peu honteuse aussi, je ne le cache pas...

lundi 14 septembre 2015

765 La force du (mâle) monsieur (Lundi cinéma)

J'aime beaucoup une bonne force physique chez un homme !

D'abord parce que cela fait partie de mon mythe perso du mâle et de ma conception de la virilité. Ne cherchez rien de rationnel là dedans. Je vois par exemple les effets fulgurants sur ma libido quand mon chéri travaille torse nu et je m'en réjoui. Aussi pour moi la force du monsieur est nécessaire pour donner de la crédibilité à la fessée ! Bien qu'intellectuel à souhait (ce qui se ressemble s'assemble!), mon chéri ne néglige pas son corps. Loin de lui un faible pour le sport, ni pour pratiquer, ni pour regarder. Il maintient sa forme on faisant de l'utile. Bricolage, jardinage, marche en pleine nature et petite randonné en montagne et surtout sortir avec sa fille chéri. Ce qui est peut-être l'un des sports le plus intense et gratifiant qui existe.

Voila qui lui donne un solide coup de main que je sens facilement passer sur mes fesses.

Voila qui lui donne aussi la force nécessaire pour me soulever et m'installer sur ses genoux, de me pencher sous son bras quand il s'agit de faire siffler le martinet et de me tenir en place quand je suis récalcitrante. Car même une fille aussi bien (et sévèrement!) éduquée comme moi, ne manque pas parfois de faire sa crise post-adolescente, style :

Non, je ne vais pas chercher le martinet !

Toutefois, ne sous-estimons pas l'effet psychologique (rassurant, sécurisant...) d'un homme fidèle et constant qui prend soin de sa petite famille pour un résultat qui se voit. Et qui sait distinguer entre une punition nécessaire, avec d'autres mots de satisfaire mon besoin de punition quand il devient envahissant et une ambiance coquine et ludique en couple qui demande « d'ardentes caresses » pour mon derrière en vu de me mettre dans cet état déchaîné qu'il aime tant sur moi. Enfin, quand j'ai été dûment punie dans la journée pour mes méfaits, je me montre habituellement redoutable le soir sous la couette aussi...

J'adore dans ce clip l'allure posée du monsieur. On sent un mâle sûr de sa force, sûr de ce qu'il fait et plein d'humour qui sait remonter les brettelles d'une dame. Puis, une dame aux jolis formes féminines qui nous montre son jeu de jambes. Quant à l'étrange rougeur de ses fesses, je pense qu'il s'agit d'un effet d'éclairage qui s'ajoute à un rouge que je suppose intense...

vendredi 11 septembre 2015

764 Liens de discipline domestique (182 ème édition)

Au menu cette semaine : A la recherche de la discipline domestique perdue...


Difficile de nos jours de compter encore les dames célèbres qui sortent du placard leur penchant pour la petite fessée. Bientôt il sera plus rapide de compter celles qui n'apprécient pas cette pratique. J'ai l'impression que nous vivons une époque extrêmement moralisante qui par le biais du politiquement correct alimente constamment notre besoin de punition, autant pour recevoir une punition que pour la donner. Un petit mot de travers et c'est le lynchage dans nos rapports sociaux. Puis, humblement il faut faire son Galilée en pensant : Et pourtant elle tourne.

Pour éviter l'impardonnable, nous (enfin ceux et celles qui ne sont pas parfaits comme moi !) devons scruter attentivement et sans relâche nos pensées en vue de nous construire une personnalité politiquement correcte qui ne laissera plus échapper la moindre réflexion douteuse. Et notre surmoi, déjà sadique vu la nature de notre passion, se régale.

Tu vas voir, je te ferai encore plus marcher à la baguette...

Il est aussi possible de considérer les choses inversement. Peut-être vivons-nous dans une société si profondément culpabilisée que nous avons créé - d'un consensus tacite - le politiquement correct comme échappatoire pour apaiser notre besoin de punition et aussi notre besoin de punir. Car malheureusement il n'existe plus les échappatoires d'antan pour la mauvaise conscience. Plus personne ne va à l'église pour se confesser. Et croire dans l'absolution par le biais psy, c'est mal comprendre le fonctionnement d'une analyse. Puis le principe d'une punition a mauvais réputation aussi. Enfin, dame Heidi reste vague sur sa conception exacte de la fessée dans le couple, mais pour avoir fait une carrière comme elle a fait, il faut certainement un fort goût pour la rigueur et...la discipline. Notons qu'elle n'a rien qui laisse supposer un faible pour la soumission. Bien au contraire.

Peut-être faudrait-il enfin comprendre que bien de dames ont une idée très précise d'une discipline domestique compatible avec leurs acquis de femmes modernes !


Une « production » qui vient à la base de ce site. Le monsieur qui applique la fessée écrit de jolis et intéressants textes avec une bonne compréhension des adeptes de la fessée.

Il me semble que la fessée fait intégralement partie de la culture française. Pas un jour cet été en sortant avec ma fille sans entendre un parent menacer son enfant d'une bonne fessée. Sans parler aussi de certaines joyeuses mises en garde, prononcées envers la compagne ou le compagnon. Bon, c'est vrai, je passe ma vie loin des grandes villes dans ce qu'appellent les mauvaises langues la France profonde.

Toutefois, on se pose la question de la place la fessée dans les couples le soir quand les enfants dorment.

Et puis je suis tombée sur ce petit clip. Mise en scène ou pas, peu importe. Je trouve le motif de la fessée valable, car comme bien connu la cigarette nuit gravement à la santé. Donc quel plaisir de se trouver en face d'un compagnon qui nous donne un solide coup de main pour mettre une terme à ce vice. Une punition sans abus, mais mémorable. Une petite histoire en couple, joliment racontée. Voila qui change agréablement des séances torture à l'anglaise.


Celle qui résonne non seulement dans les oreilles des protagonistes, mais aussi dans celles de leur entourage familial quand un mur, pourtant isolé avec grand soin, présente ne serait-ce qu'un seul pont acoustique. Et hop, le son se faufile de l'autre côté. Expérience quelque peu involontaire que j'ai fait, il y a pas mal d'années. Étant été odieuse avec ma maman, mon homme a jugé utile de me corriger le soir pour améliorer au plus vite mes mauvaises manières. Sans se douter que l'excellente insonorisation qui séparait notre appartement de vacances de celui de mes parents avait peut-être un petit défaut. Ma correction ayant porté ses fruits, je me suis levée le lendemain avec un pèche d'enfer et la bonne résolution de m'excuser auprès de ma maman pour mes insolences. Mes excuses acceptées, ma maman se doutant certainement que mon chéri se trouvait derrière cette excellente initiative, n'a pas manqué d'ajouter et ceci fortement amusée :

J'aurais dû faire pareil avec toi quand t'était encore ado, isabelle !

Sans préciser à quoi elle faisait allusion. Me demander de m'excuser ou de me baisser le jeans malgré mon âge pour se défouler sur mon derrière pour toutes mes caprices...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






La gourmandise punie (petite série)



















mercredi 9 septembre 2015

763 La face cachée de la fessée

N'oublions pas de chercher ce qui exalte dans ce fantasme !

Si la fessée ne comportait que la composante érotique et ne cherchait que la satisfaction de désirs purement sexuels, je n'aurais jamais ouvert un blog. J'aurais (peut-être) publié quelques textes cocasses comme cette petite aventure au cœur des Pyrénées, ce jeu de rôle autour du fantasme de la domestique dévouée ou encore ce texte hard à ma façon. Mais disons qu'écrire des textes plus ou moins érotiques pour mon pur plaisir ou pour faire plaisir aux autres ne me suffit pas comme carotte pour me mettre devant mon clavier. J'ai un esprit plutôt scientifique, en entendant par là un mode de pensée basé sur l'observation.

C'est ma passion de nouvelles découvertes sur la psychologie humaine qui me tient en haleine.

Mes réflexions sur la fessée sont donc en quelque sorte un produit dérivé de ma passion primaire. Je trouve d'ailleurs que ce fantasme dévoile une richesse psychologique extraordinaire. J'ajoute par honnêteté intellectuelle qu'il en est de même pour les pratiques du BDSM. Mais bon, pour rendre hommage à la finesse de telles relations, il faut déjà une attirance pour ce monde (et là moi...bof...), de la compétence et du vécu en ce sens. Moi... je n'en ai pas du tout ! Et je ne suis pas tentée de m'y rattraper. Ma peu de curiosité envers le BDSM reste donc plutôt intellectuelle.

Chez beaucoup d'auteurs sur notre sujet favoris – y compris les pragmatiques - qui racontent plus ou moins habilement une vraie rencontre pour réaliser leur fantasme, on trouve un détail qui tue et qui élargit le champs d'application de la fessée si j'ose dire. Il ne faut pas être un spécialiste de l'âme humaine pour se rendre compte que quasiment tous les textes quittent plus ou moins le terrain de l'érotisme...

...pour s'attarder à «l'autre composante» de tout fantasme : L'exaltation de la personnalité !

Comme ces messieurs qui analysent leur « force de frappe », leur charisme de dominateur, leur impact orgasmique sur l'entrejambe de la dame. Comme ces dames (moi y compris) qui nous racontent pourquoi elles méritent une fessée, en donnant accessoirement des petits infos sur leur tenue, leur maquillage, leur … chéri ! Qui parlent dans quelles conditions se déroule ce grand moment (dans un hôtel, dans une voiture...) et quel bien-être leur procure la satisfaction de cette pulsion. Au niveau du quotidien, du relationnel avec le partenaire, au travail les fesses encore chaudes. Ou encore comment elles arrivent à jouir en se faisant rougir le popotin. A ce propos, notons-le...

...jouir d'une pratique n'est pas synonyme de jouir d'en parler.

Bref, grâce aux effets secondaires de l'exaltation de la personnalité nous découvrons un large échantillon de mille et un détails intimes de tant de personnes. Nous nous apercevons de la vaste gamme de modes de plaisir entre les versions (soi-disant) purement punitives d'un côté et les versions (soi-disant) purement érotiques de l'autre. Et parfois je me dis, il faut surtout une sacrée dose d’autodérision, autant pour avoir le courage d'exposer ses fesses rouges dans un coin pour le plus grand plaisir de son compagnon que pour en faire un sujet d'écriture. Zut, je suis encore tombée dans l'exaltation...

lundi 7 septembre 2015

762 Fessée et ménage punitif (Lundi cinéma)

Non, elle n'est pas de tout repos, la discipline domestique !

C'est la première fois que je tombe sur un clip qui met en scène aussi explicitement le fantasme du ménage punitif. Mon chéri aime beaucoup cette forme de punition. Toutefois nous allons pas aussi loin. Hors de question que mon homme reste dans mon dos pour surveiller mes efforts ménagères ou pour m'imposer une cadence de travail à coup de martinet. Cela ne rentre pas dans notre vision de la discipline domestique.

Pour que ce mode de vie fonctionne, il vaux mieux rester dans une juste mesure !

Mais pourquoi pas dans un jeu de rôle alors. Je me retrouve plutôt dans la présentation et les allures de femme moderne et dynamique de celle qui applique. Mais les apparences sont trompeuses. A vrai dire, dotée de peu de patience, il vaudrait mieux que je reste à ma place de celle qui se fait éduquer. Au cours de ma vie, je n'ai pas reçu d'une initiation à l'art de la parfaite ménagère. Quand j'étais petite, il n'existait plus à l'école les cours de cuisine ou autres travaux ménagères pour les filles. Ni du bricolage pour les garçons d'ailleurs. C'était tricot pour tout le monde. Personnellement je considère la cuisine comme une connaissance utile au quotidien. Le bricolage aussi. Que l'un soit associé aux dames est l'autre aux messieurs est discutable à juste titre. Mais j'ai du mal à comprendre pourquoi on a remplacé dans les années 70 ce qui est utile par ce qui est plutôt secondaire. Enfin, les hivers sont rudes en Allemagne...

Ma maman n'a jamais était une reine du ménage. J'ai du donc tout apprendre toute seule quand j'ai pris mon premier appartement. Je ne trouve pas cette activité dévalorisante et à vrai dire j'aime bien m'occuper de mon foyer.

Sur un niveau fantasmatique, j'adore l'ambiance dans le clip et l'idée d'apprendre de cette manière exerce un certain charme sur moi.

Significativement je ne manque ni des petits tabliers, ni des chaussures à haut talon, ni de la bonne volonté pour faire briller ma maison. Elle brille d'ailleurs trop pour pouvoir cacher mon rapport névrotique pour lustrer meubles, parquets, carrelage ou vitres. Voila qui réveille les soupçons de mes copines que je trouve ma jouissance plutôt dansle ménage coquin version Bree van de Camp que dans les provocations « vinyle et cravache en main » de madame Solis.

Malgré mon faible pour la discipline domestique je ne suis pas dupe quant à la nature du ménage punitif. Quand mon homme me demande de passer l’aspirateur, de faire briller les carreaux ou autre taches ménagères, le tout habillée uniquement d'un petit tablier et des escarpins de 10cm (10,5 précisément), il ne s'agit pas d'un but purement éducatif. Je l'ai agacé. J'ai pris une copieuse fessée. Et maintenant nous sommes dans un registre de le dorloter par un spectacle sexy qui de plus est hautement utile pour toute la famille.

Lui même considère son attirance pour le ménage coquin, les fesses à l'air comme la réalisation d'un rêve de petit garçon qui observait sa maman faisant le ménage et se demandait ce qui se trouve sous ses jupes.
Déjà vicieux à cette époque, il dut se contenter au mieux d'un bref aperçu d'un haut de bas et les attaches du portes-jarretelles. Vivement l'âge adulte ! Mon chéri, arrivé au bout de ses désirs œdipiens, roi à la place du roi, se délecte de se rincer l’œil pendant que moi je transpire sous l'effort.

Comme chaque année à cette époque je suis en train de mettre notre maison au top. Qui s'étonne alors que j'avais déjà consacré pour la rentrée, il y a deux ans un post sur les joies du ménage et la poésie de la vase cassée...

qui se paye comme bien connu par la fessée !

vendredi 4 septembre 2015

761 Liens de discipline domestique (181 ème édition)

Au menu cette semaine: Ambiance studieuse

Voila une qui n'est pas sage du tout (petit clip hors sujet)

Elle est terrible cette jeune dame qui ose détourner l'attention de tous ces jeunes hommes studieux pour produire devant leurs yeux un strip-tease, puis une sorte de table danse. Honi soit qui mal y pense. Situation que qualifierait mon chéri habituellement par un mériterait bien une. Ce qui veut dire justement qu'une dame se comporte d'une manière, intentionnellement ou pas, qui peut donner des idées à un homme absorbé par son travail. Et à ce niveau-là, mon chéri ne manque pas d'occasion avec moi pour intervenir énergiquement. Car moi j'aime bien l'embêter en sachant toutefois quand je peux me le permettre ou pas.

Ce genre de petit clip me procure plus d'émoi qu'un film P !

Déjà parce que cela me donne des idées pour surprendre mon homme. Disons-le clairement, je ne suis pas une fan de films P. Que ce soit des productions machistes ou féministes, mon indifférence reste la même.
Je crois, que je n'ai jamais vu un film P en entier. La raison est simple. La bande sonore me berce agréablement et je m'endors vite comme un bébé. Je me souviens d'ailleurs une fois ayant accepté de regarder un de ces « opus » avec un jeune et surtout inexpérimenté (quel idée aussi de proposer cela à une dame!) prince charmant... d'un réveil en sursaut lors que j'ai entendu crier la dame :

Ja Chef, von hinten mag ich es auch ! (Qui patron, je aime cela aussi par l'arrière !)

Donc, je ne fais pas partie de ces dames modernes qui osent oser. Que ce soit seule ou en couple. J'ai de la chance parce que mon homme est trop actif pour prendre le temps de s'asseoir et voir un film P. Pour éviter tout malentendu, j'ajoute qu'il n'est ni un ange, ni un moraliste moderne. Et comme pour moi je suis .. certaine que ce petit clip l'inspirera plus que les productions P...


Ce n'est pas un superbe hôtel avec 5 étoiles qui m'inspire pour une fessée dans la règle de l'art, mais bien une étude, rempli de livres jusqu'au plafond. Et avec - j'y tiens- un monsieur à la hauteur de tout ce savoir. J'imagine mon temps d'attente que mon « maître d'études » vienne pour me rappeler à l'ordre. J'imagine le frisson de devoir me déculotter devant lui pour lui tendre mon derrière sans la moindre protection. J'imagine un monsieur érudit qui subitement se pare d'un regard vicieux et qui sous prétexte de travailler mon comportement profite pour me reluquer dans le moindre recoin.

Écartez-vos jambes et penchez vous en avant, Mademoiselle isabelle. Vos doigts autour de vos chevilles.

Voila le genre de position qui permet de sentir passer le moindre souffle d'air, même celui provoqué par l'approche de la canne.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Solide et sonore (petit clip)





















Sonore et méthodique (petit clip)

jeudi 3 septembre 2015

760 Va chercher le martinet 2 (suite et fin)


J'ai grandi dans une apothéose du tout permis !

Mais je ne me suis pas trompée quand j’ai imaginé ado que les temps anciens abritaient une richesse d’émotions qui ne persiste de nos jours que dans les têtes de quelques nostalgiques qui ne sont plus très jeunes. Je n’aurais jamais cru de découvrir ce monde enchanté et idéalisé avant de connaître mon homme, grand mage qui récrée des univers anachroniques à sa guise. Qui propose une palette infiniment grande dont chaque nuance se dévoile en tourbillon de troubles insoupçonnées.

Il y a des hommes avec lesquels on « s’envoie en l’air » en classe économique, d’autres proposent la business class ou le jet privé.

Par contre seul le tapis magique de Monsieur (en allusion du lieu de nos toutes premières galipettes) m'a permis une promenade au pays de Proust en goûtant les authentiques madeleines d’antan.

Après la pause pipi, je me rends à la salle de bain. Étape incontournable depuis que je vis avec Monsieur. La propreté intime en cas de punition éducative est un enjeu de taille.

Pour un rendez-vous galant avec le martinet on sort le grand jeu.

Hors de question - même pour peu - de sentir la petite fille négligée et de se voir amenée dans la salle de bain pour se faire appliquer un nettoyage vraiment intégral, intérieur et extérieur, à l’ancienne.

Pour danser avec le martinet il se doit fille modèle de sentir agréable et accueillante de partout.

Cette phrase bien aimée de mon chéri adoré confirme ma futilité. Quand je l’ai entendue la première fois je ne puis m’empêcher de fredonner l’air de Sylvie Vartan: La plus belle pour aller danser. Monsieur a chopé une crise de fou-rire en me disant :

Pas évident de t’impressionner. Je sais jamais sur quel pied danser avec toi, isabelle. Voyons le bien fait du martinet sur ton tempérament méditerranéen pour allier danse et chant.

Cinq minutes plus tard nous étions en larmes tous les deux, lui de rire, moi de contrition sincère. Il est important dans un couple de s’accorder.

L’odeur de ma crème parfumée trouve grâce au nez de monsieur. Il est un peu dommage de s’en servir pour ses fesses et l’entrejambe, mais il est vrai qu'elle est fort agréable à étaler et sent divinement bon. Je suis toujours émerveillée quand je me passe de la crème sur mes parties intimes depuis que je suis définitivement épilée. J’ai une vraie peau de bébé dont la douceur n’a rien à voir avec un rasage, même particulièrement soigneux. Je refais mon maquillage, contrôle la droiture des mes bas et réajuste mon tailleur. Puis, moi devant le martinet qui attend sagement suspendu à son crochet.

Là, c’est la fin de l’insouciance et prise de conscience de ce qui m’attend. Ce petit truc rustique contraste avec mes allures élégantes. Pourtant c’est lui qui va mener la danse. A nous deux, enfin à nous trois...