mercredi 24 août 2016

926 Fille modèle, joliment perverse

Attention isabelle, tu joues avec la peau de tes fesses !

C'est la voix de la fille modèle en moi qui se manifeste devant cette dame de... respect, car j'ai envie de la... gifler. Entendons fille modèle dans le sens ségurien, comme un idéal à atteindre qui comble mon narcissisme. Jolies robes, belles demeures, superbes bijoux, comportement distingué. Ne cherchons pas du côté d'une voix de la conscience. La « fille modèle » en moi se révèle moins noble, moins accrochée à une vraie morale que l'on ne l'imagine. La sienne (la mienne quoi!) est fort subjective et égoïste. Comme lucidement décrite par la comtesse, la fille modèle en moi, dispose une sacré dose de sadisme qu'elle ne se gêne nullement d'utiliser.

C'est ici qu'intervient la «justice céleste» pour me mener la vie dure !

Il y a hélas un prix à payer pour mes élan sadiques. Subitement se réveille en moi mon besoin de punition qui réclame une bonne fessée. En quel honneur d'ailleurs ? A cause de cette bécasse (pardon dame de respect comme aime dire mon chéri) qui me gonfle avec un discours objectivement indéfendable.

N'empêche, je ne vais pas trop me plaindre non plus.

Il y a d'autres filles dans mon cas dont le besoin de punition ne se contente pas d'une bonne fessée bien sentie pour expier un péché qui n'a même pas encore eu lieu. Cela peut aller loin, beaucoup plus loin. Un peu à l'instar d'une impossibilité de jouir dans la vanille, il existe également l’impossibilité d'apaiser son besoin punition. Alors quand je crie à haute voix d'une manière inspirée...

plus fort chéri ! Montre-moi de ce que tu es capable...

...il ne s'agit pas forcement d'un comble de jouissance que je réclame.

A croire que certaines dames en quête d'apaisement font endosser à leur fessier le rôle du souffre douleur.

Qui rougit, rougit chez les plus aptes à se tirer de ce guet-apens, mais qui exige des marques qui durent, qui durent chez les fortes têtes. Sans parler quand le besoin de punition prend l'apparence d'un romantisme médiéval qui cherche des sombres et humides caves dans lesquelles office un maître de cérémonie qui va soumettre la dame à la question :

As-tu été sage ?

Bref c'est une question de bol, d'être née sous la bonne constellation fantasmatique qui n'exige pas de courbettes trop intensément douloureuses (exquises !) de notre « fille modèle ». Pour ma part cela reste bon enfant et par conséquence il me suffit d'une autorité (complicité, assistance etc que chacun et chacune coche sa case correspondante !) paternellement bienveillante pour accoucher d'un état paisible et serein. La tête haute à nouveau, mais en affichant le prix de cette paix intérieure. Un fessier qui fait tilt aux yeux du monsieur qui en grand gamin s'extasie du pouvoir faire de ses mains.

Au coin vilaine !

Et vous savez quoi ? La fille modèle en moi, cette dévergondée sadique partage la moquerie du monsieur. J'ai l'impression qu'elle aussi se tient derrière moi en se fendant la poire. Avec des fantasmes aussi hurluberlus, tu ne mérites pas mieux que le coin isabelle ! Effectivement. Cela se tient. Justement, pour méditer je me trouve au bon endroit. Poussée par mes fantasmes qu'y trouvent étrangement leur compte. Sans que l'on demande l'avis de ma raison. De quoi se sentir dépassée. Un petit tour chez les héritiers de monsieur Freud pour y remédier ?

Autant garder son argent pour un bon martinet.

Le fantasme résistera toujours à la raison par son attrait majeur... l'émoustillement ressentie, déjà rien qu'à son évocation !

19 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Difficile d'évoquer la fessée dans la littérature sans faire référence à cette chère Comtesse de Ségur.
    Tenez, mon pseudo vient du personnage central d'un roman de la Comtesse intitulé "Un bon petit diable" (1865) dans lequel le jeune héros s'appelle Charles Mac-Miche !
    Roman que j'ai lu deux ou trois fois dans ma jeunesse. Rires.
    Votre titre "fille modèle" pourrait se comprendre aussi dans les deux sens : Fille modèle au sens d'une éducation parfaite, très "bourgeoise" , presque bigote.
    Et également " modèle de fille", qui supposerait un modèle donné aux filles qui serait à la fois positif et négatif. Ce dernier serait la copie conforme de la vilaine fille, insupportable avec son entourage et très irrespectueuse. Une jeune Sophie en négatif.
    Je me permettrais même de vous proposer un autre titre :
    "les malheurs... d'Isabelle".
    Mac-Miche.

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  2. Je ne vis pas mon fantasme comme les "malheurs d'isabelle" cher Monsieur Mac-Miche. Rire! A vrai dire il n'y a rien qui m'y dérange. Je ne suis pas forcement sur la même longueur de la divine comtesse, mais j'aime bien son univers d'un autre âge. Je trouve le personnage de la petite Sophie un parfait exemple d'un sadisme dû peut-être à une éducation qui passait à côté des enfants. D'où mon admiration pour la perspicacité psychologique de madame de Segur...

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  3. Bonjour Isabelle,


    Tous les romans de la Comtesse tournent autour de l'éducation des enfants dans les préceptes de son époque et ils n'y ont pas souvent la meilleure part.
    La Comtesse née Rostopchine était la fille du gouverneur de Moscou (pendant la Campagne désastreuse de Russie de l'Empereur en 1812/1813) qui incendia sa capitale avant de venir vivre en France quelques temps plus tard. Bref. Elle reçut une éducation rigide et froide. Et le knout (version slave du fouet) faisait partie de son "décor". Cet instrument de punition a certainement marqué son éducation et elle en a imprégné ses romans par la suite.
    D'ailleurs, son éditeur parisien lui avait conseillé de supprimer certains passages trop "douloureux" aux yeux de jeunes lecteurs. Censure bourgeoise ?
    Plus près de nous, en 1989, l'ONU a voté la Charte mondiale des Droits de l'Enfant. Mais ils restent, avec les Femmes, les premières victimes de la violence de certains hommes.
    Du chemin reste encore à parcourir...
    Mac-Miche.

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  4. Concernant la violence envers les enfants n'oublions pas les mères "bien intentionnées". Enfin je tiens un blog sur le monde de adultes et ce qui m'importe c'est la forme que le fantasme a pris à l'âge adulte. Pour aborder les traumatismes enfantins il faut une qualification que je ne possède pas.

    Ceci dit peu importe son vécu, la comtesse a su créer un univers d'une grande subtilité psychologique qui montre à mon sens que les notions du bien ou du mal s'avèrent inutiles pour cerner les phénomènes de l'enfance...

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  5. Bonjour Isabelle,

    Le Bien et le Mal sont deux notions, dirais-je plutôt "manichéennes" de l'existence inventées par les adultes pour justifier leurs actions. Cette expression vient du nom d'un missionnaire du 3è.s, Mani, fondateur d'une "religion du salut", fondée sur la division du monde en deux entités : Bien/Mal. Ce qui lui valut une fin tragique...
    Personnellement, elles m'évoquent le jardin d'Eden, d'où fut chassé le premier couple humain pour avoir croqué la fameuse pomme de l'Arbre de la Connaissance malgré l'interdit imposé par leur Créateur. Et plus tard , elles seront relayées par la morale, sous-tendue par des arguments religieux. Elles semblent nécessaires pour inclure la société dans une sorte
    d' espace protégé facile à régenter. Comme au Jugement Dernier, les Bons à la droite et les Méchants à la gauche.
    Concernant les enfants, ceux-ci sont captivés par le jeu qui accapare leur attention, et cela qui peut les mettre en situation de danger dans certains cas. Et parfois, ça les amuse de jouer les "risque-tout" . Comme si le jeu annihilait leur peur du danger. Les adultes doivent alors anticiper les choses et cela finit pas toujours d'une manière heureuse. Avec l'âge, les notions de peur, de pudeur, de danger se manifestent et modifient parfois leur comportements, mais c'est selon leur caractère.
    Et les adultes en devenir qu'ils sont (et que nous sommes aujourd'hui) en gardent en eux des traces plus ou moins indélébiles, en positif ou en négatif.
    Une phrase tirée de l'opéra "Carmen" de Georges Bizet est formelle: "l'Amour est enfant de bohème/ Il n'a jamais, jamais connu de loi...".
    Le poète a toujours raison. Rires.
    Mac-Miche.

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  6. Vous devriez parler philo avec mon papa. C'est son dada. Pour ma part je suis plutôt pragmatique. Je tiens un blog de discipline domestique et la question que je me pose c'est comment la notion du bien et du mal arrive à se sexualiser chez certaines personnes au fil de l'enfance. Et à ce niveau ni Mani, ni la religion, ni même la divine comtesse livrent une réponse...

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  7. Bonjour Isabelle,


    le mystère reste donc entier et garde tout son sens...
    Voilà qui invite à creuser davantage la thématique.
    Je vous imagine bien, Isabelle, en "archéologue de notre inconscient", suivant les pistes découvertes, analysant les indices, recoupant les théories. Un travail digne de Sherlock ou... Miss Marple ! La loupe en moins. Rires.
    J'imagine que vous avez du discuter de longs moments avec votre papa en matières de relations humaines...La sagesse des Anciens est parfois salutaire. A nous ensuite de nous faire une opinion propre, même au prix de quelques échecs
    Ca me fait penser à l'épreuve de Philo au Bac G1 en 1987: en gros le sujet parlait de relations entre l'Histoire et la Philosophie. Passionné d'Histoire, comme vous le savez je m'en étais bien sorti avec 15 sur 20.
    Pour en revenir à l'influence des notions de Bien et de Mal sur la sexualisation dans notre jeunesse, cela varie en partie en fonction du milieu social et de l'éducation reçue des parents.
    Cette sexualisation se met en place lentement, avec l'âge des enfants puis des ados.
    Je pense en particulier à l'impact des châtiments tant physiques (fessées) que psychologiques (gronderie et qualificatifs "humiliants") sur la libido en formation. Il en résulte selon chacun/e angoisse, peur, douleur et autre hontes. Toutes ses sensations s'intériorisent et se manifestent à la faveur d'une punition.
    Si le parent administre une fessée à son gamin/e, en insistant verbalement, du style : "Si tu continues, tu va aller en Enfer" ou encore: "Tu met le petit Jésus en colère" , on risque de traumatiser l'enfant qui associera pour plus tard religion avec punition. Enfin ,ce serait dans cet esprit-là. Et le ressenti de cette punition influencera sa sexualité à l'âge adulte. D'où peut-être la source de comportements qualifiés à l'âge adulte de "comportements masochistes".
    De même, souvent le plaisir fut banni par la religion comme l'incarnation du Mal. Une équation du genre : Plaisir = Mal = Enfer. Qui plus est, si le parent (Mère, tante, Marraine et autre intime) est très porté sur le religieux...
    Ca me fait penser au film "Psychose" dans lequel l'acteur US Anthony Perkins (années 1960) interprète un homme tourmenté par les femmes depuis sa jeunesse en raison de l'influence très "bigote" de sa maman. C'est incroyable pour nous les garçons, l'influence de nos mamans sur notre vie intime et notre regard sur les "autres femmes". A la fois amusant et pesant.
    Personnellement, quant notre Maman nous punissait, elle nous reprochait nos bêtises mais jamais elle ne justifiait ce geste par une pseudo-raison religieuse.
    Mon père me disait que dans sa jeunesse (années 1930), quant on punissait les menteurs, on leur disait que "le Ciel allait leur mettre une pelle de feu sur la langue dans leur sommeil" !!!
    De quoi flanquer une belle peur aux enfants !! Mazette.
    Enfin ,vous avez raison , la réponse à ces questions est à la fois simple en apparence et complexe quant on s'y penche plus sérieusement...
    Bon dimanche. Mac-Miche.

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  8. Il semblerait que le beau temps vous inspire à philosopher cher Monsieur Mac-Miche. Pour ma part je supporte mal la chaleur, peut-être dû au climat du pays de mon enfance. De plus je suis en pleine préparation de la rentrée pour ma fille.

    Enfin, je ne suis pas une spécialiste de la croyance religieuse. Mes parents étant des « anarchistes » en quelque sorte, j'ai grandi sans dieu ni maître et cette formule me convient très bien. Ceci dit le bien et le mal sous forme de méchant sont des notion qui travaillent pas mal d'enfants. Et ceci sans influence de la religion. Déduisons donc que sous les apparences du « bien et du mal » se cachent d'importants phénomènes psychologiques de la petite enfance...

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  9. "Subitement se réveille en moi mon besoin de punition qui réclame une bonne fessée." "Il y a d'autres filles dans mon cas dont le besoin de punition ne se contente pas d'une bonne fessée bien sentie pour expier un péché qui n'a même pas encore eu lieu. Cela peut aller loin, beaucoup plus loin." " A croire que certaines dames en quête d'apaisement font endosser à leur fessier le rôle du souffre douleur.
    Qui rougit, rougit chez les plus aptes à se tirer de ce guet-apens, mais qui exige des marques qui durent, qui durent chez les fortes têtes." : à la lecture, tout ceci me renvoie à cet article que je prépare pour mon blog sur les différentes façons d'aborder la fessée, et qui comportera un paragraphe sur ce que j'appelle la "fessée expiatoire". Merveilleuse illustration des propos que je prépare, même si cela ne concerne ici que certaines femmes.

    Une précision quand même pour Mac Miche : contrairement aux idées reçues, la première victime de violences n'est pas la femme, mais l'homme ! Tout comme la première victime de l'islamisme est le musulman, l'homme est la première victime de la violence de la société dans laquelle il vit, sans l'avoir forcément recherchée, et bien avant la femme qui, malgré le discours ambiant issu de la pensée unique, est globalement (j'ai bien dit globalement, alors on ne vient pas m'ennuyer avec un cas particulier !) beaucoup plus protégée. Toutes les études vont en ce sens.
    Deux exemples pour illustrer : aux USA, 4 morts violentes constatées sur 5 concernent les hommes. 4 sur 5 ! La guerre des gangs n'explique pas tout !
    Plus près de nous, et pour reparler d'éducation :
    "Les garçons sont plus victimes de violences physiques et les filles de violences psychologiques et sexuelles. (En fait et je reprends la parole juste pour souligner que personne dans cette étude n'a soulignée les conséquences psychologiques de la violence physique, comme si une fois de plus on la niait !) "Près de 30 % des élèves ont déclaré au moins une violence physique répétée plus de deux fois sur la période de référence. Les garçons sont significativement plus nombreux à être victimes de violence physique (38 % des garçons en ont déclaré au moins une contre 21 % des filles)..."
    http://www.cafepedagogique.net/.../04122012Article6349019...
    38% pour 21%, c'est presque deux fois plus, sachant que les jeunes garçons ont intégré l'idée qu'ils ne pouvaient pas se plaindre !
    D'ailleurs une des raisons majeures pour lesquelles l'espérance de vie d'une femme est plus importante que celle des hommes est bien cette violence subie perpétuellement par les hommes, qu'elle soit institutionnelle ou privée.
    Mais on la tient sous silence parce qu'elle est la plupart du temps voulue par... d'autres hommes... mais pas toujours !
    Enfin, le poète est humain, et à ce titre, il est loin, très loin d'avoir toujours raison ! Heureusement car sinon sa parole serait un diktat auquel on ne pourrait que se soumettre. Brrrr ! Quelle horreur ! lol

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    1. Je suis contente, cher Monsieur Rich de vous relire et fort curieuse de découvrir votre article à venir sur les différentes façons d'aborder la fessée. En lisant depuis des longues années tous ce qui se rapporte à la fessée, il me semble que le nombre des dames qui parlent de la fessée expiatoire ne cesse d'augmenter. Enfin à chacun et chacune de trouver sa formule personnalisée.

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    2. Bonjour Isabelle,

      Tout évolue et les femmes se sentent peut-être de nos jours "mieux dans leur tête" et ainsi, elles se sentent plus en confiance pour parler de leurs désirs sous quelque forme que soit mieux qu'à l'époque de leurs ainées.
      Les désirs non exprimés sont un peu comme des abcès dans notre for intérieur . Ils sont douloureux et ils ont besoin d'être vidés pour se sentir mieux ensuite. C'est très médical, j'en conviens comme explication.
      Expiatoire: le mot me fait penser à quelque mauvaise action que l'on a besoin de reconnaître pour pouvoir retrouver une certaine sérénité.
      Punitive: elle reste subordonnée au jugement des tiers qui tranche sur la forme qu'elle prendra.
      Cela fait appel à une sorte de confession.
      Le langage populaire retient l'expression : expier ses péchés. "Mea culpa" : mon grand péché. Encore faudrait-il le définir. Vaste sujet...
      Mac-Miche.

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    3. Ne dramatisons pas cher Monsieur Mac-Miche. Le côté pathologique dans le sens d'une souffrance peut concerner certaines personnes. Personnellement je pense que bien de personnes sont plutôt intéressées par la compréhension de la construction de leur fantasme en vu d'une meilleure satisfaction lors de la réalisation. Voila pourquoi il convient de distinguer entre psychiatre et psychanalyste. Par contre j'en conviens avec vous sur l'importance du jugement tiers dans la fessée punitive.

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    4. Je pense que M. Mac-Miche pourra commenter utilement mon prochain article, s'il le veut car ma position sur fessée expiatoire/punitive paraît assez proche de la sienne. Le débat pourrait être intéressant.

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    5. Il ne manque pas de bonnes idées Monsieur Mac-Miche!

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    6. Bonjour Isabelle,

      Vous avez raison. Ce que l'on ne maitrise pas peut angoisser voire effrayer. La science, en cela, a permis à l'Homme d'évoluer...
      Le psychiatre comme tout médecin apporte une solution dans l'immédiat grâce au diagnostic et au panel de médicaments.
      Le grand médecin Louis Pasteur avait eu cette phrase très humaniste (si ma mémoire est exacte) : "je ne veux pas savoir qui tu est, ni d'où tu viens, mais seulement quel est ton mal".
      Le psychanalyste, de son côté, met en place une sorte de "confession" avec son patient et l'amène à trouver les racines de son problème assez souvent dans le domaine relationnel par un accompagnement verbal, une introspection sur son vécu. Un travail à long terme, onéreux et... au résultat fragile (?).
      Je vous en parle car je me suis adressé il y a une quinzaine d'années à une psychiatre sur le conseil de mon généraliste en raison de mes fantasmes e fessées qui parasitaient mes relations avec la gent féminine.
      Ses conclusions ne m'ont pas convaincu et dès lors, j'ai mis en images "mes tourments relationnels" si j'ose dire... Et depuis, je continue.
      Mac-Miche

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    7. Merci Isabelle pour vos petits mots de compliments.
      C'est très gentil à vous.
      Votre illustrateur dévoué.
      Mac'.

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    8. Mon opinion toute personnelle: Une psychanalyse a seulement un sens et un effet si elle est menée jusqu'au bout. Pour ce il faut se détacher du symptôme qui motive l’analyse et se pencher sur le rapport que l'on entretient avec l'analyste. Tant que l'on perds son temps à vouloir comprendre la nature du symptôme on perd son temps et son argent, car on est loin de la fin de l'analyse...

      Essayer de comprendre la nature du symptôme, ce que je fais sur ce blog en quelque sorte est ce que j'appelle la « psychanalyse romantique » qui apaise certes la soif de connaissance, mais apporte aucun changement sur un niveau personnel...

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  10. Ma chère Isabelle, je vais essayer de me pencher très bientôt sur l'iconographie pouvant illustrer ce petit article, mais sachez d'ores et déjà que sa rédaction a été finalisée. Je serai d'ailleurs tout à fait heureux de recueillir votre éminente opinion sur le sujet.

    Si de plus en plus de femmes parlent de fessées expiatoires, que ne mettent-elles pas cette discussion en pratique ? Je serais heureux de les aider dans cette entreprise...

    Dans mon article, je prends grand soin d'ailleurs de distinguer fessée expiatoire de fessée punitive et j'espère que vous apprécierez la nuance et que vous vous en délecterez.

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  11. Cher Monsieur Rich, la nuance me paraît non seulement intéressante sur un point de vu théorique, mais importante pour distinguer différents fantasmes de fessée. Je pense qu'une dame chérissant un fantasme de fessée expiatoire, n'a pas les mêmes attentes qu'une dame aimant la fessée punitive. J'attends donc avec donc impatiemment votre publication pour vous donner mon avis.

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