vendredi 2 décembre 2016

965 Liens de discipline domestique (247 ème édition)

Au menu cette semaine : Non-dits de la discipline domestique !


Petit geste pour faire plaisir à mon chéri et qui semble avoir des effets sur la libido du couple. Certes l'article parle de chaussettes, mais pour ma part je trouve très agréable la sensation de me glisser au lit avec mes bas. Déjà, je sais que mon homme va se montrer de plus attentionné. Notamment quand l'espace de chair nu entre mes bas et mes porte-jarretelles affiche un beau rouge, trace d'une mémorable fessée, intervenue au cour de l'après-midi parce que mon comportement a laissé à désirer. Maintenant ayant payé le prix de mon insolence persiste encore une agréable brûlure d'une correction...

...dont tu te souviendras pendant longtemps, isabelle !

Monsieur est d'excellente humeur, inspiré par le spectacle devant ses yeux. Inspiré aussi par le souvenir de m'avoir penchée sous son bras, sur un parking quelque peu discret au bord de la route, en me troussant ma jupe longue sans prendre le temps de me baisser mon string. Énervé, il était énervé le pauvre. Une fois de plus, j'ai su le mettre hors de lui par mon nombrilisme non feint.

J'adore ces moments quand il se sent vraiment impliqué dans ma fessée.

Quand il a une vraie envie de m'apprendre les bonnes manières. Quand il y a de la conviction dans le mouvement de sa main. Quand il essaye de comparer la solidité de la peau de mes fesses avec celle de sa main. Pas de voiture en vu, il profite pour me tanner solidement le derrière pendant deux ou trois minutes. Effort considérable... pour lui parce que je gigote sans cesse. Puis je me retrouve relâchée sur mes hauts talons et en me frottant mon derrière au travers de ma jupe.

Voila qui fait du bien...

Monsieur se parle, me parle :

J'espère que tu as retenue ta leçon isabelle ?

Ben oui, je l'ai retenue. La preuve le soir même je garde mes bas pour aller au lit. Je sais, même s'il ne dit rien, ma superbe fessée a envahi sa pensée pour le reste de la journée. Le soir au lit, il aura besoin de se détendre et moi j'ai tellement envie qu'il me montre ce qu'il sait faire d'autre que fesser les grandes filles. En vrai seigneur, il aura le privilège de l'initiative et il décrétera comment les choses vont se passer. J'adore quand il se comportera impérieusement en mâle d'un autre âge et moi pour l'occasion je me confond également avec une dame d'un autre âge en poussant de profonds soupirs entrecoupés par des ...

Oh oui, chéri !



Un petit historique du père-fouettard basé sur les mythologies et religions. Domaines dans lesquels je ne suis pas une spécialiste. Pour ma part je considère le père-fouettard symbolisant la « nature animale » (du Saint Nicolas ou du père Noël) que certaines personnes imaginent au fond de tout être et qui se manifeste à certaines occasions. Déchaînement des pulsions oui, mais pas sans au moins un rappel à la punition. En attendant le 6 décembre Monsieur m'a déjà demandée de bien cirer notre martinet qui servira éventuellement après un long interrogatoire autour de la question si j'avais été sage ou pas au fil de l'année. Je me fait guère d'illusion, le soir de la Saint Nicolas mon fessier sera aussi rouge que le manteau du saint homme...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





Discipline maison (petite série)













La fessée toute nue (petit clip)






2 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Wahou !! Quelle journée pour Monsieur 183 !
    Les voyages forment la jeunesse, dit-on !! Quel périple !
    Mais j'y pense : quelle cruel conditionnement psychologique !
    Quelle délicieuse torture morale a du être pour vous de devoir cirer le martinet !! De quoi méditer en suant d'angoisse sur les conséquences d'un mauvais comportement ???
    Mais j'ose espérer que le bon St-Nicolas ("le Victorieux") fera preuve de clémence cette fois et ne vous accablera guère plus que nécessaire.
    La dévotion populaire l'a reconnu comme patron des enfants sages, des jeunes filles sans dot, des navigateurs et de la Lorraine. En Alsace, l'homme d'Eglise est toujours flanqué de son âne, chargé de présents et son passage est un avant-goût de Noël.
    C'est la mine patibulaire du Père Fouettard qui m'inquiète. Pas facile d'amadouer la bête avec lui. Courage, Isabelle !!!
    Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  2. Enfin, je n'ai pas particulièrement peur des hommes y compris le Père Fouettard. J'ai les fesses solides et le bénéfice d'une bonne fessée vaut bien les désagréments pendant sa application. Puis j'aime un certain vice dans le rituel comme cirer le martinet... Tout va bien alors!

    RépondreSupprimer