vendredi 16 décembre 2016

969 Liens de discipline domestique (249 ème édition)

Au menu cette semaine: Quand le monsieur s'impose


Passons sur la poésie du petit matin avec un monsieur en caleçon et chaussettes. Rien à voir avec une dame en nuisette... très courte et suggestive. Chez nous le bon matin, c'est moi qui parle et cela restera ainsi toute la journée. A moins que la petite prenne la relève. Monsieur pour sa part a une étonnante capacité d'écoute. Même s'il semble être ailleurs, il est incollable sur ma dernière phrase. Idem pour la petite qui a vérifiée il y a quelques jours, si son papa, épuisé par une longue journée était attentif à ses propos. Toutefois cet aspect bonne pâte est trompeur. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds et ne manque pas d'autorité qu'il exerce exclusivement sous forme verbale avec notre enfant sans lever la voix. Et cela marche. Par contre avec moi il est moins patient. Il n'hésitera pas de me menacer du martinet style :

Tu veux que j'ouvre le tiroir de mon bureau, isabelle ?

Évidement, à la façon que c'est prononcé je sais très bien qu'il ne s'agit pas d'un petit bijou intime dont il fait allusion. Il y a même des matins où il arrive à table le martinet en main. Un acte qui ne manque jamais d'effet sur moi. J'ai des frissons partout et l'ambiance me rend toute guillerette.
Je ne vais pas cesser de rire... bêtement, car je sais ce qui m'attend. La petite étant à l'école, Monsieur profitera pour me corriger pour un manquement qui a dû rester sans suite faute de bonne occasion. Aussi, depuis quelque temps j'ai lourdement insisté auprès de mon chéri de mettre sur la liste de mes fautes les péchés de gourmandise pour garder une ligne... disons acceptable. Ce qu'il fait sans abus, mais avec sérieux.

C'est ce sérieux que je trouve terriblement viril !

Pas de promesse en l'air, mais de l'action à coup sûr pour mes excès de table. Son regard, sous lequel je baisse ma petite culotte comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. Puis cette fessée matinale que je reçois, penchée sous son bras. Mordante certes, mais pas au point de faire peur à une grande fille. Aussi, un fessier strié par les lanières du martinet retrouve au bout de quelques heures son apparence habituelle. Pour ma part, ma mauvaise conscience efficacement chassée, j'éprouve une gratitude sans pareil pour mon chéri. Ah quel homme qui sait tout faire !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !






Action et réaction (mini-clip)













Quelle belle vue (Petit clip)




Avant/Après (Petite série)


2 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,
    Savoir manier le martinet, se faire obéir sans élever la voix et en même temps être incollable sur la dernière phrase que vous avez dite même après une journée de dur labeur, voilà une belle virilité!

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  2. Ben oui, cher monsieur Bertrand, mes critères ne sont pas forcement ceux que l'on trouve sur les sites coquins...rire!

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