vendredi 3 mars 2017

987 Liens de discipline domestique (260 ème édition)

Au menu cette semaine : Changement de rituel


Tu m'écoutes, isabelle ?

Euh.. pas vraiment...

Non, je ne m'en vante pas. Loin de moi aussi de vouloir mettre en doute l'autorité de mon chéri en me montrant insolente. Car c'est son autorité qui me plaît (parmi tant d'autres attitudes) en lui et sa façon de la faire respecter. Peut-être parce que mes valeurs irrationnels trouvent leur compte dans une hiérarchie qui mélange morale et émoustillement. Mais bien que je réponde à toute petite voix, il y a quelque chose en moi qui considère cette scène dans le bureau de mon homme avec un air moqueur. Me voici avec une belle jupe droite fendue qui permet un troussage facile. A genoux sur un coussin, mes fesses à l'air et ma culotte autour de mes chevilles. Non, pas de cheminée, je n'aime pas l'odeur. Je suis une fervente adepte du confort moderne.

Comme il sait parler avec éloquence !

Qualité rare et par surplus je le trouve fort juste dans son sermon. Il relève sans faille mes petits défauts qui réveillent habituellement mon besoin de punition.

Ah comme la vie est belle avec un derrière qui brûle, mes fesses toutes rouges et une voix rassurante qui m'explique comment améliorer mon comportement !

Nous ne sommes ni dans un registre psychoanaleptique, ni clérical, ni philosophique ou encore mystique de tout genre. Plutôt bienveillant paternel sans oublier que dans notre maison règne une discipline stricte.

Je ne veux plus d’excursion au frigo en cachette.

Je l'ai bien cherché. Effectivement c'est moi qui fait ch...ier Monsieur du matin jusqu'au soir avec mes problèmes de poids. Il doit en avoir marre. Mais au lieu de ne plus s’intéresser à mon souci numéro un en attendant l'été, il m'écoute avec patience et sait me prêter main forte. Pour ce il utilise un bon martinet « familial » à manche jaune pour me montrer que malgré mon attirail de séductrice, malgré mon âge que j'aie encore besoin de discipline traditionnelle.

Rappelle-moi ta dernière déculottée, isabelle !

Je rougis, la sauce commence à prendre. L'air surréaliste de la scène se fait discret et la petite voix interne qui a envie de se moquer de moi est en train de se taire.

On va te ramener à la raison.

Oui, il arrive parfaitement de me ramener à la raison. Non pas à cause d'une fessée démesurée, mais à cause de son attention. Pas un mot de travers à cause de mon surpoids, pas une dévalorisation quelconque de ma personne, ni même pour ma faiblesse de empiffrer compulsivement. Au contraire il arrive que je me sente à l'aise dans mon corps. Et en voyant me battre avec mes guêpières, il a su intervenir efficacement. Avec une nouvelle guêpière... à ma taille. Cadeau pour la Saint Valentin. Hautement confortable à porter, même en étant à genoux sur mon coussin en cuir. Malgré ou plutôt à cause de le gêne qui m'évoque le sermon, je me fais trahir par mon entrejambe sous le regard amusé de Monsieur.

Rappelle moi ta dernière masturbation, isabelle !

Là je rougis profondément, car après ma dernière correction j'ai eu recours à la vilaine main. En faisant du coin dans le bureau de mon chéri je n'ai pas pu résister à la tentation quand il était partie pour un bon moment. Il a dû le sentir et s'adapte sans le moindre mal à la nouvelle situation. Il me tend un appareil de massage intime.

Je veux voir et entendre une très vilaine fille au coin.

Comme il a le sens pratique mon chéri. Il sait a quel point j'aime me laisser aller devant lui...


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Solide et méthodique (petit clip)











4 commentaires:

  1. Un des travails d'un spanker c'est que dans le prévisible il y a toujours place à l'imprévu

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    1. Ou autrement dit, j'aime bien que mon homme brise de temps en temps la routine pour me surprendre!

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  2. Comme vous savez Isabelle, chez nous, pas de vilaine main clandestine. Si ma conjointe veut un "soulagement" post fessée, elle doit le demander si je ne le propose pas, et ne peut se l'appliquer seule qu'avec mon accord.

    L'entrejambe de ma conjointe trahit aussi l'état dans lequel certaines fessées la mettent. Parfois cela se sent à l'odeur un peu acide et musquée... Je vérifie du doigt, que ce soit l'état de gonflement des parties externes que leur lubrification, puis le conduit. Souvent j'observe aussi de visu de près (ça ne lui fait pas de mal de se faire ainsi inspecter, de toute façon). Je lui fais remarquer l'humidité et la turgescence constatées, ce afin d'accroître sa honte. Je lui demande si elle veut un soulagement.

    En général je lui fournis celui-ci par la pénétration de mon membre dans l'orifice ainsi lubrifié... soit en gardant madame dans une position de fessée (penchée en avant cul en l'air) soit en "missionnaire". La position cul en l'air est particulièrement adaptée si madame n'est que troussée et non déshabillée.

    Mais c'est vrai que c'est une assez jolie punition douce que de demander à madame de se masturber jusqu'au bout devant moi... nous l'avons fait parfois!

    Une autre variante est d'annoncer que la pénétration passera par un orifice plus rétif, éventuellement après nettoyage...

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  3. Mon homme est plutôt visuel après la fessée, toucher avec les yeux. Nous ne sommes pas vraiment d'adeptes de jeux de contrôle. Nous sommes d'un côté adeptes de la vraie discipline qui se suffit et sans qu'il y ait suite coquine pour "fautes graves", de l'autre côté aussi adeptes de la discipline libidineuse à caractère récréatif pour les petits erreurs et manquements. Ceci dit parfois les registres se mêlent...malgré nous par les réactions de nos corps!

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