mercredi 8 novembre 2017

1060 Petite soubrette, les fesses à l'air

Un fessier rouge instaure tout naturellement un rapport d'autorité, Mademoiselle !

Dit-il mon homme d'un air jovial après avoir remis sa petite soubrette sur ses pieds. Par rouge il attend une coloration outrageusement rouge, produite par une solide fessée à la main. Cette teinte de peau s'affichera tout naturellement pendant des longues heures sur le derrière de la dame et fera le délice des yeux de Monsieur. Content de son travail, il respire profondément avant de conférer une autre sagesse.

Vous allez voir, Mademoiselle. On prend vite goût à la discipline au point de ne plus pouvoir s'en passer.

Quand on joue à la soubrette Monsieur est très strict avec moi et ne passe sur aucune de mes fautes. Me considérant en formation, il me surveille étroitement. L'apprentissage se fait à l'ancienne par la peau des fesses. J'ai obtenue cette place car j'ai d'excellentes références. Recevant une éducation traditionnelle qui recourt aux châtiments corporels depuis de nombreux années, la discipline m'est devenue indispensable dans ma vie. La brûlure dans mon derrière se transforme infailliblement dans une opulente luisance de mon entrejambe. L'effet est fort agréable. Quand je ne sens pas surveillée, il m'arrive de me passer la vilaine main pour jouer avec le petit bouton qui accentue mon plaisir. Pratique qui m'est strictement interdite et j'ai souvent de la mauvaise conscience à la suite d'une partie de : Ni vu, ni connu. L'interdiction rend la masturbation encore plus tentante. Toutefois ce « péché » me pèse et il m'arrive régulièrement lors d'une confession imposée d'avouer mes écarts de la bonne conduite.

Je ne veux pas de masturbation sauvage dans cette maison dès que je le dos tourné, Mademoiselle isabelle. Si vous avez des envies contentez-vous de vous serrez vos cuisses.

Zut alors, rien n'échappe à la vigilance de Monsieur. Il a dû m'observer lors de mes séances au coin. Aujourd'hui il est dans une des ses journées très mâle. D'ailleurs il a estimé qu’un vrai homme, n'a pas besoin d'un martinet pour se faire entendre par sa soubrette. Je ne puis lui donner tort.

J'adore cette confusion dans ma tête qui établit une équivalence jouissive entre autorité et virilité.

Mon regard reste scotché sur son jeans qui doit le serrer sacrément en cet instant précis. Une impressionnante bosse qui attire ma curiosité féminine. A chaque fois que je viens de recevoir la fessée c'est pareil. La libido de mon homme bat son plein. Je me suis soigneusement brossée mes dents avant mon service. On ne sait jamais. Monsieur aime une haleine fraîche en cas de subite envie de fellation. Dans un contexte ludique de la soubrette coquine je suis particulièrement susceptible à ces formes de gauloiserie. Mais nous ne sommes pas encore là. Pour l'instant je me agrafe mes bas, car Monsieur les a préalablement dégrafés pour mieux dégager mon fessier en vue de ma correction. Pour agrafer correctement mes bas il en va de soi que je dois me pencher. Il m'arrive donc - malgré moi - que je lui dévoile des aperçus de plus indiscrets de mon anatomie. Selon mes expériences un grand garçon se contente rarement du plaisir du regard. Il ne peut résister à la tentation de mettre ses doigts. Outre une langue agile et une bouche gourmande, il attend de sa soubrette un entrejambe glissant à souhait qu'il aime explorer pendant de très longs moments. Effectivement c'est bien mieux que les plaisirs en solitaire. Je ne me prive pas d'exprimer par mes soupirs mon... agrément. Il s'occupe également de mon petit orifice qu'il souhaite tonique et capable par ses contactions rythmiques de prodiguer une détente complète au conquérant. Pour ce il me donne régulièrement des cours de gym rectale. La baguette en main, au cas où je manquerais du sérieux. Là, je sens son doigt qui fait le tour de la rondelle pour tester son mordant. L’entraînement a porté ses fruits. La petite soubrette répond présent au moindre attouchement.

Très joli vos « clins d’œils », Mademoiselle !

Je me flatte d'une hygiène exemplaire. Épilation intégrale et lavement avant mon service. Je sais pourquoi.

Voyons çà de plus près, Mademoiselle isabelle !

C'est toujours une drôle sensation quand Monsieur approche son nez de mon entrejambe pour un «état des lieux ». Il arrive souvent qu'il me glisse sa langue entre les fesses pour accomplir un parcours de haut en bas et de bas en haut. C'est loin d'être désagréable et je commence vite à augmenter ma cadence de respiration. Me trouvant assez lubrifiée, j'ai droit à un joli bijoux dans le derrière.

J'aurais aimée sentir Monsieur en moi, imposant fermement son droit de cuissage, mais ce sera pour plus tard.

Il a envie d'abord de se rincer l’œil.

Gardez-votre robe troussée Mademoiselle ! L'air frais fera du bien à votre derrière.

Pendant qu'il fait semblant de travailler, il m'incombe de faire briller sa pièce de travail. Le plumeau en main aucune poussière ne me résistera J'ai droit à quelques encourageantes claques sur mes fesses encore rouges à chaque fois que je passe à porté de sa main. En soubrette bien éduquée il convient de remercier Monsieur pour son attention.

Arrive enfin la pause café. Pour ce il tient que je fasse le ménage dans son caleçon pendant qu'il se restaure. Aussi lisse que moi, pas de risque de me trouver avec un poil sur la langue. Il a fait sien ce geste d'hygiène corporelle depuis des années. Le matin après la barbe c'est le moment de savonner zizi et compagnie pour passer le rasoir. Par ce fait cela sent toujours bon dans son caleçon. La même odeur que sur ses joues. J'aime beaucoup regarder sa virilité au repos. Sans les poils cela me fait toujours une impression de grand garçon. Enfin là je me trouve devant un gros engin prêt à exploser dans ma bouche. A moi de ménager les effets pour lui procurer une agréable détente le temps d'un café. C'est un moment de grande intimité. Parfois nous savourons en silence, parfois il me parle de ses fantasmes. C'est fou comment une sucette délie la langue d'un grand garçon. Puis quel effet sur la libido de pouvoir dire ce que l'on a sur le cœur dans une ambiance favorable. Enfin, il y a des limites. Le plumeau dans le cul... c'est non. Mais un martinet à manche phallique (petit cadeau de ma part), surtout à chaud, après usage donc, c'est fait pour... des jeux quelque peu fantasques...

Houp-la, finie la mâle attitude !

Fini le café aussi, la tasse est vide et mon mâle reprend ses apparences de grand garçon. Je range soigneusement le lieu du crime avant de retourner à mon ménage.

Gardez-la jupe troussée, Mademoiselle...

Oui je la garde troussée, ne sait-on jamais ce qui peut se passer encore dans ce caleçon...

10 commentaires:

  1. Jolie histoire. On voit que tous les instants sont occupés et exploités pour la chose. Ils ne doivent pas s'ennuyer!

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    1. Justement, le monsieur fait appel à sa petite soubrette pour ne pas s'ennuyer!

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  2. Sans doute un de vos textes les plus chauds chère Isabelle, à mon humble avis !

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    1. Merci Monsieur Bertrand, je prend cela comme un compliment!

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    2. C'est un compliment!
      Les mots grossiers ou l'obscénité, montrer ce qui doit rester caché, (notamment du coté du derrière) dans vos textes en général sont très rares, ce qui les rend d'autant plus "précieux" et provoque d'autant plus d'effet. L'accumulation engendre la lassitude.
      Mais en quoi le plumeau dans cet usage très particulier est-il moins acceptable qu'un martinet, ou qu'un plug?

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    3. C'est mon côté pragmatique cher Monsieur Bertrand! Le martinet phallique et le plug sont des objets prévus et étudiés pour! Par contre un vrai plumeau ancien avec un manche en bois exotique me fait peur. Pensez aux échardes par exemple ou aux vernis toxiques...

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    4. Aïe! Je n'ai aucun sens pratique, et cette explication m'avait échappé.

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  3. Bonsoir à vous....

    Je suis du même avis que Mr Bertrand.
    "Au se(r)vice très... privé de Monsieur." Avec une petite révérence à l'appui ?
    Le rôle inusable de la soubrette... Le premier au palmarès des fantasmes dans l'imaginaire masculin, juste devant évidemment l'infirmière, merveilleux ange de guérison, dévouée corps et âme à ses patients. Du style :
    "Voyons, Monsieur, ce n'est pas raisonnable. Monsieur doit se reposer et éviter les émotions fortes. Le médecin est formel. Bon, je vais retasser vos oreillers ! Allons, allons... je vais devoir vous gronder ! Restez sage. Ou bien gare !"
    Vous connaissez, Isabelle, mon goût pour le théâtre.
    Vous faites une bonne comédienne. Avec de la répartie. Rires.
    Bon WE. Mac-Miche.

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  4. Ah le théâtre cher Monsieur Mac-Miche, c'est un peu la récré des grands... rire!

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  5. Bonsoir Isabelle,

    C'est très juste. Et j'ajouterais : une récréation à ne pas mettre entre toutes les mains. Evidemment.
    Mac'

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